L Inconscient Représente T Il Une Menace Pour La Liberté

dominé l’homme, le plus menacé des animaux : il avait besoin de secours et de protection, besoin de son semblable, il était obligé de savoir dire ce besoin, de savoir se rendre intelligible ; et pour tout cela, en premier lieu, il fallait qu’il eût une conscience, qu’il sût lui-même ce qui lui manquait, qu’il sût ce qu’il sentait, qu’il sût ce qu’il pensait. Car, comme toute créature vivante, l’homme pense constamment, mais il l’ignore. La pensée qui devient consciente ne représente que la plus infime

ordres, interdictions, indifférence, privations de visites, humiliations, infantilisation, injures, menaces, paroles déshumanisantes * Les violences par excès et négligences : absence de prise en compte de la douleur, acharnement thérapeutique, excès de médicaments … * Les violences ou maltraitances physiques : toilettes imposées, gifles, brutalités et gestes vifs, attaches qui entravent la liberté de mouvement * Les violences matérielles : vols d’argent ou d’objets, matériel inadapté…

ou de la nécessité ? L'amitié est-elle oubli de soi ou affirmation de soi ? Helvétius, dans De l'Esprit, écrit : "La force de l'amitié ne se mesure pas sur l'honnêteté de deux amis, mais sur la force de l'intérêt qui les unit." (Amitié) Amitié et liberté (Amitié) Peut-on choisir ses amis? (Amitié) L'amitié est-elle le fondement de la vie en société ? (Amitié) "Dans l'amitié les âmes ne s'entretiennent pas, mais elles se mêlent et se confondent l'une dans l'autre d'un mélange qui ne retrouve plus la

culpabilité. Il ajoute que l’inconscient est infantile et il est en même temps ce morceau de la personne qui s’est séparé d’elle autrefois, n’ayant pas participé au développement ultérieur et ayant été pour cette raison refoulé. Les rejetons de cet inconscient refoulé sont les éléments qui entretiennent ce « penser involontaire » en quoi consiste sa souffrance. A la sixième séance, Ernst raconte qu’il a l’angoisse que ses parents ne devinent ses pensées. Une angoisse qu’il a conservé toute sa vie. A

fonctionnement démocratique, il faut qu’il y ait substitution du moi du groupe conscient aux moi individuels. - Anzieu :montre que le groupe peut trouver son enveloppe psychique dans un moi idéal commun, c’est l’illusion groupale. Un moi défensif inconscient commun peut s’organiser autour du groupe au service d’un surmoi ou à travers de mécanismes de défense partagés. Ou bien, chercher comme enveloppe commune un ça en fonction de la pulsion dominante ou du stade d’évolution du groupe. C’est sous la

SUJET :La conscience est-elle synonyme de liberté ? PROBLEME : L'énoncé un peu vague du sujet invite à une formulation plus précise de la ou des problématiques en jeu. On peut se demander ce qu'est la conscience en posant le problème de l'introspection et de la liberté. La question est ainsi de savoir dans quelle mesure la conscience nous rend libre. A SAVOIR SUR LA LIBERTE Le « je pense » puis la parole m'ont m a n i f e s t é la liberté : je ne suis pas déterminé par un enchaînement causal

Autoportrait Etablir un descriptif objectif de soi-même relève d’une mission impossible pour quiconque s’y risquerait. Incapable de toute objectivité à son égard l’homme n’est mu que par ses élans pulsionnels, par ses désirs conscients ou inconscients, qu’il transforme en discours logique. Conditionné dès sa naissance par un déterminisme socioculturel, l’homme cherche avant tout à donner de lui une image gratifiante à ses yeux et aux yeux de son entourage, qui est partie prenante de la construction

que la conscience échoue à ressaisir totalement. L’homme pour une part reste donc obscur à lui-même. Loin d’être l’instance de vérité par excellence, la conscience peut être source d’illusions, dont la plus tenace est sans aucun doute celle d’une liberté ou d’une autonomie du sujet dont la conscience prétend justement témoigner. Malgré les apparences, la conscience ne détient pas sur elle-même la vérité du sens de ses pensées ou de ses actes. Cette critique nous mène directement au problème de l’inconscient

Sigmund Freud va alors s'engager dans une nouvelle voie et mettre au point la psychanalyse. “La psychanalyse est un mode de traitement psychologique qui découle du constat que les individus sont souvent inconscients de bien des facteurs déterminant leurs émotions et comportements. Ces facteurs inconscients peuvent être la cause d’une grande détresse ou de souffrance, que l’on reconnait parfois dans certains symptômes et à d’autres moments dans certains traits conflictuels de la personnalité, dans les

d’analyser et d’interpréter les indices de son inconscient. L’association libre, en d'autres termes, doit permettre au patient d’exprimer librement tout ce qui lui vient à l’esprit. Cela lui permettra de retrouver le souvenir des événements traumatiques ou des conflits inconscients qui sont à l’origine des symptômes névrotiques. De tels souvenirs sont profondément enfouis dans son inconscient. Même si le patient ne sait pas ce qui a été refoulé dans son inconscient, lui seul peut le découvrir et le rendre