L Horloge Charogne

nourrir de flammes Et je n'avais pas assez des tours et des gares que constellaient mes yeux En Sibérie tonnait le canon, c'était la guerre La faim le froid la peste et le choléra Et les eaux limoneuses de l'Amour charriaient des millions de charognes Dans toutes les gares je voyais partir tous les dernier trains Personne ne pouvait plus partir car on ne délivrait plus de billets Et les soldats qui s'en allaient auraient bien voulu rester... Un vieux moine me chantait la légende de Novgorode

travers les âges (Les Phares3). Outre les poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage Traversé çà et là par de brillants soleils; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut

êtres autour de lui dans ce monde, mais il préfère les observer et décrire froidement en cherchant l’aspect sombre caché dans ces êtres. Donc les fleurs, le premier mai et l’enfance apparaissent souvent sous la plume d’Hugo tandis que le fantôme, la charogne et la mort répètent sous la plume de Baudelaire. Baudelaire décrit aussi les activités des êtres et des choses, mais ces êtres et ces choses fonctionnent plutôt comme une machine. Donc bien que les êtres dans les poèmes d’Hugo et de Baudelaire puissent

champs lumineux et sereins; Celui dont les pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, - Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes! LXXXV - L'Horloge Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : " Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une cible ; Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon Ainsi qu'une

Mer La beauté L'Idéal Le Masque La Chevelure L'Héautontimorouménos L'Invitation au voyage Parfum exotique Spleen Aube spirituelle L'horloge Chant d'automne Le serpent qui danse Une Charogne Remords posthume Harmonie du soir Causerie Les bijoux Tableaux parisiens (18 poèmes) [modifier] Paysage Le Soleil À une Mendiante rousse Le Cygne Les sept Vieillards Les Petites Vieilles Les Aveugles

souhaite une bonne lecture. AH ! Surtout ! N’oubliais pas que ce n’est juste qu’un rêve … Chap.1 : Ah… Les doux rayons du soleil qui tombe mes petits yeux endormis. Je l’ai ouvres à peine pour regarder l’heure sur mon horloge. 4h 15. J’ai le temps. Je regarde la fenêtre. Je peux apercevoir, le haut de notre pommier. Ces petites feuilles vertes sont rayonnantes et je ne parle même pas de ces fruits. Je sors mes pieds endoloris de sous la couette pour les poser à même le

(Les Phares3). Outre les poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). « L’Horloge » Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : " Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une cible, Le plaisir vaporeux fuira vers l'horizon

aucunement obligé de réaliser l’action - “livré”, “combat”, “devoir”, "pénible", “affreux”: l.9: registre burlesque: donne l’impression qu’il doit surmonter un combat qui le rend héroïque Mouvement 2:l.10-18 - “Neuf heure trois quart”, “sonner”, “horloge”: champ lexical du temps: il a conscience de ses émotions et du temps qui passe; montre qu’il ne porte pas d'intérêt à Mme de Rênal - “sans qu’il eût encore rien osé”: l.: négation :”sans”, ”rien”, “encore”: insistesur le fait qu’il est dans l’inaction

l'idéal inaccessible , la violence et la volupté , Outre les poèmes graves ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie et l'envie d'ailleurs . Il a aussi extrait la beauté de l'horreur comme par exemple dans son poème ''une charogne''.Son recueil ''Les Fleurs du Mal'' possède une partie dédiée au Spleen et a l'Idéal. Spleen et Idéal est la première partie des Fleurs du Mal, la plus longue où Baudelaire va à la découverte de sa dualité, cause de son mal : Dualité de l’expérience

....................................................................................19 LE SERPENT QUI DANSE....................................................................................................................................20 UNE CHAROGNE..................................................................................................................................................21 DE PROFUNDIS CLAMAVI.............................................................................