L Instruction Talleyrand

tête le Tiers Etat a la majorité car son nombre a bien été doublé. Parmi les 331 clercs, on dénombre 200 curés, la plupart viennent des campagnes, ils sont majoritaires ; 46 évêques : un certain nombre sont ouverts aux idées des Lumières comme Talleyrand. Au sein de la noblesse, on a deux groupes qui se détachent : - Groupe d’aristocrates « libéraux » avec à sa tête La Fayette, ils sont à peu près 90 - Nobles réactionnaires issus de la petite noblesse provinciale majoritairement, ils vont s’opposer

Une épidémie de peste l’arrête devant Saint-Jean d’Acre et, apprenant les revers du Directoire en Italie et la confusion qui règne en France, Bonaparte débarque à Fréjus le 8 octobre 1799 et regagne Paris. Dans la capitale, les Jacobins (Sieyès, Talleyrand, Fouché, Murat et Lucien Bonaparte, son frère) cherchent à sauvegarder les principes de la Révolution de 1789. Pour cela, ces conjurés s’apprêtent à commettre un coup d’État : il ne leur manque qu’un sabre pour assurer avec autorité le retour au

juillet 1791, il fait tirer sur la foule. Il passe à l’ennemi chez les Autrichiens en août 1792. Il sera emprisonné jusqu’à la fin de la Révolution. • Les « malins » -Sieyès (1748-1836) : il organise le coup d’Etat de Brumaire. -Talleyrand (1754-1838) : évèque. Personnage intelligent mais sans scrupule. Homme de la Constituante. Pousse l’Eglise à donner ses biens à la Nation (deviendront donc des biens nationaux). Il est un des hommes clés du parti anglais. -Barras : homme

Rapidement, le Comité étouffe l'action des ministres et se substitue au gouvernement, par l'intermédiaire des représentants en mission, véritables « missionnaires de la République ». → ils jouent un rôle considérable : dans la diffusion des instructions venues de Paris dans l'organisation sur place de l'économie, de l'administration ou du recrutement militaire. Septembre 1793 : radicalisation du Comité de Salut Public. 11 septembre 1793 : décret du maximum → fixe un prix maximum pour les grains

d'Orléans, en 1321, ainsi que les suivantes jusqu'à celle du roi Louis XV en 1770, Louis XVI va concrétiser cette longue série de tentatives en signant le 8 mai 1790 le projet d'unification des poids et mesures du Royaume de France, proposé par Talleyrand. Suite au rapport du 19 mars 1791 de l'Académie des Sciences, et sur proposition du Chevalier Jean-Charles de Borda, le « mètre » de Burattini, mieux défini, est adopté comme unité de longueur. Dès le 26 mars 1791, la proposition de Jean-Charles

exercices …. En 1792 Jean Verdier, médecin et avocat, se plaint que la gymnastique soit évincée des collèges pour laisser place à des jeux futiles. La Révolution allait mettre l'éducation à l'ordre du jour. Différents rapports dont celui de Talleyrand en 1791, Condorcet en 1792 et Le Peletier en 1793, Robespierre, conduisent le gouvernement révolutionnaire à penser une école républicaine. Gilbert Romme, membre du Comité d’instruction publique présente un nouveau rapport : « Rapport sur l'instruction

goût des annexions n'a pas disparu. Si le roi des Pays-Bas n'a pas été capable de garder les Belges, les Français se verraient bien à sa place. Mais, pour éviter des rivalités qui déclencheraient une nouvelle guerre européenne, le ministre français Talleyrand, ambassadeur à Londres, propose un partage de la Belgique. La France prendrait le plus gros morceau avec la Wallonie plus un morceau de Flandre à l'ouest de l'Escaut, le Brabant flamand et Bruxelles, Liège étant donné à la Prusse sans la moindre

parlementaires. Dans leurs rangs s’imposent des nobles comme La Fayette (ancien héros de la guerre d’Amérique) ou Mirabeau, des membres du clergé comme l’abbé Sieyès (auteur d’une brochure très remarquée : Qu’est-ce que le tiers-état ?) ou l’évêque Talleyrand, ainsi que des hommes de loi qui s’étaient illustrés dans la crise prérévolutionnaire comme Barnave. D’autres députés, tel l’avocat Robespierre, ne tarderont pas à se faire remarquer... Leur unanimité s’affiche encore le 14 juillet 1790 à la fête

assez désorganisés et enthousiastes. Ms on s'aperçoit que le but originel des EG était de résoudre la crise financière, désastreuse. Necker, chéri du peuple, propose de financer la dette par l'emprunt, ms les Constituants préfèrent la solution de Talleyrand, un évêque, spécialiste du retournement de veste, qui n'a eu à pa^tir d'aucun des régimes, même pas de la terreur. Il se rend compte que ceux qui ont le plus de fortune est les membres du clergé, non le roi. Il met donc cette fortune à la disposition

conjugue qu’à propos des abonnements de journaux. 24 FATALITÉ : Mot exclusivement romantique. Homme fatal se dit de celui qui a le mauvais œil. FAUBOURGS : Terribles dans les révolutions. FAUTE : « C’est pire qu’un crime, c’est une faute. » (Talleyrand.) « Il n’y a plus une seule faute à commettre. » (Thiers.) Ces deux phrases doivent être articulées avec profondeur. FAUX-MONNAYEURS : Travaillent toujours dans les souterrains. FÉLICITATIONS : Toujours sincères, empressées, cordiales, etc. FÉLICITÉ