L Instinct De Survie

ses instincts, l’animal est dès sa naissance tout ce qu’il peut être. L’homme est indéterminé, il est capable par sa raison, son imagination, ses désirs… de se définir pour le meilleur comme pour le pire. C’est ce que Rousseau appelle la perfectibilité. En transformant la nature qui n’est alors qu’un moyen, l’homme accède à la liberté en réalisant ses propres fins. Une place « à part » sans privilège L’homme dépend en un sens de l’environnement et des autres animaux (pour sa survie, pour

et dans une seconde partie ce qu’il en pense. Tout d’abord il nous dit que n’importe quel homme à cet instinct de conservation, cet instinct de protéger l’espèce humaine, de la conserver. Chaque homme qu’il soit intelligent ou pas comme il le dit dans le texte, « L’instinct de la conservation, cet instinct qui règne également chez les hommes supérieurs et chez les plus grossier ». Cet instinct d’avoir un but dans la vie est justement vital, que cela est une évidence et que cela exerce une grande

lui : il se libère ainsi de la nature en lui (les instincts) en transformant la nature hors de lui. Faire taire la tyrannie des instincts, n'est-ce pas là précisément être libre, n'est-ce pas là la marque propre de l'humanité ? Le travail est donc nécessaire en un second sens : sans lui, l'homme ne peut pas réaliser son humanité. 3. La nécessité du travail n'est-elle qu'une contrainte ? • Le travail ne doit pas être pensé dans l'horizon de la survie : par son travail, l'homme cultive et humanise

l'obligeant à cultiver désormais une terre stérile : « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». * Pour Marx, le travail humain contribue à transformer l'homme tout autant que la nature. En effet, contrairement à l'animal, qui agit par pur instinct, l'homme détermine dans sa conscience le but qu'il veut atteindre avant de le réaliser. « Ce qui distingue dès l'abord le plus mauvais architecte de l'abeille la plus experte, écrit Marx, c'est qu'il a construit la cellule dans sa tête avant de la

indépendante .Il possède ce que Hobbes appelle un droit de nature. Ce droit de nature est tout simplement le droit de vivre, d’assurer sa propre survie en utilisant tous les moyens nécessaires pour y parvenir. Cet état est un état quasi animal. Dans cet état de nature, tous les individus sont égaux, chaque individu aux mêmes droits, dispose des mêmes moyens de survie. A l’état de nature, chacun a un droit sur tout, ce qui va s’avérer être une source de conflits et qui va ainsi déboucher sur la « guerre

mais qui aura un sens, pour soit même, et pour son entourage. Ensuite un autre cas de figure est le lien inséparable. On se retrouve devant un choix, le faite de donner sa vie pour son prochain. Donc une femme met au monde son enfant, mais ne survie pas à l’accouchement. Parfois, la femme en fin de grossesse, connait les risques de son accouchement, elle doit donc faire un choix, sa vie, ou la vie de son enfant. L’amour qu’elle a déjà porté pour son enfant pendant 9 mois dans son ventre, fait

mer éclosent, traversent la plage et se jettent tout de suite à l'eau, sans cette instinct de conservation, ils mourraient tous, on peut apparenter cela une connaissance commune spécifique à la race ), il semble casiment inexistant chez l'homme . Mais cette idée de connaissances innées défendu Platon, mais aussi Descartes et Leibniz, montre là une certaine existence d'un instinct. Comme l'animal, l'homme à un instinct de conservation : le bébé pleure quand il a faim, l'homme a des rapports sexuels

l’environnement qui n’est autre QUE LE SIEN Ainsi, pour l’homme moderne, el concept de « respect de la nature » a peu de signification car l’homme sort, par la culture, de l’état de nature (ce sans quoi il se rapprocherait des animaux  raison  instinct). De ce fait, il s’éloigne de la nature : il donne une nouvelle forme à une matière inanimée (ou non)  dans ce cas ; quel est le rôle de la nature dans ce processus ? Se poser cette question peut servir à répondre à l’autre question qui était « faut-il

croit avoir. En effet, l'animal a un instinct naturel, celui de survie, comme l'instinct de se nourrir par exemple et de nourrir ses progénitures. Mais n'étant pas doué de raison, il se différencie de beaucoup à l'être humain. Celui-ci à un instinct de survie également, comme tout être vivant, même s'ils sont à des niveaux différents, comme ne pas mettre sa main dans le feu par exemple. Mais étant un animal doué de raison, il peut croire aussi avoir un instinct dans certaines situations qui peut s'avérer

choisir entre sauver sa propre vie et celle d’un autre, qui de plus vous menace avec une longue lame étincelante, chaque être vivant aurait sauvé sa peau ! Tout comme vous et moi. C’est l’instinct de survie. Instinct qui peut nous pousser à faire des actes terribles. Mais est-ce notre faute si cet instinct prend le contrôle dans des situations compliquées où nous sommes désorientés, complètement en état de choc ? Bien sûr que non ! Alors pourquoi Meursault devrait-il mourir ?! Il est innocent ! Il a