L'Homme que j'aime

humaine) – qui sera tant prôné deux décennies plus tard par Rousseau, notamment – est considéré ici comme une ébauche de l'humanité (v. 30). II. Le choix d'un bonheur terrestre1. Le luxe, la prospéritéVoltaire affirme fortement son goût du luxe : « J'aime le luxe » (v. 9), « Tout sert au luxe » (v. 20). Il associe le luxe à l'abondance (vers 14) et à toute l'expression de la richesse : « L'or de la terre et les trésors » (v. 18), « les nouveaux biens » (v. 27). Il insiste sur la notion d'abondance

célèbre poète du XIXesiècle, chef de file du mouvement romantique. Ce texte, « J’aime l’araignée », composé de sept quatrains alternant décasyllabes et pentasyllabes en des rimes croisées, est extrait d’un recueil, Les Contemplations, publié durant l’exil de l’écrivain en 1856  et plus précisément du livre III, « Les luttes et les rêves ». (1856) Victor HUGO   (1802-1885) J'aime l'araignée J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait ; Et que rien n'exauce et que tout châtie Leur

plus passionnant à traiter, étant donné qu’il m’intéresse énormément.  Ainsi, lors de la présentation des thèmes, il m’a parut évident que l’exotisme et le voyage serait celui pour lequel j’éprouverai le plus de plaisir à réaliser une anthologie. J’aime également très fortement les récits et carnets de voyage, c’est pourquoi j’ai choisi de réaliser mon anthologie sous cette forme." CIV - L'Âme du Vin Un soir, l'âme du vin chantait dans les bouteilles : "Homme, vers toi je pousse, ô cher déshérité

ne soyez pas. »: voila ce que nous dit la société actuelle. Que se soit sur les murs, les écrans de cinéma, la tv, les pubs, les magasines, internet, les journaux… tous vantent LA beauté, une image stéréotypée de la femme mince et uniforme, et de l’homme fort et virile. Tous nous mettent sous pression permanente au risque de nous aveugler sur notre propre beauté. Alors, qu’est-ce que réellement LA beauté? La beauté peut-elle avoir de l’influence sur notre bien être? Qui fixe les critères de la beauté

pourfend aussi l’idéologie et la philosophie. Enfant, il a donc découvert la littérature comme un sauvetage et « le moyen de s’approprier le monde »[2], d’inventer des histoires dont il était le héros, justifiant ainsi sa propre existence : « Ce que j’aime en ma folie, c’est qu’elle m’a protégé […] contre les séductions de l’élite. » Et de rajouter : « Ma seule affaire était de me sauver. » « J’écris toujours. Que faire d’autre ? » Transparaît ici une relation ambivalente, car en s’interrogeant ainsi

Platon disait qu'elle était inutile car elle éloigne l'homme de la vérité première, l'intelligible, l'idée est très vite dépassée, je ne la partage pas, j'estime d'après mon expérience de lecteur, que la poésie est utile, son rôle est important dans la littérature. Elle peut en effet procurer du plaisir par la beauté qu'elle offre et ses réflexions. J'aime lire les poèmes du Parnasse car ils proposent une perfection formelle, on est dans le culte de la forme, c'est l'art pour l'art. On peut par exemple

Preface Dans ce livre c’est l’ame de l’afrique qui parle. Avec pudeur, ce que j’aime dans ces pages, m’ecrivait jean Paulhan, c’est leur ton juste. Cette justesse de ton, c’est la pudeur meme de l’ame de l’Afrique noire,heritage sans doute d’une tres vieille et tres complexe, caracteristique essentielle, a mon gout, de sa civilization. Contrairement a ce que croient beaucoup Europeens l’Afrique,et particulierement cette region du Soudan ou est nee Bqdian Seydou, n’est point une terre viergede

mais privilégient les produits à faible valeur ajoutée ; les consommateurs les plus âgés privilégient les produits à forte valeur ajoutée mais ont des fréquences d’achat plus espacées. DU COTE DES HOMMES… Pour l’homme, tout est différent… Si la femme porte de la lingerie, l’homme, lui, en est encore à l’étape des sous-vêtements. C’est le nom qu’il préfère donner à un vêtement « caché » sous d’autres. Au cours du « Salon de la Lingerie » de Paris en 1999, le lancement du terme « lingerie masculine

parole Sans me regarder Et moi j'ai pris Ma tête dans ma main Et j'ai pleuré 104 - Je suis comme je suis Je suis comme je suis Je suis faite comme ça Quand j’ai envie de rire Oui je ris aux éclats J’aime celui qui m’aime Est-ce ma faute à moi Si ce n’est pas le même Que j’aime chaque fois Je suis comme je suis Je suis faite comme ça Que voulez-vous de plus Que voulez-vous de moi Je suis faite pour plaire Et n’y puis rien changer Mes talons sont trop hauts Ma taille trop cambrée

Passion,nf. :Affection très vive,presque irrésistible qu'on éprouve pour une chose,un objet de cette affection. Cette passion pour moi,je l'ai dans la danse. Danser pour moi, m'a tout de suite plu.Me demander pourquoi j'aime la danse revient à me demander pourquoi j'aime la vie. Ma mère m'a toujours dit :"Tu as su danser avant de savoir marcher." et cette phrase m'a marqué car je me suis rendue compte,lorsque ma mère me l'a dite,que j'étais faite pour danser,pour bouger. Danser,ce verbe si simple