L Homme N Est Rien D Autre Que Son Projet Sartre

un spécialiste (moi qui vous parle en connaissance de cause). On peut donc lui faire confiance. -Il utilise les phrases interrogatives : il pousse son interlocuteur à réfléchir. Mais il apporte lui-même la réponse. Non ! une négation absolue « rien n’est perdu » « sans limites » « cette guerre n’est pas…La France n’est pas seule… toutes ces phrases, De Gaulle les présente comme des assertions. Son intention est que les français ne doutent pas. Il ne laisse pas la place au doute. -la certitude

bonnum). La modernité (Schopenhauer, Camus, Sartre, Kant) est beaucoup plus pessimiste sur sa possibilité. Entre les deux, les morales chrétiennes ont tenté de remplacer le bonheur par la vertu comme but de l’existence. Le bonheur ne se réduit pas au plaisir, car si le plaisir peut être atteint, satisfait, le bonheur lui ne se laisse jamais donner, il se vise, se projette : “Notre bonheur ne consistera jamais dans une pleine jouissance, où il n’y aurait plus rien à désirer; mais dans un progrès perpétuel

noirs dans sa jeunesse puis des romans historiques. Il s'intéresse aux « scènes de la vie privée », à la famille, la société en crise. Il écrit aussi des contes d'artistes. Avec Eugénie Grandet, Balzac s'empare de la province bien qu'il n'y trouve rien, qu'il la trouve terne : c'est un lieu anti-romanesque. Il considère le roman comme un genre libre mais qu'il faut établir une politique du roman. Il établit donc un traité philosophique (traduit de Spinoza) de la volonté du roman. Le roman de mœurs

motivations affectives. En ce sens, l’obligation requiert un effort de ma volonté selon l’obéissance à un impératif éthique. _ La promesse : expérience d’une tension intrapsychique tempéralisée et ouverte sur autrui. C’est un engagement de soi adressé à un autre qui commande la volonté de se maintenir fidèle à la parole donnée malgré les changements de situation et les instabilités caractérielles. Elle ne s’opère que par la conjonction de 2 libertés : l’une qui s’engage librement et l’autre qui répond en donnant

changement continuel en moi-même. A chaque instant, j'ai affaire à une pensée différente. La conscience est aussi bien le moyen d'éprouver que je ne demeure pas absolument le même. Autrement dit, il y a une altérité au cœur même du sujet: "Je est un autre" (Rimbaud). Cette altérité, cette altération n'est-elle pas de nature à compromettre la connaissance que je peux avoir de moi-même? Que signifie "moi-même"? Est-on jamais soi-même? Cela supposerait une coïncidence à soi qui n'est peut-être jamais donnée

le problème que pose l’écriture de soi, à savoir son refus de l’effet miroir, effet qui réduirait l’écrire à un se décrire ? Dans cette perspective, nous garderons en mémoire l’avertissement de Sartre dans Qu’est-ce que la littérature ? quand il montre qu’il n’y a rien de plus tragique que de projeter « ses émotions sur le papier ». Cet avertissement sera relayé par G. Deleuze quand il écrira que la littérature ne se résume pas à une petite affaire personnelle. Si le coeur brisé engendre souvent

Un homme peut-il être heureux sans amis? Thèse: Selon moi, non, personne ne peut être heureux sans amis. Personne ne peut vivre en solitude en même temps d'être heureux. Toutes personnes ont besoin d'autrui pour pouvoir accéder à son bonheur, car nous avons besoin de pouvoir partager notre bonheur avec d'autres personnes. Comment voulez-vous être heureux si vous ne pouvez pas partager cela avec quelqu'un d'autre? Si l'être humain était heureux, il n'aurait besoin de rien et de personne, donc

mais n'aspire à rien. Pour aspirer à quelque chose, il faut vouloir et penser; la matière ne pense pas. La pluie fait pousser les plantes et l'on peut étudier comment, mais elle ne tombe pas pour les faire pousser. La nature n'est plus un tout vivant qui nous indique notre place et nos fins. Qu'est-ce qui en résulte pour Descartes? Tout d'abord que l'homme, dans la mesure où il pense, échappe à ce mécanisme: une machine ne pense pas, elle fait partie du monde et n'en sait rien, tout comme l'animal

fonctionne mais n'aspire à rien. Pour aspirer à quelque chose, il faut vouloir et penser; la matière ne pense pas. La pluie fait pousser les plantes et l'on peut étudier comment, mais elle ne tombe pas pour les faire pousser. La nature n'est plus un tout vivant qui nous indique notre place et nos fins. Qu'est-ce qui en résulte pour Descartes? Tout d'abord que l'homme, dans la mesure où il pense, échappe à ce mécanisme: une machine ne pense pas, elle fait partie du monde et n'en sait rien, tout comme l'animal

mais des sentiments, besoins. La réaction est immédiate. Il n’y a pas d’intention de signifier. Il faut bien distinguer cette simple fonction sensori-motrice de la véritable faculté de représentation, qui est une faculté de tenir une chose pour une autre (par exemple, utiliser un fétiche, jouer à la poupée, utiliser un mot), en sachant qu’il ne s’agit pourtant pas de cette chose. C’est-à-dire faire semblant en ayant conscience de faire semblant. Ainsi on pourrait dire que les animaux utilisent des