L Homme Inhumain

Introduction Ce texte est extrait de l’œuvre d’Albert Camus, L’Etranger, publiée en 1942. Dans ce roman, Camus s’interroge sur la relation de l’homme face à son existence. Il cherche à savoir si la vie a un sens. Dans L’Etranger, il nous présente un homme ayant commis un meurtre et qui va assister à son procès puis a sa condamnation à mort. L’extrait présenté ici est l’incipit. On y découvre la narrateur-personnage confronté à la mort de sa mère dont il apprend la nouvelle par télégramme. Pour se rendre

respecter des règles communes. Thomas Hobbes a voulu montrer pourquoi les hommes ont passé ce premier contrat. « Le Léviathan » désigne cet homme à qui tous les autres remettent leur liberté, et leurs armes, en échange de la sécurité. C’est ce pacte qui institut l’état social. A la peur permanente de tous les hommes, ils préfèrent la peur d’un seul homme mais tout puissant. Comme le Léviathan dispose du « monopole de la violence légale », les autres violences deviennent hors la loi. Il faut respecter

colonel Chabert, du personnage, Le vieux soldat, cet homme foudroyé, l’inconnu, Le vieillard, le pauvre homme Présentation des personnages : Personnage 1 : le colonel Chabert Chabert ancien soldat de l’armé est un homme en fin de vie, sous cette apparence de mort-vivant se cache un homme bon. Il fut marié à Rose Chapotel, moqué et prit pour fou il finira ses jour seul a la campagne. Personnage 2 : la comtesse Ferraud Profiteuse, vicieuse et inhumaine la comtesse Ferraud ancienne prostitué au palais

l’enfant même encore dans le sein de sa mère - il veut étendre à tous les hommes le droit de propriété et sa réalisation effective. Il faut que tout homme puisse vivre humainement, avec assez de sécurité pour échapper au cri de ses entrailles, et assez de loisir pour réaliser qu’il est esprit. Quand la propriété ne sent plus l’esprit, quand elle rend inhumaine la vie d’un grand nombre, elle cesse d’être un droit - et peut devenir un crime. Alors il faut réviser les valeurs et opérer une nouvelle répartition

L'ÉTRANGER L'œuvre étudiée, “L'étranger”, fut écrite par Albert Camus en 1942. Ce titre est très significatif car le roman raconte l'historie d'un homme qui se sent un étranger dans la société. Ce livre se compose au total de 175 pages de la collection Blanche où la syntaxe est simple à comprendre et s'adresse aussi bien à des lecteurs expérimentés qu'à des apprentis. Le texte se compose ainsi en deux grandes parties où dans la 1ere partie Albert Camus favorise les courtes phrases alors que la seconde

Surmoi : instance de la personnalité psychique dont le rôle est de juger le « moi » ==> Horace n'est plus un homme mais un mythe. Paradoxe des deux hommes : · Horace : Héros = spectacle a lui seul. Se montre au grand jour, s'expose, fait une action d'éclat : il s'offre triomphant au yeux de l'univers. Affirmation de l'idéal stoïcien : « le sort » vers 431 = le destin, les dieux. Aucun homme ne gouverne sa destinée = hasard. Verbe « offrir » vers 432 = cadeau du ciel. Thèse paradoxale par Horace

d'un acte qu'il est inhumain ? Le respect n'est il du qu'à la personne ? Une passion sans illusion est elle possible ? Peut on tout justifier ? Le plaisir est il l'origine et la fin de l'art ? Y a t'il un intermédiaire entre savoir et ignorer ? Peut on dire que la perception est une connaissance ? Un homme sans passé peut il être libre ? L'expérience est elle la seule source de nos connaissances ? Peut on comparer l'histoire de l'humanité à l'histoire d'un homme ? Y a t'il de bons

caractérisent par des débuts obscurs. Mussolini doit son pouvoir à son caractère « ambitieux, audacieux, orgueilleux » et le rythme ternaire de ces qualifications qui s'achève sur un adjectif péjoratif ouvre la présentation négative de « ce « Duce », cet homme d’État, cet orateur » qui commence par un titre entre guillemets, comme s'il ne lui était pas approprié, et s'achève par un nom commun évoquant un statut moindre. Hitler, quant à lui, « était parti de rien ». L'un et l'autre accèdent au pouvoir grâce

écrit-il, ce qui lui donne un air inquiétant, démoniaque. Il ne connait aucun sentiment, il masque ses traits et son âme, se passe de pitié et de sincérité. On voit donc en Staline un personnage inhumain qui se méfie de tout et de tout le monde. En effet, la ligne suivante indique que Staline voit en tout homme un obstacle ou un danger qu’il n’hésiterai pas à éliminer. De gaulle image ses pensées en qualifiant Staline de Communiste habillé en maréchal, dictateur tapi dans sa ruse mais il ne reste pas

« Torture », issue du Dictionnaire philosophique, en 1764, tout en collaborant à l’écriture de L’Encyclopédie avec d’autres philosophes des Lumières. L’extrait de « Torture » que nous allons étudier, dénonce de manière ironique la torture, une pratique inhumaine, courante et légale au XVIII e siècle (en 5 paragraphes). Comment Voltaire dénonce la torture à travers l’ironie ? Nous allons d’abord voir que cette article nous informe sur la condition de la pratique de la torture, puis, la mise en place d’une