L Horreur Des Tranchées

dans l’espoir que de telles horreurs ne se reproduiront plus jamais . Problématique : Dans quel but les artistes réalisent ils des œuvres sur la guerre ?  (Conclusion) Les artistes de professions différentes ( peintres , écrivains , musiciens ) , ont crée des œuvres ayant pour sujet la guerre , tout d’abord par devoir de mémoire , pour que personne n’oublie , et ne refasse les même erreurs que dans le passé , mais aussi pour dénoncer , critiquer les horreurs de la guerre , ils accomplissent

des raisons de ma venue ici, dans ce conflit mondial. Par votre faute je subit des traumatisme a longueur de journée, aussi bien sur le front que dans la tranchée. Tous les jours je vois mes camarades tombé sans presque jamais pouvoir rien faire, je suis impuissant de tous ce qu'il ce passe ici. Dans la tranchée nos conditions de vie sont insupportable. Vous savez aussi bien que moi pourquoi je suis si agressif avec vous, ce que je vous reproche, sinon cette lettre est

du système des Alliances. b) La mobilisation générale En l’espace d’un mois, tous les grands pays sont entrés en guerre. On pensait que c’était rapide. Les adversaires constatent se sont trompés, et que la guerre va durer, et s’enterre dans les tranchées. Cette guerre va durer 4 ans, personne ne progresse véritablement. Durant ces 4 ans, beaucoup d’offensives sont meurtrières et inutiles. Bataille de la Somme et de Verdun (1916) Offensive du chemin des Dames (1917) c) La guerre s’étend dans

Les effets traumatisants de la guerre sur Dix se traduisent sous une forme expressionniste. Il y tient un journal graphique pour dessiner ce qu'il voit et ce qu'il ressent, près de six cents pièces dessinées avec les moyens du bord, du fond de la tranchée. Il est gravement blessé plusieurs fois sur le terrain et l'horreur de la guerre l'affectera et le traumatisera profondément comme en témoignent nombre de ses travaux. Il produit une série de tableaux mordants jusqu'à l'absurde. Avec son ami George

I) La fin d'un siècle a) La mort symbolique du lt Rénier Le monologue de Messard débute part la découverte du corps du Lieutenant Rénier. Le soldat décrit comment Castellac et Ripoll ramène son corps et le font glisser dans la tranchée. Le corps est tiré par les bras, l'effort semble difficile. L'emploi, des adjectifs "lents" et "fatigués" pour définir les mouvements des deux soldats, renforce cette atmosphère pesante, pleine d'épuisement. Ensuite, le corps tombe aux pieds de Messard. Le verbe

soldat des tranchées Albert Jugon, est prise en septembre 1914 par un auteur inconnu. Il avait été pris pour mort sur le camp de bataille avec la moitié du visage et la langue arrachée et l’œil droit crevé, mais finalement ces autres compagnons ont réussi à le sauver. Le mot « traumatisme » fait référence à cette image puisqu’on peut déduire que ce brave homme a été traumatisé par la défiguration de son visage et par la violence et les horreurs vécues pendant la guerre des tranchées. De plus, on

au front, tandis que les femmes travaillent dans les usines pour fabriquer des armes ou encore dans les champs pour donner des vivres aux soldats. La guerre fait beaucoup de dégâts, aussi bien matériel que humains. Les conditions de vie dans les tranchées sont misérables : malnutrition, maladies, manque d'hygiène ... -L'auteur du tableau est le peintre allemand Otto Dix. Né le 2 décembre 1891 à Umtermhaus dans l'Empire Allemand dans le milieu ouvrier car son père était minier. Il est élevé avec une

Apollinaire décèle très tôt le talent d'André Mare : « J'ai parlé des ensembles mobiliers, ils montrent et tout particulièrement les ensembles d'André Mare, que le moment va arriver où nous allons enfin voir des meubles nouveaux qui ne soient pas des horreurs ». (L'Indépendant du 14 octobre 1911). Architecte global d’intérieur, il conçoit pendant huit ans avec Louis Sue près de deux mille modèles, et compose cinquante à soixante ensembles parmi lesquels la décoration de l'ambassade de France à Varsovie

bombardement nous montra notre erreur et fit écrouler la conception des choses qu'ils nous avaient inculquée. » — Erich Maria Remarque, À l'ouest, rien de nouveau, chapitre I4. Tout au long du récit, Paul raconte les abominations de la guerre : les tranchées ne sont même plus en état d'être occupées, envahies de rats ou complètement détruites par les obus. Heureux d'avoir une permission, Paul rentre chez lui, mais n'est compris que de sa mère qui ne lui pose aucune question. De retour de permission,

tension du regard/regard bestiale. Violence expressionniste du pinceau qui balafre le visage de couleur importance de la date. Il c’est engagé volontairement à l’armée et après contre la guerre, après avoir été dans les tranchées à Verdain en 1915, il dénonce les horreurs de la guerre. Autoportrait en soldat,, il est en uniforme c’est un autoportrait recto/verso . « L’autoportrait est l’avoue d’un état d’âme » = Qu’il ressent quelque chose et représente la personne.