L Insurgé

le récit, à la première personne, de la vie de son héros, depuis son arrivée au quartier Latin jusqu'à l'écrasement de la Commune. Le bachelier est publié en 1881, suite à son échec au baccalauréat, Vingtras part pour Paris. Il s’y transforme en insurgé et exècre Napoléon III. Selon lui : « Ce qu’il faudrait tuer, c’est tout le mal engendré par la question sociale ». Vallès est alors le premier écrivain Français à mettre en évidence le danger que constitue, au sein de la société, la présence d'un

 Les Insurgés de Sparte Partie 1 : Les Jumeaux Séparés Chapitre 1 : Deux jumeaux naissent à Sparte , un plus faiblard que l'autre … Mais selon la loi Sparte  le bébé jugé le moins corpulent sera tuer . Leur mère , Parthénia ne voulant pas qu'il meurt , le confia à sa servante Erix … Erix ayant peur de Parthénia ( pour le sort qu'elle lui donnera si elle n'accepte pas ) , elle fut très confuse et perdit ses moyens . Parthénia insista , Erix accepta après quelque minutes

Résumé du livre : Le serment de Délos Lorsqu'elle tombe sous le charme d'Acontios, Cydippé est déjà promise à un mari choisi par ses parents. Mais par un stratagème, le jeune homme parvient à lui faire prononcer cette phrase : « Je jure de me marier avec Acontios ». Piégée, Cydippé décide de respecter le choix de sa famille et d'oublier ce serment. Seulement, jurer devant la déesse Artémis n'est pas sans conséquences... "Je ne dois plus y penser." se dit-elle. Puis, avec plus de fermeté, comme pour

Les insurgés de Sparte Par Simon C, 2a3 Collège G-B, Belgique Les jumeaux séparés A la naissance de ses jumeaux, Parthénia confie à Eryx, sa servante, l’enfant le plus frêle. A l’époque, les Anciens avaient droit de vie ou de mort sur les fils de Sparte. Les plus faibles étaient tués. Les deux frères, qui ignorent tout de leur séparation, grandissent l’un et l’autre dans deux citées ennemies. Eurymaque est élevé dans la tradition des hoplites de Sparte. Il apprend la discipline

d’insurgés) ; « tempête humaine » (hyperbole et métaphore) « tempête » (les insurgés sont tellement en colère et agités que l’ensemble ressemble à une tempête) ; « éclat assourdissant » (hyperbole) « assourdissant » (le chant des insurgés ne rend pas sourd : c’est une exagération). Les métaphores et hyperboles permettent de montrer la puissance de la colonne. Enfin, le chant de la Marseillaise que hurlent en cœur les insurgés résonne dans l’espace. Pour renforcer cette idée, le narrateur utilise le

Turcs et l'Europe prend part en faveur des insurgés. Ainsi, dans ce poème, Victor Hugo, une fois encore, fait état de ses opinions pol les Grecs se révoltent contre les Turcs et l'Europe prend part en faveur des insurgés. Ainsi, dans ce poème, Victor Hugo, une fois encore, fait état de ses opinions politiques et même philosophiques, car pour lui le poète peut se mêler de tout. les Grecs se révoltent contre les Turcs et l'Europe prend part en faveur des insurgés. Ainsi, dans ce poème, Victor Hugo, une

ligne suivante, qui permettent de désigner les insurgés. Cette comparaison au fleuve se retrouve dans la Fortune Des Rougons, avec la métaphore filée du fleuve (torrent) des lignes 4 à 5, caractérisant les révolutionnaires qui semblent former une marée humaine, « une masse noire ». L’impression de mouvement est également renforcée par des personnifications, comme celle de la campagne « endormie » qui se réveille brusquement par le chant des insurgés. Tous ces éléments insistent aussi sur le nombre

innocent et la bande des insurgés, figure de la révolution en marche vers la liberté. Sous les yeux de Silvère et de Miette, le groupe arrive donc continuant sa marche à travers Plassans. Zola nous fait dans ce passage une description phénoménale de l’arrivée des insurgés à partir du champ de vision des deux autres personnages situés sur le pont de la Viorne, surplombant donc la vallée. Le passage s’ouvre sur les mots de Silvère qui confirme l’arrivé tant attendu des insurgés. La rupture ressentie

Mouret, républicain convaincu, a rendez-vous avec la jeune Miette dont il est amoureux avant de rejoindre, le lendemain matin, le groupe des insurgés républicains de Provence. Alors que le jeune couple s'éloigne des faubourgs de Plassans et s'enfonce dans la campagne, jusqu'au petit pont qui enjambe la Viorne, il voit surgir tout à coup la colonne des insurgés, qui descend la route de Nice à travers les coteaux. Le récit s'attarde sur l'évocation de cette « bande », emportée par « un élan superbe »

sur toile de 266 cm x 345 cm Sur cette toile, on observe au premier plan sur la droite un peloton d’exécution (les troupes françaises) sur le point de fusiller un groupe d’hommes sur la gauche (les insurgés madrilènes). Aux pieds des insurgés, on voit un amas de cadavres qui gisent dans une mare de sang. La scène se déroule de nuit à l’extérieur, non loin du Palais Royal, sur la colline de la Moncloa. La scène est éclairée par une lanterne