L Homme Inhumain

mon arrivée au Surinam, lorsque devant mes yeux grands ouverts, je fus soumis à une abomination. A mes pieds, était étendu un pauvre homme a qui on avaitcoupé la jambe gauche et la main droite. Il ne portait plus que la moitié d’un habit. Je vous raconte ceux-ci afin de vous ouvrir les yeux sur ce qu’est véritablement l’esclavage. Deviné ce que m’adit ce pauvre homme quand je lui ai demandé pourquoi était-il ici dans cet état des plus horrible ? Il m’a répondu qu’il attendait son maître et que c’était

Un type humain : « la soif d'or des Parisiennes » a) La comtesse à deux maris b) Une jolie femme, rusée et comédienne c) Un type humain : une Parisienne sans cœur assoiffée d'or II. Notes prises en cours 1/ caractères : manipulatrice, inhumaine, profiteuse, cupide, gracieuse, malhonnête, rusée, comédienne, élégante, belle, vicieuse, qui a de l'âge 2/ extraits et situations : un des personnages principaux de l'histoire dont l'ancien titre «  la comtesse à deux maris » c'est

triangulaire, une pratique inhumaine L'auteur montre à de nombreuses reprises sa subjectivité, il va dénoncer l'esclavage comme une pratique inhumaine et amorale. ► RL du commerce omniprésent : "négoce", "acheter" "marchandise" "commerce" "vente" "propriétaire" "vendre" = l'auteur nous présente les esclaves comme des marchandises aux yeux des négociants, il connote ces termes péjorativement ► Comparaison L9 "les négociants les font…" met en valeur les condition inhumaines, la violence imposée

très pauvre dans une chambre de dar sbitar (une maison collective), cette famille affronte le quotidien animé par la faim.la mère de famille veuve, n’arrive plus a subvenir aux besoins de ses enfants et face a son désespoir elle devient presque inhumaine. Omar son fils et un petit garçon qui affronte ce quotidien en essayant de faire son mieux pour aidé sa mère, il essaye de comprendre leurs condition de vie leurs actes. Dans cette maison vie un dénommé Hamid Saraj un esprit intellectuelle qui

alors différents prétextes pour exécuter des êtres humains. De plus, tiré de cette même charte, vous ne respectez pas l’article 5 précisant que nul ne sera soumis à des traitements cruels, inhumains ou dégradants. Ne trouvez-vous pas cela inhumain d’enlever le bien le plus précieux qu’il puisse y avoir à un homme, sa vie ? Pour ma part, je crois que les gens condamnent à mort un accusé par vengeance, pour répondre à un besoin. Celui d’apaiser leur esprit et de croire que de tuer une personne règlera

« Voir avec des yeux de peintre, c’est voir mieux que le commun des mortels » selon Bergson. « L’homme a-t-il besoin de l’art ? ». Dans cette question le terme homme signifie que l’homme est un être vivant appartenant à l’espèce animale la plus évoluée de la Terre. C’est un mammifère de la famille des hominiens, il est caractérisé par une intelligence développée. C’est un « animal politique », selon Aristote. Ce serait en effet pour qu’il puisse s’entendre avec ses semblables sur le bon et le juste

avait les soldats qui combattaient avec des machines comme les mitrailleuses et les mortiers; dans la seconde on avait les munitions, les provisions et le matériel, ici ils pouvaient prendre un peu de repos. Les conditions de vie étaient souvent inhumaines, en effet il n’y avait pas d’espace pour dormir parce que les tranchées avaient généralement une profondeur de trois mètres donc ils devaient se coucher par terre ou sur la paille. Il n’y avait pas la possibilité de se laver par conséquent ils

des trois, car c’est un « homme tronc», il est amputé des deux jambes et des deux brase, il doit se servir de ses dents pour tenir ses cartes, et sa mâchoire, son cou, comme une partie de son crâne sont pansés avec des morceaux de métal. Au second plan, on distingue un décor de café avec des journaux allemands, un porte-manteau et un lampadaire, ce qui confirme la présence de la table et des chaises au premier plan. L’œuvre d’Otto Dix présente des personnages inhumains, de véritables monstres, aux

Karl Marx Le Capital La Bible => mythe qui a une valeur didactique (qui va enseigner). Ce mythe va donc répondre à un certain nombre de préoccupations de l’Homme. Le mythe biblique n’a aucunes valeurs scientifiques. Par rapport au travail, homme et femme vivent dans le jardin d’Eden (Adam et Eve), ils ne souffrent que d’un seul interdit => toucher à l’arbre de la connaissance. En mangeant se fruit défendu ils découvrent leurs différence physique, pour les punir Dieu va les condamner à travailler

vers lui. Certains s’agrippent même à lui, dans un élan de désillusion. Les lignes de forces, que sont l’axe de la rame, le bras tendu de l’homme sur son épaule et le bord de la barque, le désignent aussi comme centre du tableau. On peut voir un homme qui tient sa main tout près du chapeau. Les personnages se séparent en deux groupes : les démunis, caractérisés par des traits crispés et une tenue pitoyable (allongés, à moitié par dessus bord etc.) et les hommes forts, possédant un instinct de survie