L Incipit De L Enfant De La Haute Mer

de rénovation religieuse. RABELAIS, proche de la culture populaire, incarne l’enthousiasme d’un joyeux savoir (Pantagruel et Gargantua, 1532-1534). Les poètes de la Pléiade (RONSARD, du BELLAY) créent une poésie riche et érudite ; ils se font une haute idée de leur mission. MONTAIGNE développe une sagesse qui exprime la variété des expériences humaines (Essais, 1580). • L’esthétique baroque (1580-1650) Caractérisée par le goût de l’excès, de l’ornement, du pathétique, elle marque l’art européen des

marquent l’opposition entre intérieur et extérieur d’une part, et entre réalité 10 et hallucination d’autre part. Dès le chapitre 2, le narrateur insiste sur la coupure définitive avec le monde extérieur qu’il ne peut observer que par « l’étroite et haute fenêtre de [sa] cellule ». Le ciel bleu est découpé par les cheminées de la prison : l’opposition est tranchée entre le ciel bleu et les « murs hauts et sombres de la prison ». Il entend les bruits de l’extérieur sans pouvoir y prendre part : il prend

chef du gouvernement  2/ les cor respondants  Max : ami, s’occupe de la galerie d’ar t qu’ils ont en commun , célibataire, sentiments pacifiques et  démocr atiques  Martin : ami, nouveau riche, participe à la gestion municipale, mar ié à Elsa, 3 enfants, sympathie  libérale, admir e Hindenburg  3/ Gr iselle  Eisenstein – Griselle – âge indéter miné (une tr entaine d’années, car  plus jeune que Max) – allemande –  célibatair e – comédienne  Por tr ait physique : belle (p.10), « sa grâce, son char

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Pierre Loti LE ROMAN D’UN ENFANT (1890) Table des matières Préface.......................................................................................6 I..................................................................................................7 II................................................................................................9 III..................................................................................

Héros épique : représentatif de la chanson de gestes car il est fidèle à son roi. * Tristan mis en valeur par la réaction de la foule qui l’entoure : « grandes émotions collectives » « Les mères à genoux baisaient ses chaussures de fer » «  les enfants délivraient… » Tout contribue à rendre hommage à Tristan. L’épée est le symbole et la puissance de sa bravoure. Conclusion : Dans cet extrait, le personnage de Tristan a ses origines dans les légendes de la mythologie et ce texte s’inscrit

décapité, au chapitre 20, semble lever au contraire toutes les incertitudes. On apprend d’emblée que cette femme est « celle qui exalte Peter Morgan », celle « qui vient peut-être de Savannakhet »24. Mais c’est dans la mesure même où désormais la haute figure d’Anne-Marie Stretter se réduit à n’être qu’une créature anonyme hantant les pensées de Charles Rossett: 19 . On a choisi de baptiser ici « chapitre » toute séquence narrative commençant en haut de page après un grand blanc. 20 . Le Vice-Consul

« vigoureux », « mari », « époux », « campagnard »3 ; en effet Charles est, au début, décrit comme « un gars de la campagne […] plus haut de taille qu’aucun d’entre nous » (61)4 ; « il n’avait guère d’élégance dans les tournures » (64) et, enfant, il allait nu « comme les enfants des bêtes » (65) ; « [son père] avait en tête un certain idéal viril de l’enfance, d’après lequel il tâchait de former son fils, voulant qu’on l’élevât durement, à la spartiate » (id.) ; « aussi poussa-t-il comme un chêne » (66) ;

notions narratologiques (incipit, dialogues rapportés, personnages) ; éléments d’histoire littéraire et culturelle : le courant réaliste Objectifs secondaires : visée argumentative de l’auteur (dénonciation du racisme) ; le registre pathétique Support : Boitelle de Maupassant Lien avec le texte précédent (« Le Reflet ») : le thème du racisme ; la visée argumentative de l’auteur. Objectif de la séance : dégager les mouvements du texte ; comprendre le fonctionnement d’un incipit. Activités : - dégager

ce qu’à deux cents à l’heure, il redoutait le plus. « Ce sont, répondit-il, les poches d’air. » La vitesse est devenue chez ces athlètes quelque chose de si précis, de si aigu, qu’un courant d’air risque de les faire tomber, comme elle ferait d’un enfant. L’extrême force rejoint par là l’extrême faiblesse. On attendait peut-être de moi un éloge de la vitesse, et voilà que je parais la condamner. Pas absolument. Je ne suis pas comme un critique refusant de reconnaître un apport nouveau ou comme Thiers

des pas dans une église Où est Cremnitz qui s'engagea Peut-être sont-ils morts déjà De souvenirs mon âme est pleine Le jet d'eau pleure sur ma peine. Ceux qui sont partis à la guerre au Nord se battent maintenant Le soir tombe Ô sanglante mer Jardins où saignent abondamment  le laurier rose fleur guerrière. LECTURES COMPLEMENTAIRES (SUITE) « La chevelure », Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire   (1821-1867) Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure ! Ô boucles ! Ô parfum