L Insociable Sociabilité Rousseau Hobbes Kant

autres comme le dirait Rousseau. Nous remarquons bien que les premières années d’un enfant sont celles ou son innocence, sa bonté et sa sincérité prennent le devant sur la méchanceté que lui apprend son entourage et ses expériences. Le mal ne serait-il pas ainsi une conséquence du vécu, la méfiance de l’autre ne serait-elle pas un motif qu’on nous crée à travers l’éducation ? Les gouverneurs eux-memes ne seraient-ils pas responsables de cette situation ? Ainsi la sociabilité équilibrée ne dépend-elle

Contemporain de Voltaire, Rousseau … Il accueille la révolution Française de manière intéressée, car il aspire à la création de sociétés fondées sur les droits. Il exprime cette idée dans ses œuvres de philo de l’histoire et notamment dans Idée d’une histoire universelle d’un point de vue cosmopolitique (1784) ouvrage de maturité. (Problématique Aristotélicienne – langage, cadre de socialisation épanouissement, perfectibilité de l’homme au sein de la société.) (Problématique de Hobbes - l’homme est un

donc un ordre politique universel. Or, dans les relations internationales, les états agissent comme les individus au plan national, sur le registre de l’insociable sociabilité. Mais les ressorts qui ont conduit malgré tout les individus à vivre en société (l’intérêt bien compris) s’appliquent aussi aux états. D’où la certitude qu’a Kant de l’établissement d’un État cosmopolitique universel. Nulle part il n’est question, pour cela, de l’abolition des états nationaux, ni, encore moins, de le réaliser

place. Pour Hobbs, à l’état de nature les Hommes sont déjà en contact les uns avec les autres, c’est un état ou les relations sociales existent déjà d’une certaine manière. Rousseau pour sa part, élaborera un état de nature plus fictif et plus originel dans lequel les hommes vivent seuls avec la nature. On pourrait dire que Rousseau pense un état de nature idéal alors que Hobbs est plus réaliste et pragmatique. La thèse centrale de Hobbs concernant un état de nature qui se défini essentiellement par

chacun étant menacée par celle des autres. A l'état de nature, « l'homme est un loup pour l'homme » ou ne peut se passer de la vie en société malgré son « insociable sociabilité » selon l'expression de Kant. Le citoyen doit à l'Etat obéissance pour qu'il puisse remplir ses missions. C'est l'idée de contrat social que l'on trouve chez Hobbes et Rousseau même si les modalités de ce contrat et les fonctions de l'Etat sont différentes pour l'un et l'autre. Il y a en effet plusieurs visages de l'Etat et

pense Aristote, Rousseau prétend que l’homme est naturellement bon mais qu’il est corrompu par la société. Il décrit l’homme comme un animal paisible, indépendant et solitaire qui se suffit à lui-même. Rousseau fait comprendre aussi que ceux qui comme Hobbes qui estiment que «  l´homme est un loup pour l’homme » on tort car ils attribuent a l’homme les trait de l’homme civilise pour ainsi dire l’homme en société et plus précisément ce que la vie en société a fait de lui. Rousseau contredit donc

et une hantise. Cet insecte synthétise le rêve et le cauchemar de l’humanité. L’idéal que représentent les fourmis est l’idéal de la société. L’homme est un animal politique, comme le dit Aristote, naturellement social, ce que contredisent Rousseau, Hobbes ou encore Protagoras. Le fait est, naturel ou non, que l’homme vit en société, et aspire donc à une organisation sociale parfaite. Comme le prétend Aristote, l’homme ne vit pas seul, et si cela arrive, l’individu est un brandon de discorde, et

Introduction L'homme doit d'abord être considéré comme un animal si l'on remonte à ses origines. C'est un animal sociable: il ne peut s'épanouir qu'au milieu de ses semblables. Mais il est aussi un animal égoïste. Son «  insociable sociabilité » comme l'a écrit Kant, fait qu'il ne peut ni se passer des autres ni renoncer, pour eux, à la satisfaction de ses propres désirs. Il peut se passer de lois, mais cela ne rentre pas dans son intérêt : ce n'est pas vivable. L'individu peut décider par

Le meilleur des gouvernements est-il celui qui gouverne le moins ? L'homme est un être sociable qui ne saurait atteindre son humanité seulement en présence d'autrui. Kant dit que l'homme veut vivre en société car cela va de leur survit appeller la sociabilité. L'homme pour vivre en communauté dans de bonne condition a besoin d'être gouverné. Il accepte donc les contraintes liée a cette vie en communauté, calme des pulsions. Mais le gouvernement n'enlève pas toute possibilité d'autonomie. C'est

Les animaux quant à eux ne possèdent que leur « voix » pour exprimer leurs sensations de peine et de plaisir. Pour Aristote, la politique a un caractère naturel, elle est inscrite dans l’essence humaine ainsi nous pouvons nous demander, si la sociabilité de l’homme et son penchant à vivre en société sont génétique ? Nous remarquons que certaines espèces d’animaux (comme les fourmis ou les abeilles par exemple) sont programmés génétiquement à vivre en société. En effet, elles se divisent les tâches