L Homme Inhumain

OBJET D'ETUDE 2 AU XXè SIECLE, L'HOMME ET SON RAPPORT AU MONDE A TRAVERS LA LITTERATURE ET LES ARTS SEQUENCE 6 : Primo levi, Si c'est un homme / Parcours d'une œuvre intégrale Objectifs : Mettre en relation l'écriture et son contexte historique Identifier le récit de Primo Levi comme un témoignage, quels enjeux ? Savoir présenter l’œuvre à l'oral de contrôle Ce dossier est à rendre pour le :  Vous le complétez en saisissant vos réponses, vous me le rendez imprimé et complet à la

amène le lecteur à penser qu’un esclave nait libre et ignore toutes autres raisons de devenir esclave. Pour ensuite se dérouler une argumentation extrêmement rigoureuse et efficace qui cherche toujours à dénoncer l’esclavagisme comme une pratique inhumaine et amorale. Elle est séparée en deux paragraphes introduit le premier par « Si », accusant les vendeurs d’esclaves et le deuxième par « D’un autre coté » dénonçant les acheteurs. Pour finir par une conclusion complexe (« donc») ne laissant pas de

------------------------------------------------- Si c’est un Homme (Primo Levi). ANALYSE COMPLEMENTAIRE ------------------------------------------------- Etude de texte ------------------------------------------------- Poème liminaire : « Si c’est un homme » p. 9 ------------------------------------------------- Liminaire : placé en tête Vous qui vivez en toute quiétude Bien au chaud dans vos maisons, Vous qui trouvez le soir en rentrant La table mise et des visages amis, Considérez si c'est un homme Que celui qui peine

sécurité de la population ou encore, rendre justice, il existe toujours dans certains hommes un besoin d’égalité s’affichant par le biais de la revanche qui veut que le crime illégal soit venger par le meurtre légitime. Sur ce problème crucial, tout homme conscient de ses responsabilités sociales a pris position sur cette controverse ; il s’est forgé une opinion personnelle généralement fondée sur un sentiment de révolte à l’égard d’un crime crapuleux ou, au contraire, d’une erreur judiciaire et la

style littéraire d’Honoré de Balzac puisque cet extrait descriptif toutes les caractéristiques du romantisme et du réalisme. Le Colonel Chabert est décrit de manière péjorative : « le vieillard », « le vieux soldat », « cet homme foudroyé », « l’inconnu », « le pauvre homme ». Toute ces expressions appartiennent au champ lexical de la vieillesse, de l’usure et du malheur. Le fait de présenter le Colonel Chabert en montrant les ravages de la vieillesse et du temps nous montre le côté réaliste de

implication forte de la part du locuteur : « Pour dire vrai, je vois bien entre ces tyrans quelques différences, mais de choix, je n’en vois pas » et « Je ne lis jamais leur histoire sans en éprouver un dépit extrême qui me porterait presque à être inhumain, jusqu’à me réjouir de tous les maux qui leur advinrent ». Le locuteur utilise la première personne du singulier et va jusqu’à exprimer un jugement personnel. Apparaît également un souci didactique évident. On peut en effet remarquer que la composition

aveugle au caractère inadmissible de celui-ci. Si vraiment désobéir à une loi injuste revient, comme veut le montrer Socrate, à menacer l’existence même des lois, il existe un risque que les citoyens finissent par obéir à des lois inhumaines. Pourtant, le jour où une loi inhumaine apparaît sur la scène de l’Histoire, c’est bien en hommes moraux qu’il nous faut nous dresser. L’obéissance aux lois qui se fait par habitude a pour première conséquence de gêner un rapport moral au monde et aux autres. Conclusion

ou reprogrammés en conformité avec l’ordre social. Une image très négative de l’homme règne dans son roman, comme pour critiquer la discrimination ou plus encore la dégradation actuelle de la femme dans cette société alimentée par l’inégalité homme / femme. Inutile de préciser ô combien ce thème fait débat aujourd’hui, notamment avec Le Laboratoire de l'Egalité qui souhaite mettre le sujet de l'égalité hommes-femmes à l'ordre du jour de la campagne présidentielle. Enfin, un des thèmes majeurs

armés. Leur visage exprime la peur, le désespoir mais aussi le courage. Parmi eux, il y a un homme vêtu de blanc, il a les bras en croix, position qui nous rappelle celle du Christ sur la croix, et les fusils des hommes sont pointés sur lui. Si on regarde de plus près, on peut voir que l'homme en blanc a un stigmate (=signe chrétien de la crucifixion) dans la main. Il est très éclairé. A droite de cet homme, on voit d'autres hommes, agenouillés, il y en a un qui prie. Sur la partie droite du tableau

grec. Pour finir ce terme (être un apollon) c’est transformée en un terme désignant un très beau jeune homme. Ensuite, un dieu dépasse le corps et la chair ! Plus particulièrement, elle enlève la limite de l’imaginable non parce qu’elle arrive à être polyvalent dans plusieurs compétences existentielles crées par l’homme mais belle est bien car un dieu arrive à faire un ensemble de chose inhumain (au sens mélioratif du terme.)Comme par exemple donner la vie ou bien voler comme un oiseau tout simplement