L Homme Est Il Perfectible

développe avec notamment d'Alembert grand mathématicien et Montesquieu homme de science et critique, romancier, dramaturge et romancier entouré de Voltaire grand philosophe et de Diderot directeur de L'Encyclopédie qui va monter une machine de guerre intellectuelle qui va préparer la Révolution. La science est donc une idée neuve en Europe, la notion de progrès est ici au centre. L'homme est alors défini comme indéfiniment perfectible et le progrès scientifique et moral est la loi de l'histoire et la

même manière la reconnaissance d’une partie limitée de l’humanité : la morale est par contre la reconnaissance de la valeur absolue de la personne qui le fait face, quelle que soit sa catégorie sociale ou son appartenance. La morale reconnaît en tout homme une valeur absolue, et dans ce principe se trouve sa véritable dimension universelle. Du reste, c’est pour cette raison que certaines coutumes peuvent susciter l’indignation morale. C. Aussi, être moral c’est se montrer capable de fonder sa pratique

p. 34-35 Folio-Essais, 1984. 1 2 Lévinas, Totalité et infini, p. 190. Il s’agit du surnom attribué parfois à Emmanuel Lévinas (philosophe français, 1906 - 1995). Page 3 sur 21 Texte 3 La vieillesse « imbécile » Seul l’homme est perfectible. Les animaux naissent avec la quasi-totalité de leurs aptitudes. Au contraire, l’homme apprend à se gouverner lui-même, et à penser, pendant une part importante de son existence. La conséquence est ici soulignée par Rousseau : l’homme est le seul

animaux, qui a pour nous 6 Karl von Frisch, Vie et mœurs des abeilles, chap. III (« De quoi se nourrit la colonie d'abeilles ? »). 7 Ibid. C'est cette possibilité de désobéir à la règle de l'instinct qui selon Rousseau fait de l'homme un être perfectible, tant au niveau de l'individu qu'au niveau de l'espèce. Et ce contrairement à l'animal qui « est, au bout de quelque mois, ce qu'il sera toute sa vie, et son espèce, au bout de mille ans ce qu'elle était la première année de ces mille ans ». Mais

la part d'aristocrates et abbés auxquels il inspire quelque compassion. C'est lors de son emploi auprès de la Comtesse de Vercellis que survient l’épisode du larcin (vol du ruban rose appartenant à la nièce de Mme de Vercellis) commis par le jeune homme et dont il fait lâchement retomber la faute sur une jeune cuisinière qui est renvoyée. L'espérance déçue de ne pouvoir s'élever de sa condition, Rousseau se dissipe jusqu'à décourager ses protecteurs et il reprend, le cœur léger, le chemin de Chambéry

l’Etat apparaît avec la théorie moderne de la souveraineté, exprimée notamment par Hobbes dans le Léviathan (1651). Pour échapper à l’insécurité qui règne à l’état de nature, les hommes renoncent à leurs droits naturels et les confient à un tiers (homme ou assemblée). On considère alors que le pouvoir est né d’une décision collective de forme juridique (un « contrat »). L’origine du pouvoir n’est plus ni naturelle ni divine. Cependant, chez Hobbes, le pouvoir issu du contrat est tenu pour « absolu

venues entre deux centres d'observation, l'un au-dedans, l'autre au-dehors, nous obtiendrions une solution de plus en plus approchée du problème - jamais parfaite, comme prétendent trop souvent l'être les solutions du métaphysicien, mais toujours perfectible, comme celles du savant. Il est vrai que du dedans serait venue la première impulsion, à la vision intérieure nous aurions demandé le principal éclaircissement ; et c'est pourquoi le problème resterait ce qu'il doit être, un problème de philosophie

receuil composé de ses pensées appelées Lunyu « entretients » Pendant plusieurs années ses textes ont été les textes centraux de l’éducation chinoise . Ses principes sont : Que l’homme peut s’améliorer par le travail et par l’étude, il est donc perfectible La société doit être hiérachisée car on doit le respect au représentant de l’autorité et respecter l’ordre établie, il n’y a donc pas de révolution La soumission au père ou à celui qui joue le role de père dans la société ( empereur), et on doit

philosophie morale et philosophie politique. Car l'universel : pluralité des êtres humains, vivre ensemble. Au 18ème siècle, on part de cette idée de progrès, d’idéal de la conscience politique et de la conscience moral. On pense que l’homme est perfectible et qu’il peut atteindre cette perfection grâce à la raison. Et philo moral et politique sont liés dans la convergence de créer un bien commun. La morale affecte la philo politique dans un autre sens: exemple => un penseur du 20ème siècle qui essaye

méprend sur lui-même • Ce savoir est déjà vertu puisqu’il est juste. Ni excès, ni défaut b) la connaissance de soi est conscience de soi-même en tant que limité -Connais-toi toi-même je sais que je ne sais rien. • Fais connaître à tout homme son ignorance • Son ignorance ( conscience de ses limites + finitudes, donc de son essence • Sa limite ( car conditionné (famille, pays, époque) -Conditionnement : sociologique, psychologique, génétique -Sartre, question