L'Immortel

d’habitat dunaire de la dune de la Tresson, nous avons étudié la dune grise qui est la partie la plus étendue du milieu dunaire. On note aussi beaucoup de dépression humide dans ce type d’habitat où l’on peut trouver aussi des raisins de mers où de l’immortel des dunes. D’autres parts, la dune grise a une forme rectiligne, elle est un peu terrassée et donc ce sont des témoins de la seconde guerre. La création des chemins sur la dune grise a été faite par les allemands pour accéder à leur blocus. Cette

coiffé de cornes et de sornettes, tout ramassé contre le piédestal, lève des yeux pleins de larmes vers | |l’immortelle déesse. Et ses yeux disent : "Je suis le dernier et le plus solitaire des humains, privé d’amour et d’amitié, et | |bien inférieur en cela au plus imparfait des animaux. Cependant je suis fait, moi aussi, pour comprendre et sentir | |l’immortelle beauté ! Ah ! déesse ! Ayez pitié de ma tristesse et de mon délire." Mais l’implacable Vénus regarde au loin je |

Un drame de la communication et de l'expressionu ==> difficulté d'atteindre idéal et beauté alors que ce rôle, cette fonction est clairement définie par le discours muet des yeux "Cependant je suis fait, moi aussi, pour comprendre et sentir l'immortelle Beauté !" Deux rôles : sentir puis comprendre, c'est-à-dire percer la sensation Contraste : - du mouvement des yeux : lève les yeux regarde au loin, yeux de marbre Désir Froideur, indifférence, inaccessible - des attitudes : aux pieds (vénération

naissance à de beaux « chants de larmes ». Baudelaire nourrit ses vers de cette tension douloureuse entre Spleen et Idéal et la transforme en un recueil entier : « Nous avons vu partout, et sans l’avoir cherché […] Le spectacle ennuyeux de l’immortel péché » (« Le Voyage ») La souffrance, inhérente à la nature du poète, apparaît donc bien comme une des principales sources d’inspiration poétique et esthétique. 

II. Un drame de la communication et de l'expression ==> difficulté d'atteindre idéal et beauté alors que ce rôle, cette fonction est clairement définie par le discours muet des yeux "Cependant je suis fait, moi aussi, pour comprendre et sentir l'immortelle Beauté !" Deux rôles : sentir puis comprendre, c'est-à-dire percer la sensation Contraste : - du mouvement des yeux : lève les yeux <=> regarde au loin, yeux de marbre Désir <=> Froideur, indifférence, inaccessible - des attitudes : aux pieds (vénération

belles. Si l'Amour désire ces choses, il en a besoin et ne les a pas. Il ne peut donc pas être un dieu puisqu'il ne possède pas de choses bonnes et belles. Socrate lui demande alors ce qu'il est, ce à quoi elle répond qu'il est entre le mortel et l'immortel, un esprit. L'amour est un messager entre les moyens et les dieux. Les dieux et les hommes interagissent par le biais des esprits, et l'un d'entre eux est l'Amour. Socrate termine en demandant quels sont le père et la mère d'Amour, mettant fin à

simultanées, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan. L'invocation à Dieu, ou spiritualité, est un désir de monter en grade ; celle de Satan, ou animalité, est une joie de descendre. Une fois transfigurée par la poésie, la femme est aussi pareille à «l'immortel soleil», éternelle source de vie dans «L'Aube spirituelle». Elle est également haïssable parce que naturelle  dans « Mon cœur mis à nu »: «La femme est naturelle, c'est-à-dire abominable». La solution de cette ambivalence ne se trouve que dans

éclatant et ridicule, coiffé de cornes et de sornettes, tout ramassé contre le piédestal, lève des yeux pleins de larmes vers l’immortelle déesse. Et ses yeux disent : "Je suis le dernier et le plus solitaire des humains, privé d’amour et d’amitié, et bien inférieur en cela au plus imparfait des animaux. Cependant je suis fait, moi aussi, pour comprendre et sentir l’immortelle beauté ! Ah ! déesse ! Ayez pitié de ma tristesse et de mon délire." Mais l’implacable Vénus regarde au loin je ne sais quoi

et ridicule, coiffé de cornes et de sonnettes, tout ramassé contre le piédestal, lève des yeux pleins de larmes vers l’immortelle Déesse. Et ses yeux disent : — « Je suis le dernier et le plus solitaire des humains, privé d’amour et d’amitié, et bien inférieur en cela au plus imparfait des animaux. Cependant je suis fait, moi aussi, pour comprendre et sentir l’immortelle Beauté ! Ah ! Déesse ! ayez pitié de ma tristesse et de mon délire ! » Mais l’implacable Vénus regarde au loin je ne sais

nouveaux membres y est très disputée. Le candidat n’est pas seulement jugé sur son œuvre, mais aussi sur son appartenance à un groupe bien défini et Zola, selon Taine, ne se serait pas senti à l’aise dans ce salon. Cette expression se retrouve dans L’Immortel et il est dit que Daudet s’est inspiré des dix candidatures malheureuses de Zola pour l’écrire. Pour Zola, l’Académie représente l’apogée de la gloire pour un écrivain. Le voici qui énonce les raisons pour lesquelles il s’y présente : Je me porterai