L Homme Et Son Environnement

Historique de Maybelline ❖ Stratégie d’internationalisation et extension II) Etude l’environnement de l’entreprise : ❖ Environnement global (Pestel) Les différentes politiques ← Economique ← Sociale ← Technologique ← Ecologique ← Légale ❖ Environnement industriel ❖ Facteur clé de succès III) Analyse SWOT (Opportunité /Menace. Force /Faiblesse) Conclusion

animal « il a plus une apparence de bête que d’homme » Pas de vêtements Interpreta-tion Masqué du public, Homme mis à part : foire, avec les autres phénomènes et curiosités (femme à barbes, nains etc), capuche pour lui cacher le visage. + citations « choses » Objet, dort dans une cage = considéré comme un animal Ressemble pas à un homme donc pas considéré comme un homme -> objet pour se faire de l’argent, objet pour la recherche scientifique Pas de pensée, pas de conscience d’être

aboie chien un caniche aboient • Propriétés 1. Permutabilitité dans un même environnement. Deux objects de même catégorie peuvent se remplacer mutuellement dans un même environnement : J’ai vu (le chien un oiseau ou dans un environnement de même catégorie : si X peut figurer dans un environnement de catégorie C et si Y est de même catégorie que X, alors Y peut remplacer X dans tout environnement de catégorie C (et inversement). Exemple : dans un GV de forme V + GN, n’importe quel GN peut

nature en transformant le corps. Nous pouvons croire que cela ne concerne qu'une partie des hommes ayant acquis certaines connaissances mais en réalité ce besoin est universel. En effet, même l'homme qu'on considère comme un "sauvage" c'est à dire un homme resté au plus près de la nature n'est, contrairement à ce qu'on pourrait croire, lui aussi pas totalement naturel car on le voit se vêtir de peau, se couvrir de peintures. Ainsi même lui ne se satisfait pas de la forme que lui a donné la nature. L'Homme

permanente. L’observation des interactions entreprise/environnement montrent qu’il n’existe pas d’organisation idéale d’entreprise capable de prendre en compte toutes les évolutions de l’environnement, mais que certaines structures sont plus incertaines et complexes. Une organisation légère est plus efficace qu’une organisation rigide. III/ Les étapes de la vie de l’entreprise a) La création Elle repose sur la mise en valeur d’une idée créée d’un homme disposant de ressources financières. L’essence

l’homme est dépourvu de protection contre le climat dans lequel il vit (il n’a ni fourrure, ni plumes…) ainsi qu’il est dépourvu de réel moyen de défense (crocs, griffes, cornes… .) Il est alors particulièrement vulnérable, seul face à son environnement. C’est alors qu’est venu le besoin pour l’homme d’être doté d’un degré de conscience supplémentaire par rapport à tous les autres êtres vivants. Un degré de conscience plus élevé que le 1er, commun à tous. Il lui permet de prendre conscience

la personne, le corps, l’identité • L’être humain • La personne humaine et le respect de sa dignité • Le corps humain • Individu et identité L’être humain (J-F Malherbe, 1997) Qu’est-ce qu’un être humain ? • Le fruit de l’union d’un homme et d’une femme (l’être-venu-au-monde) ! • La préexistence d’autrui est inscrite au départ même de l’existence humaine • L’être humain est un héritier +++ Le fait humain fondamental • C’est la convocation à la parole ! • Avant même d’être un JE

CM :LES THEORIES DE SOINS Introduction : A partir des apports qui vous ont été faits sur les concepts HOMME-SANTE-SOIN, nous avons remarqué que : Le soin est un acte responsable, un acte d’accompagnement visant à appréhender l'individu dans sa globalité afin d'aider à maintenir la vie ou l'accompagner dans ses derniers instants. Acte responsable : acte réfléchi, qui présente toute garantie d'efficacité et de sécurité. Acte d'accompagnement : le soignant apporte des soins en concertation

travail de Suburbia consistant à faire des portraits de couples (On est marié depuis 2 mois et tout ce qu’on a est dans cette pièce), amis lors d’occasions particulières. Le photographe découvre alors toutes la panoplie des possibilités lié à son environnement (rencontres, contextes etc…) avec l’introduction d’effets de perspectives, illusions d’optiques, jeu de lumières, déguisements, contrastes dont Jeff Wall en est un exemple avec Ainsi, toujours en lien étroit avec les grands courants et innovations

XXe siècle. Il a notamment écrit J’irais cracher sur vos tombes en 1946 ou L’Automne à Pékin en 1947, d’où ce texte est extrait. Dans ce dernier, un narrateur interne rapporte un meurtre. Cependant, cet homme doit-il être considéré comme un tueur ? Les choix narratif et la présence d’un environnement hostile permettent d’aiguiller le lecteur. Premièrement, l’arme n’est presque jamais nommée, jusqu’à ce que Claude ait à s’en servir, là il est nommé trois fois. Tout au long du texte des