L Inconscient C Est Moi

ensemble psychique immergé dans l’inconscient. (Voir topique) LA VIE PSYCHIQUE Au carrefour d’influences multiples, le moi tente sans cesse d’opérer une médiation entre les exigences du monde extérieur et celles de deux instances psychiques inconscientes et contradictoires (en apparence) que sont le «ça » ( domaine des pulsions organiques)et le « surmoi » ( qui cristallise les tendances morales et les idéaux de la société) Freud représente le psychisme au moyen d’une figuration spatiale ou « topique

d’inconscients mais ce n’est pas pour autant qu’ils résultent des pensées inconscientes transmises par une partie de la psyché au corps comme le pense Freud. « En ce sens la nature humaine est inconsciente » c’est-à-dire que des phénomènes arrivent à l’esprit humain, à la conscience, mais qu’elle ignore (comme la peur) comme pour l’instinct animal et par les mêmes causes. Mais « on ne dit point que l’instinct est inconscient » puisqu’il « n’y a point de conscience animale devant laquelle l’instinct

la pensée : selon ces auteurs, derrière les représentations et les activités conscientes du sujet, il faut soupçonner des forces psychiques inconscientes, qui échappent à la maîtrise et à la volonté du sujet lui-même. Nietzsche décrypte, derrière les affirmations conscientes d'un philosophe, des "confessions involontaires", un réseau souterrain et inconscient d'instincts, de désirs, de forces obscures qui le déterminent à engager sa réflexion dans telle ou telle direction. Marx, de même, dénonce

vraiment libre. Sartre lui croyait que la liberté n’était pas un choix et que l’homme ne peut qu’être libre. Enfin Freud Lui explique l’idée d’inconscient grâce à la libido et aux pulsions humaines. Ce qui nous amène a nous demandé si l’idée de cette inconscient ruine l’idée de liberté. Avant toute chose il faut déterminer le concept de l’liberté ainsi que celui d’inconscience et jusqu’à quel point pouvons nous l’être. La liberté est quand on agit sans contrainte d’une force extérieur ou par les contrainte

Le corps identifié Regroupe 2 notions : corps perçu et vécu • Perçu : conscient Forme, limite, poids taille, volume… • Vecu : inconscient Ce perçoit via expériences émotionnelles et fantasmatique=> 4 méthodes pour prendre conscience de celui-ci -Training autogène Relaxation basée sur l’hypnose, « auto-déconcentration concentrative », pour trouble anxiété, stress -Eutonie Garda Alexander, équilibre des tensions -Yoga Gymnastique, recentrage sur notre propre corps -Méthode feldenkrais

principaux termes et plus particulièrement l’inconscience, par la suite nous verrons qu’il est injurieux de traiter quelqu’un d’inconscient puis dans une dernière partie nous constaterons qu’il n’est pas insultant de dire de quelqu’un qu’il est inconscient. Nous pouvons remarquer que cette question philosophique comporte deux mots clés majeurs qui sont : Injurieux et Inconscience. Une injure est une parole qui offense quelqu'un, lui causant du mal. L'injure est une atteinte à la dignité personnelle

soi-même. Ce que révèle la psychanalyse, c’est qu’il existe en nous des pensées à la fois inconsciente et efficiente, c'est-à-dire dynamiques, qui, bien qu’inconscientes, produisent un effet sur notre emportement conscient. Ces pensées, Freud les appellent des actes psychiques. Elles se manifestent sous la forme de symptômes, que Ricœur appellent des « effets signes » : produits par une pensée inconsciente, ils permettent d’en deviner la présence. Ainsi, comme l’écrit Freud dans sa Note sur l’inconscient

entre moi et moi-même (une partie de mon esprit contre l'autre) La névrose se caractérise par un combat de l'esprit contre lui-même, ce qui explique la faiblesse à laquelle le moi se trouve (comme le montrent l. 9-11) La force des pulsions inconscientes est de beaucoup supérieure aux « armes » du moi que sont la conscience de la volonté. Personnification du moi Personnification de la psychanalyse L.12: Attention à l'emploi du mot « faute » qui ne doit pas être compris comme un facteur de

capacité de voir et d’analyser ce qu’il se passe en nous et hors de nous. Elle semble donc à premier abord, être totalement transparente avec nous. Pourtant, nous savons par expérience que notre conscience peut être source d’illusions et de pensées inconscientes qui peuvent donc nous tromper.Pouvons nous alors nous fier entièrement à notre conscience ? l’étyhmologie du mot « conscience » signifie « avec savoir », à première vu, la conscience est définit comme permettant d’accéder à des connaissances. En

ce texte fonctionnant selon Lacan, de la métonymie et de la métaphore (car selon lui « l’inconscient est structuré comme un langage) , le complexe d’Œdipe est un point nouant par excellence le texte inconscient et donc dans la mise en scène du rêve, la représentation par excellence du désir inconscient. L’inconscient est un discours sans sujet : Cette séparation entre le moi et le ça conduit Lacan à postuler un sujet « clivé ». Il y’a, d’une part ; le sujet conscient, le « cogito » (verbe latin :