L Homme Désire Naturellement Connaître

réalisés par les soignants « Au délicieux instant où j’immerge dans la baignoire succède vite la nostalgie des grands barbotages qui étaient le luxe de ma première vie ». Cependant ces moments là sont court et sont soumis à sa volonté. La dignité de cet homme est alors outragé par le fait qu’il ne pouvait décider par lui même. De plus étant totalement paralyser, pour effectuer les mouvements et déplacements de Mr Baudy, les soignants utilisent le lève-malade. Cela lui rappelle qu’il est incapable de faire

Glaucon : -Je vois cela, dit-il. S- Figure-toi maintenant le long de ce petit mur des hommes portant des objets de toute sorte, qui dépassent le mur, et des statuettes d'hommes et d'animaux, en 515 pierre, en bois, et en toute espèce de matière ; naturellement, parmi ces porteurs, les uns parlent et les autres se taisent. G- Voilà, s'écria-t-il, un étrange tableau et d'étranges prisonniers. S- Ils nous ressemblent, répondis-je; et d'abord, penses-tu que dans une telle situation ils aient jamais

connaissable ? . 5.1.3 La conscience de soi est-elle une donnée nu de la conscience ? 5.2 La conscience, objet de connaissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.1 La conscience de soi peut-elle être objet de connaissance ? . . 5.2.2 Peut-on connaître les autres consciences ? . . . . . . . . . . . 5.2.3 Une psychologie si doit elle renoncer à parler de ... ? . . . . . 5.3 La conscience, le corps et le monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.3.1 La conscience est-elle réductible à un état du

CHAPITRE II Quelle est la vérité du désir ? INTRODUCTION Selon une étymologie qui n’est pas vraiment certaine, le désir renverrait au latin desideratio, terme lui-même formé à partir de sidus désignant une constellation d’étoiles. A l’origine, le terme aurait renvoyé à la nostalgie qui étreint celui qui cesse de contempler la splendide voûte céleste, ou le regret attaché au caractère inaccessible des étoiles, et à leur incomparable beauté. Le désir serait donc bien proche de désastre

seule des sciences humaines qui en produise d'infaillibles, parce qu'elle seule observe la véritable méthode, au lieu que toutes les autres sont par une nécessité naturelle dans quelque sorte de confusion que les seuls géomètres savent extrêmement connaître. Mais il faut auparavant que je donne l'idée d'une méthode encore plus éminente et plus accomplie, mais où les hommes ne sauraient jamais arriver: car ce qui passe la géométrie nous surpasse; et néanmoins il est nécessaire d'en dire quelque chose

constituent un état passager. Le bonheur c'est l'absence de tout ce qui peut nuire à la paix de l'âme, l'absence de peurs, d'espoirs, de remords, d'illusions et de désirs vains. Le bonheur est la satisfaction de ses désirs et il ne peut y avoir de désir sans autrui. Ainsi l'Homme ne pourrait pas vivre ce sentiment de bonheur dans la solitude, c'est-à-dire en l'absence d'autrui. D'après Sartre,"autrui c'est l'autre, c'est-à-dire le moi qui n'est pas moi". Autrui est à distinguer des "autres"; en

biologiste ou médecin peut aisément refaire, montreront que les théories de James, si même on les tient pour absurdes, étaient fondées sur des observations réelles. Pourquoi n’ai-je pas moi-même continué ces expériences? Pourquoi ne les ai-je pas fait connaître après sa mort? J’ai quelque peine à l’expliquer. Je crois que la timidité l’emporta, et une naturelle répugnance à m’occuper de certaines questions. Les circonstances avaient fiait de moi un écrivain, non un savant. Je n’avais à ma disposition ni

de prison. L'autre est un riche tétraplégique, qui a engagé le premier venu comme auxiliaire de vie bien qu'il n'ait aucune formation particulière... Les deux personnages, socialement si différents, vont néanmoins au fil du temps apprendre à se connaître, développer une complicité et finir par s’apprécier. Après avoir exposé la construction de l’amitié qui unit les deux protagonistes, nous mettrons en apparence le moteur d’un lien si insolite. Enfin, nous montrerons par quels moyens notre société

semblables qui sont en grand nombre, parce que ces termes−là désignent si naturellement les choses qu'ils signifient, à ceux qui entendent la langue, que l'éclaircissement qu'on en voudrait faire apporterait plus d'obscurité que d'instruction. Car il n'y a rien de plus faible que le discours de ceux qui veulent définir ces mots primitifs. Quelle nécessité y a−t−il, par exemple, d'expliquer ce qu'on entend par le mot homme ? Ne sait−on pas assez quelle est la chose qu'on veut désigner par ce terme

pour ne pas se faire « coincer » à vouloir commettre une action qui n’est pas morale. Cependant, si l’occasion se présente pour nous d’abuser de quelque chose ou de quelqu’un, sans qu’on voit de répercussions fâcheuses à court terme, le choix va naturellement se pencher vers le péché. Selon lui, si on décide de vivre à l’écart du mensonge, c’est tout d’abord parce que nous avons peur des conséquences que cela entraine, mais c’est principalement par crainte du sentiment de culpabilité et du regard des