L Homme Doit Il Respecter La Nature

(des choses animés) ou les métèques (des étrangers). Il y avait seulement 1/10 de la société qui participait à la vie politique. La notion de droit individuel (le droit pour certains individus de jouir de certaines prérogatives) n’existe pas. Un homme est dit libre s’il participe à la vie de la cité. La liberté des anciens c’est celle de participer la vie politique contrairement à la liberté des modernes. L’individu à Athènes n’existe pas. Il n’existe » qu’à travers la cité. Il ne songe pas à

Etre homme se distingue d’être « un homme » dans le sens ou ce n’est pas seulement appartenir à l’espèce humaine. Il s’agit ici de l’existence de cet homme en tant qu’être moral, capable de distinguer le bien et le mal, autonome et libre, en tant que sujet de droit. C’est donc l’idée que l’on peut ce faire de l’être humain pleinement accompli. Si chacun d’entre nous se pense comme un être indépendant de tout contexte social, il n’en reste pas moins que ce qui fait notre humanité c’est notre vie en

chacun a droit au respect dû à la personne humaine. Mais, d’un autre côté, comment respecter l’auteur d’un crime sordide, le maniaque sexuel multirécidiviste, ou encore le tyran sanguinaire boucher de son peuple ? Méritent-ils autre chose que notre horreur et notre mépris ? On voit donc que la question : tout homme a-t-il droit au respect ? n’est pas simple. Elle exige qu’on examine ce qui, dans un homme, est digne de respect. Deux conceptions sont ici à examiner : ou bien le respect est dû à la personne

-1- RÉSUMÉ DE LOCKE (POLITIQUE) QU'EST CE QUE LA NATURE HUMAINE EST POUR LOCKE ET QUELLES CONSÉQUENCES EN TIRET-IL POUR LA POLITIQUE Pour Locke comme pour Hobbes, et au contraire d'Aristote, il ne part pas d’une nature de l'homme qui serait définie par une substance ontologique (l'être en tant qu'être indépendamment de ses déterminations particulières), il part de l’hypothèse de l’homme à l’état de nature. D’où, Locke prétend, fonder l'origine de la cité - ce qui n'est pas identique à définir, comme

DOIT-ON RESPECTER LA NATURE ? Qu’est ce que respecter quelqu’un ? Le respect revient à reconnaitre la valeur de la personne, sa dignité. On respecte la personne humaine car elle a une moralité. La nature est l’ensemble des êtres animés ou non animés. Elle ne résulte en aucun cas de l’activité de l’homme. Doit-on respecter la nature ? Dans un premier temps nous verrons que certes il faut respecter la nature, créatrice de l’homme. Dans un seconde temps nous verrons que malgré tout, l’homme

Kant va se questionner sur différents thème tel que le droit, la politique ou la liberté par exemple. Nous avons vu que pour Kant, la société n’était pas naturelle à l’homme mais qu’avant de passé à un « état civil », il était dans un « état de nature » (= homme sans société). => Tente de réaliser ses propres désirs personnels, possède toutes les libertés, empiète sur la liberté des autres, aucune limite, rivalité avec les autres. Il parle alors «d’insociable sociabilité », en effet, il s’associe car

Dans les Pensées, Pascal demande qu'on respecte en tant que roi l’homme dont la légitimité ne repose finalement que sur des coutumes. Il explique en effet que défier le pouvoir en place au nom de vraies valeurs introuvables ne servirait qu'à nourrir la guerre civile. Le personnage du roi permet donc à Pascal d'illustrer à merveille sa philosophie et sa dialectique. Le roi est en effet simultanément un homme comme les autres par nature et un homme différent des autres par sa fonction. En charge

afin que les individus et les sociétés s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation de développer et d’assurer le respect des droits et libertés. Cette notion est apparue grâce «  à la diversité des religions qui a fait prendre conscience à l’humanité du respect dû à chaque Homme ». Il s’agit de définir qu’est ce qu’un Homme, un citoyen et la notion de droit. « Etre un homme ce n’est pas seulement appartenir à une espèce mais être un être moral, libre, sujet moral et sujet de droit. ».

par la rationalité. Il se veut triomphe de la raison sur le désordre des passions. Clarté, harmonie, règles, ordre, mesure sont les mots d'ordre du classicisme. Cette recherche de la sérénité, de l'équilibre, de la cohérence par la réflexion, le respect des lois, des genres, des proportions, peut devenir prudence précautionneuse stérilisante et convenue. Les bâtiments classiques se doivent d'être en parfaite adéquation à leur fonction ; lignes droites à la majestueuse orthogonalité, recherche de

sociale de son temps. En sa dite qualité de moraliste, il se place comme tel, avec le recul, le savoir et la sagesse que la société ne détient pas ; au-dessus de la mêlée. De plus, en tant qu'homme très pieux, il se place également en homme d'Église, donc en homme de foi, de moral, d'où sa qualité de moraliste. On peut donc s'intéresser à la question suivante : Quelle est la thèse de Pascal quant à la condition des hommes ? Nous étudierons chacun des trois textes l'un après l'autre pour y répondre