L Importance Des Didascalies

silence 1) omniprésence du silence a) les didascalies ,une partition Beckett semble faire littéralement entendre le silence. En effet, Hamm déclare de manière antithétique: « un long silence se fit entendre » Il y a plus de 400 didascalies « un temps » qui deviennent ce qu’on peut qualifier de trou de silence émaillant le texte et qui donne l’impression d’une partition rythmée par des soupirs et des pauses. La pièce née du silence de la longue didascalie initiale. Puis elle retourne au silence

moins conventionnel à connotation bourgeoise et qui ancre le personnage dans la réalité. Un valet bien français et d'un nouveau type. Le mystère:didascalie initiale: air mystérieux , méfiance manifestée par Dubois "je vous guettais" ; deuxième didascalie, Dubois sur ses gardes (il cherche et regarde) . Les spectateurs assistent à une conversation confidentielle dont ils ne peuvent comprendre tout le sens , la collusion entre les deux hommes semble totale; une entente secrète qui exclut les autres

initiatrices qu’elle est sa première. Cet épisode est donc un conte grivois à tonalité comique. Problématique/Annonce du plan Pbs possibles : -A quoi tient le comique de ce récit ? I. Les préliminaires et la révélation A. Une scène théâtralisée - Importance du discours direct -Jacques en posture de suppliant, implore Marguerite de lui apprendre ce qu’est une femme. Relation maître/ élève se rejoue ici. -Vocatif exclamatif « Ah ! dame Marguerite…) crée une attente. Point d’appel du comique. -Tournure

un fort potentiel comique ou au contraire tragique. « L’Huître et les plaideurs » font parties du 2ieme recueil de fable plus trainés vers la satire sociale, plus destinés aux adultes que le 1er recueil. Le fabuliste y raconte une anecdote sans importance. Deux pèlerins convoitent une huître et s’en dispute la propriété et demandent un juge de les départager. Celui-ci s’éxécute et gobe l’huître pour les mettre d’accord. Il s’agira d’analyser comment travers une petite scène de comédie La Fontaine

pour enfin étudier le discours destiné à Camille. I – Entretien épié→ Double énonciation1) Rôle de Camille : spectatrice● Camille, cachée derrière un arbre, assiste à la scène mais n’y participe pas activement, elle n’est que spectatrice.→ importance de la didascalie « à haute voix, de manière que Camille l’entende » ce qui montre qu’elle entend bel et bien ce qui se dit.● émotions : sorte de catharsis : au début elle est étonnée, puis s’énerve→ la scène fait donc naître chez elle des sentiments, des

cœur.   3. LA CONDITION DES FEMMES DE L'EPOQUE Le mariage n’est, en réalité, qu’un prétexte pour dénoncer la condition sociale des femmes contemporaines à Molière. Les femmes sont sans cesse soumises à la volonté des hommes et leur avis n’a aucune importance. Pucelles, elles sont sous la tutelle de leur père. Mariée, elles sont sous l’autorité de leur époux.   A travers son œuvre, Molière dénonce cette condition qu’il juge intolérable. De ce fait, au fil des pages, de nombreux indices tendent à suggérer

cerisaie, comme un appel. Effectivement, on se retrouve à l'extérieur dans une prairie, au début de la cerisaie comme le précise les didascalie. Ils sont donc peut-être à l'endroit d'où les appelait le berger. Dans cet espace il y a une vieille chapelle abandonnée qui penche, avec à coté d'elle : un puits, un vieux banc et de grandes pierres qui sont, selon les didascalies, peut être d'anciennes pierres tombales. L'action semble s'être détachée du passé par le fait que les personnages se retrouvent dans

de l’oubli pour le bonheur de tous. Dans un premier temps nous verrons que l on peut remettre ces pièces au goût du jour, ensuite qu elle sont indémodable et pour finir nous montrerons que le théâtre est un endroit unique et ou le temps n a pas d importance. Nous pouvons nous demander pourquoi représenter des pièces du 17eme siècle aujourd’hui ? Aujourd’hui la plupart des pièces de théâtre jouées et mises en scène sont comme tout art, créées pour plaire au public. Nous pouvons prendre l’exemple

fond de sa pensée -Arrivée d’Oronte avec son sonnet Ier AXE : Application de la tirade de l’Acte 1, Scène 1 -Oronte = Caricature du courtisan vaniteux -Minauderies, fait des manières pour provoquer l’impatiente d’Alceste -Intérêt des didascalies pour le jeu de scène Suspens d’Oronte VS. Interruptions de P & A. -Sonnet malhabile (rimes croisées et non embrassées) Discours amoureux + surcomplication de langage -Comique de geste : dialogue dans le dialogue -Comique de situation :

l'élément perturbateur nous est implicitement annoncé de par la dernière réplique du chœur : « Ou je me trompe fort, ou quelque joyeuse bombance est dans l'air d'aujourd'hui » l.53. Les répliques constituent l'essentiel de la pièce et la majorité des didascalies sont internes, certaines actions sont annoncées par le personnage avant qu'elles ne s'accomplissent - « je vais tirer la cloche » l.29 – et c'est le chœur qui nous avertit de l'entrée en scène d'un personnage - « Salut, maître Blazius; vous arrivez