L Homme Est Il Un Animal Social

SUJET : Est-ce la Culture qui définit notre Humanité ? INTRODUCTION : L’Homme occupe aujourd’hui une place très particulière dans la Nature, qui est différente de celle des animaux… Mais, dans une Représentation Finaliste de la Nature, Aristote explique qu’il n’y a a pas de coupure brutale tracée entre l’Homme et la Nature ; ce qui régit dans la Nature s’applique également à l’Humanité. Si il y a une nature propre des éléments tels que le Feu, l’Eau et la Terre, et une nature de l’animal, alors

aisément de le montrer. Si on définit la société comme un regroupement d’individualités structuré par des liens de dépendance récipr * homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des hominidés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait

cas, on reconnaît que si la liberté est certes garantie par les lois, ce n’est qu’une liberté partielle et limitée par ces mêmes-lois. Alors peut-on vraiment en obéissant aux lois être pleinement libre ? Rousseau, dans ce chapitre 8 de Du contrat social, objet de notre explication, soutient que cela est possible et que nous avons tout à gagner à entrer dans un Etat civil et rien à perdre, y compris concernant la liberté qui ne serait, selon lui, que par l’Etat civil. Pour le démontrer, il expose

terre sans violence pour obtenir de bons fruits » (les fruits de notre esprit sont la pensée et la réflexion philosophique). 2. Bildung : la formation, l’éducation : un Homme cultivé a appris par son travail une maitrise devenue spontanée avec le temps, dans un ou plusieurs domaine(s). (INDIVIDUEL) 3. Kultur  le milieu social : un ensemble de manières de pensées et d’agir de son propre sentiment à une collectivité donnée. L’humain est ainsi éclaté en une multitude de culture, chacune avec ses

en quoi l’homme est un animal politique (I) pour mieux comprendre en quoi la cité est un phénomène inhérent à la nature humaine (II). I. L’homme comme animal politique Une telle conception de l’homme s’explique par une vie en société (A) et par le fait que la cité soit un fait inhérent de la nature (B). A. Un animal politique vivant en société Pour Aristote l’élément de différenciation entre l’homme et « l’animal grégaire » est le langage. « or seul parmi les animaux l’homme a un langage »

du langage dans une communauté humaine déterminée. La parole : forme individuelle de l'usage de la langue : manière dont chaque homme utilise la langue. Langage = faculté naturelle (tt les hommes la possèdent) La langue = production sociale La paroles = production industrielle Langage | Langue | Parole | Faculté naturelle | Production sociale | Production industrielle | Nature | Culture | ////////////////////////////////// | Universel* | Particulier*

La culture est le propre de l'homme, «être homme c'est en soi, avoir une culture » selon l'anthropologue C. Kluckholn. Mais un homme de culture est également un homme qui a des valeurs morales et qui est capable de parler de différents domaines tel que l'art, l'histoire, la philosophie, etc selon sa propre civilisation. La culture est toujours le résultat d’un effort de l’homme, qui transforme la nature pour produire lui-même quelque chose. On considère que la culture est opposé à la nature. Ces

choses : qlqn pour commander et qlqn pour obéir et des individus associés à l’intérieur de l’Etat. Association→ société→ Etat = état social ≠ état de nature = seul, isolé, peut être attaqué, individuel… Se demander si l’Etat est légitime revient à se demander premièrement s’il est préférable de s’associer plutôt que de vivre à l’état de nature comme des animaux. Et en second s’il est justifié que certains commandent et d’autres obéissent. Nous semblons avoir choisi l’Etat comme cadre de notre existence

L’homme est un animal qui, du moment où il vit parmi d’autre individus de son espèce, a besoin d’un maître. Car il abuse à coup sûr de sa liberté à l’égard de ses semblables; et, quoique, en tant que créature raisonnable, il souhaite une loi qui limite la liberté de tous, son penchant à l’égoïsme l’incite toutefois à se réserver dans toute la mesure du possible un régime d’exception pour luimême. Il lui faut donc un maître qui batte en brèche sa volonté particulière et le force à obéir à une volonté

La société 1. Le lien social De manière générale, qui dit société dit lien entre les individus regroupés. Ce groupement n’est pas une simple juxtaposition (foule n’est pas peuple, ou société) mais association et différenciation, coordination et hiérarchisation car chaque individu tient une place définie, un rôle précis, impliquant des relations d’interdépendance. Tous les animaux forment des sociétés ayant pour fin la survie : de l’espèce et de l’individu. Les membres d’une même espèce sont