L'Immortel

puisse exposer la belle structure rassemblée au texte original. De plus, les mots “罗汉” et “真人” sont des noms spéciaux de la culture chinoise, “罗汉” est un mot du Bouddha, soit arhat ;mais “真人” mot du taoïsme, soit que les français l’appellent l’immortel ! Cela a trouvé la culture équivalente entre deux pays. La syntaxe contrastante : elle comparait toujours à Baochai et Xiangyun. 因想到金玉二字，黛玉说道：“我没这么大的福气禁受，比不得宝姑娘，什么‘金’哪‘玉’的，我们不过是个草木人罢了！”——第二十八回 (8) Comme Daiyu pensait l’allusion

volume 2 du tome de la revue Obliques consacré au mythe de Don Juan, Jean-Louis Backès commente et traduit le poème les Pas du command eur. Pour Backès, la « modernité » de l'épisode donjuanesque qu'a choisi Blok se marque par une hésitation : « L'immortelle légende peut se raconter avec des métaphores nouvelles ; une situation teinte de modernité s'interprète avec des éléments empruntés à une vieille légende ». Le Commandeur, annoncé par la corne de l'auto, vient du dehors, d'un dehors froid et fantasmagorique

s’évanouit de ce fait, et l’idée apparemment paradoxale qu’on puisse jouir de la vie (c’est-à-dire vivre sans craindre la mort) sans pourtant être immortel, se comprend à présent parfaitement : la mort n’existe pas plus pour le mortel que pour l’immortel. 7 III. Le principe de conduite à adopter en conséquence La conduite à adopter en conséquence va à l’encontre de celle adoptée par la foule ou la multitude. En effet, comme celle-ci ignore que la mort n’est, en vérité, rien pour nous, elle

encore par quelques inspirations vraiment tragiques, achevèrent de préparer l'avènement de Pierre Corneille. Celui-ci, qui cherchait sa voie depuis 1629, après avoir préludé par quelquescomédies d'essai et la tragédie de Médée, donna enfin, en 1630, l'immortelle "merveille du Cid". Corneille et Racine.  Dans les tragédies de Corneille, ce qui charme et subjugue, c'est la grandeur et l'héroïsme des principaux personnages; et l'effet général est une admiration bienfaisante pour les hautes vertus dont la

l’ensemble. Le cadre était ovale, magnifiquement doré et guilloché dans le goût moresque. Comme oeuvre d’art, on ne pouvait rien trouver de plus admirable que la peinture elle-même. Mais il se peut bien que ce ne fût ni l’exécution de l’oeuvre, ni l’immortelle beauté de la physionomie, qui m’impressionna si soudainement et si fortement. Encore moins devais-je croire que mon imagination, sortant d’un demi-sommeil, eût pris la tête pour celle d’une personne vivante. Je vis tout d’abord que les détails

Le réalisme, la verve, le sarcasme sont les points forts de cet auteur qui aimait se laisser aller “doucement à la bonne loi naturelle” (Épitaphe). Alfred de Vigny lui rend justice en s’exclamant: Ôtez votre chapeau. C’est Mathurin Régnier, / De l’immortel Molière, immortel devancier. Marc Antoine Girard, sieur de Saint-Amant (1594-1661) a mené une vie aventureuse comme soldat et marin. Véritable bourlingueur, il parlait, à une époque où le latin, voire le grec, étai(en)t obligatoire(s) l’italien

refusé. Mais, du seul fait que cette occasion se présentera après l’occasion refusée, elle ne sera point la même et, dès lors, c’est pour l’éternité que je me serai fait fini en écartant irrémédiablement la première occasion. De ce point de vue, l’immortel comme le mortel naît plusieurs et se fait un seul. Pour être temporellement indéfinie, c’est-à-dire sans bornes, sa « vie » n’en sera pas moins finie dans son être même parce qu’il se fait unique. La mort n’a rien à y voir ; elle survient « entre

ma terre Angevine. Je regrete les bois, & les champs blondissans, Les vignes et les jardins, & les prez verdissans. Et ainsi alors qu’il s’adresse à Ronsard en louant sa réputation: S onnet 20 Tu jouis (mon Ronsard) mesmes durant ta vie, De l’immortel honneur que tu as merité: Et devant que mourir (rare felicité) Ton heureuse vertu triomphe de l’envie. Il confessera à Baïf: S onnet 24 Moy chetif ce pendant loing des yeux de mon Prince, Je vieillis malheureux en estrange province, Fuyant

de ma terre Angevine . Je regrete les bois, & les champs blondissans, Les vignes et les jardins, & les prez verdissans . Et ainsi alors qu’il s’adresse à Ronsard en louant sa réputation: sonnEt 20 Tu jouis (mon Ronsard) mesmes durant ta vie, De l’immortel honneur que tu as merité: Et devant que mourir (rare felicité) Ton heureuse vertu triomphe de l’envie . Il confessera à Baïf: sonnEt 24 Moy chetif ce pendant loing des yeux de mon Prince, Je vieillis malheureux en estrange province, Fuyant la pauvreté:

Flamarion, Cléopâtre. Vie et mort d'un pharaon, Gallimard, collection « Découvertes », 1993 ; * Revue L'Histoire, numéro 238, décembre 1999 : o M. Sartre, Portrait d'une inconnue, pp. 32-40, o Claude Aziza, Cléopâtre l'immortelle, p. 36 ; * Colleen McCullough, César et Cléopâtre, Presses de la Cité, 2002, (ISBN 2-7441-7895-0) ; * E. Will, Histoire politique du monde hellénistique, Seuil, collection Points Histoire, réédition 2003 ; * Oscar von Wertheimer