L Hypocrisie De Tartuffe

ses intentions en décrivant un personnage qui n'est pas totalement noir. Il est intelligent et courageux. Dans ses duels verbaux contre Sganarelle, contre son créancier et contre son père, il gagne haut la main. D'autre part, son cynisme et son hypocrisie ne peuvent que révulser le spectateur. En fait, la pièce est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses[2]. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie

TARTUFFE EXTRAITS  http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19540366&cfilm=208007.html  ACTE I  Scène 1 : Mme Pernelle : ELISA + ELMIRE : Manon + DAMIS : Mathis + MARIANE : Laura +  Cléante : Arold + DORINE : ALICE – FLIPOTE : Jules  MADAME PERNELLE  Allons, Flipote, allons, que d'eux je me délivre.    ELMIRE  Vous marchez d'un tel pas qu'on a peine à vous suivre.    MADAME PERNELLE  Laissez, ma bru, laissez, ne venez pas plus loin:  Ce sont toutes façons dont je n'ai pas besoin.  Oui, je sors de chez vous fort mal édifiée: 

cette entreprise trop facile et veut séduire madame de Tourvel car elle est presque inaccessible) et comme Dom Juan , il cherche a arracher Madame de Tourvel à Dieu , de la détourner de son mari. . Il peut aussi être assimiler à un tartufe à cause de son hypocrisie religieuse , en effet il assiste a la messe et écrit au confesseur de madame de Tourvel pour lui demander d'être son guide spirituel , il se fait « bon » chrétien afin de séduire madame de Tourvel , mais n'a en réalité que faire de la

péripéties il emploie « mais », ce mot permet de faire un pivot dans son discours. Il y a notamment une diérèse ironique avec la conscience du lion. Cette confession du lion est hyperbolique cela évoque la contemporanéité (apparenté dans la confession de Tartuffe de Molière. Rejet et enjambement avec le bergers on atteint le sommet de l’hypocrisie, c’est le milieu de la fable le péché est avoué. Le lion feint la réticence qui produit en réalité le plus de délectation. Le « donc » et le « mais » donne l’impression

époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Réception[modifier] Frontispice des Œuvres de Molière (éd. de 1734) Cette pièce de Molière suscita à sa création une levée de boucliers des dévots. Écrite juste après Tartuffe, où Molière fustigeait l'hypocrisie de certains dévots, elle semble aux yeux des religieux de l'époque une apologie du libertinage. Le seul défenseur de la religion semble être Sganarelle, pour lequel la religion ressemble fort à de la superstition

l’ignominie,Comme une honte due aux crimes de ma vie.(Le Tartuffe, acte III, scène 6, vers 1073-1106)Le début de la scène 6 de l’acte III nous fait assister, à un incroyable retournement de situation. Alors qu’il semblait définitivement confondu, Tartuffe va en quelques minutes si bien se rétablir qu’Orgon non seulement croira ne pas un mot des accusations qui viennent d’être portées contre lui mais l’admirera encore plus qu’il n’a l’a jamais fait. Et Tartuffe dans la suite de la scène ne manquera de profiter

et ridicule. L’auteur décrit la réalité telle qu’il la perçoit et l’utilise aux dépens des nobles pour que les spectateurs et les lecteurs sachent que cette caste pleine d’opulence et de promesses ne travaille que pour elle et cache derrière son hypocrisie et ses mensonges une réalité sale et malsaine. Parfois l’exagération de l’auteur rejoint la réalité tellement celle-ci est extrême et crue. En résumé, dans le burlesque, l’écrivain exagère les défauts de celui qu’il veut critiquer pour les faire

en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Réception [modifier] [pic] [pic] Frontispice des Œuvres de Molière (éd. de 1734) Cette pièce de Molière suscita à sa création une levée de boucliers des dévots. Écrite juste après Tartuffe, où Molière fustigeait l'hypocrisie de certains dévots, elle semble aux yeux des religieux de l'époque une apologie du libertinage. Le seul défenseur de la religion semble être Sganarelle, pour lequel la religion ressemble fort à de la superstition

février 1673. Il est acteur, chef de troupe, auteur et metteur en scène. Pour comprendre ses intentions lors de l’écriture de Dom Juan, il faut bien-entendu se replacer dans le cadre de l’époque. Molière vient de subir un échec total avec sa pièce Tartuffe qui a été interdite en mai 1664. Il a été accusé d’athéisme et de libertinage. Il lui faut un nouveau sujet pour la saison d’hiver de 1665. Il veut monter les vices de la société, donné une image peu flatteuse de la noblesse et ajouté un caractère

peut être lu comme la mise à l'épreuve, sur scène, de la sociabilité classique, de la « diplomatie de l'esprit » chère à Marc Fumaroli. Le héros en est un misanthrope, tenté constamment par le départ, et par la solitude. Solitude et sociabilité, hypocrisie et sincérité sont également ébranlées par le théâtre, dont les situations mettent, pour le plus grand plaisir du public, les personnages face à leurs propres contradictions. Situation du Misanthrope La structure de la pièce Acte I, scène 1