L Homme Un Animal Doué De Raison

serait-il pas l’homme que je suis plutôt que l’individu que je crois être ? On a pu définir l'homme comme un ''animal doué de logos'', c'est-à-dire douée d'une parole rationnelle (Aristote). Mais aussi comme un ''animal politique'', capable d'élaborer une société complexe et évolutive. Ou bien encore comme un ''animal capable de rire.'' Aussi bien peut-on définir l'homme comme un animal pétri de désirs. Si la philosophie classique insiste sur la rationalité humaine, constituant la dignité de l'espèce

Le sentiment de la liberté est-il fiable? Un sentiment = une émotion subjective. Par exemple, l'amour, la haine, la joie, la tristesse... Etant subjectif, on ne connaît pas les causes, les raisons d'être de nos sentiments. On ne sait pas pourquoi on éprouve tel sentiment pour telle personne à tel moment. Le sentiment semble donc arbitraire. Ce n'est pas parce que telle personne est aimable qu'on l'aime, c'est parce qu'on l'aime qu'on la trouve aimable. Et lorsque le sentiment a disparu, on se

guerre de tous contre tous est permis par un droit naturel qu’ont les hommes, qui est celui d’être libre de faire tout ce que l’homme juge nécessaire à la conservation de sa vie. C’est un droit subjectif, un attribut de l’individu en tant qu’il est homme. Ce droit naturel est un droit subjectif, universel, égal, et ce droit, dans l’Etat de nature, est déterminé par le jugement de chacun ; chacun est juge de ce qu’est son droit naturel. Tant qu’il n’y a pas d’Etat, ce droit naturel se transforme en

Dans "les politiques", Aristote donne la définition de l'homme : "l'homme est par nature un animal politique" '1252). Pour Aristote, donner une définition c'est dire la nature d'un être, et la nature de quelque chose (= sa fin). La finalité de l'homme est de vivre en societé politique (polis = cité donc ~citoyenneté). On va pouvoir définir chez Aristote l'espèce : Aristote = fils de medecin, cela va l'interesser d'analyser les choses d'une facon matérialiste (symptomes). Il va s'interesser aux

Etre libre c’est assumer ses actes Etre libre consiste à assumer l’ensemble de ses actes ; être responsable consiste à répondre du fait de la liberté qu’ils témoignent. L’autodétermination Capacité morale de se déterminer par l’usage de la raison et de la l’intelligence en opposition avec les passions. Le libre arbitre « L'homme possède le libre arbitre, ou alors les conseils, les exhortations, les préceptes, les interdictions, les récompenses et les châtiments seraient vains. Pour établir

Emmanuel Kant : Le « je » dans sa représentation. Il s'agit dans ce texte de Kant de montrer que la possession du «je» permet de définir le sujet humain. Se saisir comme un «je pense », c'est se manifester en tant que conscience réfléchie. Ainsi tout homme doit être pensé comme un «je pense ». La conscience de soi est pensée en termes de "pouvoir", et est définie comme la condition de possibilité de toute représentation dans cet extrait. On peut donc à partir de ce texte en retirer une thèse qui est

d’autant plus libre qu’on est de la connaissance d’autrui ? indifférent au jugement d’autrui ? -Puis-je me mettre à la place d’autrui ? -Autrui est-il une limite ou une condition de ma liberté ? -Sans autrui, puis-je être humain ? -Qu’est-ce qu’un homme seul ? -Puis-je me passer d’autrui ? -Peut-on vivre sans les autres ? -L’expérience de la solitude favorise-t-elle la découverte de soi ? http://www.philocours.com/bac/Sujet/ficheautrui.html 02/10/2006 fiche sur Autrui Page 2 sur 5 Les rapports

d’autant plus libre qu’on est de la connaissance d’autrui ? indifférent au jugement d’autrui ? -Puis-je me mettre à la place d’autrui ? -Autrui est-il une limite ou une condition de ma liberté ? -Sans autrui, puis-je être humain ? -Qu’est-ce qu’un homme seul ? -Puis-je me passer d’autrui ? -Peut-on vivre sans les autres ? -L’expérience de la solitude favorise-t-elle la découverte de soi ? http://www.philocours.com/bac/Sujet/ficheautrui.html 02/10/2006 fiche sur Autrui Page 2 sur 5 Les rapports

BEAUMARCHAIS, Le Mariage de Figaro, 1784 La critique de la société au 18ème siècle Acte V, Scène 3 Introduction : Né en 1732, le parisien Pierre Augustin Caron de Beaumarchais, fils d’horloger, se révèle très vite doué pour les Sciences et les Lettres. Malgré de courtes études, c’est un ambitieux qui ressemble beaucoup à son futur personnage de Figaro : ses pièces seront nourries de ses déboires dans le commerce, de ses expériences de voyageur et de ses démêlés avec

organes qui proposent et promulguent les lois, et les droits, on peut faire un rapprochement sur le fait que c’est la société qui créée sont droit. Certain citoyens peuvent être en désaccord avec ce qui est proposé mais comme la majorité a « toujours raison », les lois qui sont votées sont en accord avec la société. Le droit est source d’un ensemble de personne, d’individus, et ces individus froment une société. Une société est régie par des droits et des devoirs. Tut le monde à le même droit mais les