L Inconscient Représente T Il Une Menace Pour La Liberté

protagoniste, Winston Smith, son environnement misérable et les fondements du régime totalitaire. Comment la description inquiétante de ce monde permet-elle à l'auteur de préparer le lecteur au récit ? En quoi cet incipit est-il le reflet d'un monde menacé par de possibles dérives, et une mise en garde contre celles-ci ? Nous verrons dans un premier temps comment l'auteur introduit un contexte angoissant par la description de cette société inhospitalière. Une seconde partie traitera du régime totalitaire

comme une nécessité pour survivre, il opère ainsi une réfutation de la pensée cartésienne. Il s'oppose ici à la philosophie classique qui voudrait faire de la conscience la manifestation de l'âme et le lieu de la pensée, et affirme la primauté d'un inconscient beaucoup plus riche que la pensée consciente qui arrive à l'homme. Nietzsche dans son texte nous fait part que c'est par le besoin d'échanger avec autrui, c'est à dire une nécessité sociale, que l'homme s'est vu contraint de développer une conscience

littérature et les arts sont nés du culte, de l’hommage que l’homme vouait à ses dieux et qu’il cherchait à imiter. (Platon) L’art relève de la création. (Aristote) On représente les dieux par le récit oral, le théâtre, la danse, la musique et la sculpture et ce de manière symbolique. Carl Gustave Jung parle d’ « inconscient collectif » : fonds culturels communs de l’humanité transmit de génération en génération par la littérature orale (conte, légende, proverbe, dicton,…) Ex : Athéna chouette

vers les pays du Tiers Monde (les Etats-Unis transférèrent 4,5 % de leur PIB pendant le Plan Marshall). La dette des pays du Tiers Monde qui représentait 7,6 milliards de dollars en 1960 se monte en 1970 à 66 milliards de dollars. Cette somme représente alors 14 % de leur PNB en moyenne et un peu plus de 100 % de leurs exportations annuelles. Cet endettement fut jugé raisonnable, par le service de la dette. le remboursement annuel représentait alors environ 15 % des leurs exportations. Grace

symbolique s’exerce à travers un discours destiné à la défense des valeurs de cette civilisation ; ce sont les lieux communs de l’aliénation entendue comme la répétition d’un même schéma de relations de dépendance donnant l’illusion de réalité et de liberté alors que les normes sont établies par la civilisation pour et par elle-même ordonnant au sujet sa capture dans ce « discours de l’autre ». Cette interpellation acceptée régit notre mode de vie, notre relation au travail, aux loisirs, aux

seule manière pour l’homme postmoderne de se sentir libre. C’est se donner librement un autre monde que celui de la réalité. Et nous avons tous les moyens techniques pour y parvenir. Gloire à l’imagination donc, car elle est devenue le symbole de la liberté par excellence, nous qui revendiquons avant tout le droit de rêver ! L’imagination n’a-t-elle pour fin que de délivrer les moyens de la fuite de la réalité ? L’imaginaire se réduit-il à la marge de compensation de nos désirs ? Quelle différence

1-la conscience comme substance Spiritualistes : Doute de tout, pas de vérité, tranquillité de l’esprit. Mais le septique se contredit car il dit à la fois une vérité et dit qu’il n’y a pas de vérité. Relativistes : A chacun sa vérité, liberté de pensée  donc aucune vérité commune  Objection ; chacun sa vérité = vérité commune  Aucune communication possible. La conscience peut-elle nous tromper ? La conscience, illusion du sujet ? La conscience est ambiguë : si rien n'est connaissable

Faut-il être libre pour être heureux ? Problème : On peut poser ainsi le problème : la liberté est-elle la condition du bonheur ? Ne peut-on pas être heureux si l’on n’est pas libre ? Mais est-on jamais absolument libre ? Bonheur Étymologiquement, chance ou bonne fortune. Le bonheur désigne un état de contentement et d'accomplissement de soi. La philosophie antique s'est efforcée d'arracher le bonheur à son sens premier, qui en faisait ce qui échoit aux hommes de façon incompréhensible, pour

précédente: génération de psychologues et d'esthètes, repliés sur un monde intérieur. Pour Malraux la littérature achète ses valeurs de la vie, naît de l'action. Agir, c'est communiquer avec son époque, choisir au milieu de ses instances et de ses menaces, participer. Ainsi les livres de Malraux jalonnent-ils longtemps ses propres engagements: révolution en Asie, guerre civile en Espagne, lutte et résistance contre Allemagne hitlérienne, chacun porte le sens d'un témoignage, l'écho d'un risque. Née

incontournable. Il se fait connaître et se fait des amis parmi les plus célèbres comme par exemple le poète Paul Eluard. De son vivant, deux musées font leur ouverture et lui sont entièrement dédiés. Le deuxième étant lui même ouvert par Dali et représenté comme une œuvre surréaliste à part entière. Picasso représentait pour Dali une référence constante, admiré et rival. Dali est aussi connu pour sa moustache en croc qui devint emblématique et qui lui fut inspiré d'un artiste classique appelé Velazquez