L Honnete Homme

cité : le rôle de l'Eglise Plusieurs personnages incarnent l'Eglise dans Lorenzaccio, le premier qui apparaît en Valori dans l'acte I, sc4. Il est un personnage sympathique parce que le duc le présente comme un homme d'Eglise, exceptionnellement honnête : « le seul prêtre honnête homme que j'aie vu de ma vie ». Pourtant, il est le porte-parole du pape : il est chargé de rappeller au duc les conseils de rigueur donnés par Charles Quint, que le pape voudrait qu'il applique. Il doit calmer, comme le

effet la sincérité extrème de Rousseau met le lecteur en garde : comment est-ce que c’est possible qu’un homme soit entièrement honnète ? Lorsqu’il lit l’œuvre lui-même, cette suspicion est encore soutenue. Rousseau a fait semblance, comme l’on a trouvé, que ses Confessions sont graves et nombreuses, alors qu’elles soient pitoyablement ennuyeuses. Apparement, cet auteur est non seulement honnète, mais plus ou moins parfait : ça ne peut pas ètre vrai. En fait, il semble de moquer de son projet, car

interminable, Mademoiselle de Chartres devint Madame de Clèves. Mais peu à peu, elle se rend compte qu'elle n'a d'yeux que pour le Duc de Nemours, un homme séduisant et fin. Le fait qu'ils se voient souvent fera redoubler d'ardeur leur passion. Mais la Princesse de Clèves a des doutes. Est-il vraiment honnête, envers son mari, d'aimer un autre homme ? Elle ne peut cependant s'en empêcher. Cette passion infernale tuera sa mère. Pleine de mélancolie et de désespoir, elle passa quelques jours à la campagne

tolérance. Pour le philosophe, la civilisation de l’homme l’introduit à la misère; en refusant de suivre les lois de la nature, il s'est imposé des obstacles, ce qui fait qu’il est la source même de ses malheurs. On a introduit au-dedans de cet homme un homme artificiel : Tantôt l’homme naturel est le plus fort ; tantôt il est terrassé par l'homme moral. Son âme est tiraillée entre nature et culture ; Etre libre ou bien suivre les lois qu’il a établies. L’avis de

embrasse les genoux de son maître.) Cléantis Expliquez-moi donc ce que je vois ; il semble que vous lui demandiez pardon ? Arlequin C'est pour me châtier de mes insolences. Cléantis Mais enfin, notre projet ? Arlequin Mais enfin, je veux être un homme de bien ; n'est-ce pas là un beau projet ? Je me repens de mes sottises, lui des siennes ; repentez-vous des vôtres, Madame Euphrosine se repentira aussi ; et vive l'honneur après ! cela fera quatre beaux repentirs, qui nous feront pleurer tant que

libertin. Dans ce texte extrait du chapitre 13 de la deuxième partie de Madame Bovary, Rodolphe, séducteur et amant de l’héroïne, écrit une lettre de rupture à Emma. Aussi pouvons-nous nous demander comment Flaubert brosse-t-il le portrait d’un homme lâche ? Nous verrons dans un premier temps le regard que porte Rodolphe sur Emma avant d’analyser le triple portrait de l’auteur fait du personnage. I. Le regard de Rodolphe sur Emma Bovary Cet extrait ne fait pas directement intervenir

de lectures : 1° Les actes de paroles et les symboles : les armes utilisées contre le Comte. A) La flatterie B) Le rôle des symboles 2° Le Comte, personnage prisonnier de ses masques A) Un homme pris au piège de son image de despote éclairé. B) Un homme pris au piège de son rôle de chevalier galant. PARTIE 1 : LES ARMES UTILISEES CONTRE LE COMTE PAR FIGARO : Figaro est un simple valet qui ne peut pas lutter à armes égales contre le Comte. Il organise alors

qu’il ressent en toute franchise ce qui peut souvent être choquant. Lorsqu’on lui demande s’il regrette d’avoir tué l’arabe, il répond « plutôt que du regret véritable, j’éprouvais un certain ennui. » (l.1483-1484). C’est cette nuance un peu trop honnête et inattendue qui le condamne. Les êtres responsables de son jugement auraient voulu entendre une désolation profonde de sa part. De plus, contrairement aux vrais héros, le personnage est insensible face au sentiment amoureux. Marie est une parmi

La vie entière de Valjean, c’est le combat avec la société pour y obtenir une place. A sa naissance, il est un homme honnête, mais pauvre. Bien qu’il travaille de toutes ses forces, il ne réussit pas à changer sa situation. Il souffre alors avec une résignation sombre, jusqu’au moment où il commet une faute fatale et qu’il est déraciné de la société « normale ». Il cesse d’être un homme : il devient un numéro. Au bagne, il passe beaucoup de temps à réfléchir. Il se juge lui-même ainsi qu’il juge

que cet habit est purgatif, et que c'est prendre médecine que de le porter. DOM JUAN: Peste soit l'insolent! Couvre au moins ta poltronnerie d'un voile plus honnête. Sais-tu bien qui est celui à qui j'ai sauvé la vie? SGANARELLE: Moi? Non. DOM JUAN: C'est un frère d'Elvire. SGANARELLE: Un. DOM JUAN: Il est assez honnête homme, il en a bien usé, et j'ai regret d'avoir démêlé avec lui. SGANARELLE: Il vous serait aisé de pacifier toutes choses. DOM JUAN: Oui; mais ma passion est