L Insurgé

de biens, il pouvait être la proie des insurgés ; dans la confusion des représailles quasi-imminentes des Blancs, il pouvait facilement être une victime de la répression. Par conséquent, avec une certaine habilité, Toussaint Bréda aurait adopté un double jeu. D’une part, en mettant à l’abris son ancien maître Bayon de Libertat, Toussaint se serait assuré d’avoir un protecteur influent auprès des autorités coloniales. D’autre part, en approchant les insurgés en tant que médecin grâce à sa connaissance

que Gavroche provoquait ses opposants. Mais ces pensées sont fausses, Gavroche risque sa vie pour ses camarades les insurgés en ramassant les cartouches par terre, il fait cela pour les aider. Le courage de Gavroche pourrait être imagé par cette expression « mettre du cœur à l’ouvrage », cela se traduit par le fait qu’il y met du sien, quitte à prendre de grand danger. Les insurgés eux sont anxieux ils ont peur pour lui, mais lui il continue et cela en chantant. Gavroche est quelqu’un doté d’un

à Benghazi, le pouvoir durcissant la répression des manifestants35. Les manifestations se muent alors en révolte armée : le régime de Kadhafi est abandonné par une partie de ses cadres et les insurgés forment un Conseil national de transition. Les troupes de Kadhafi reprennent cependant le terrain face aux insurgés, ce qui entraîne une intervention internationale. Le 17 mars, le Conseil de sécurité des Nations unies adopte la résolution 1973, autorisant des frappes aériennes contre les forces de Kadhafi

Jean-Marc Balencie (docteur en sciences politiques) et Arnaud de La Grange (grand reporter au Figaro et spécialiste des questions de défense) tentent d'y expliquer comment ce qu'ils appellent un « insurgé innovant » réussit à enrayer l'atout essentiel de l’Occident, c'est à dire sa puissance militaire. Cet insurgé ne livre plus une guerre ayant pour but la destruction de l'ennemi mais entre dans une « G4G » (guerre de quatrième génération) dont l'objectif est de faire comprendre à l'ennemi que la poursuite

sa marche « dans la paix morte et glacée de l’horizon ». Le terme « paix » associé aux deux adjectifs qualificatifs « morte » et « glacée » évoque un paysage silencieux et sans vie. L’auteur va donc décrire cette marche en amplifiant le bruit des insurgés qui va donner vie à la nature. Ainsi « les chants » qui (enflent), lignes 4 et 5 vont se préciser pour devenir « un éclat assourdissant » : la Marseillaise. B) Du chant au rugissement Au fur et à mesure de l’avancée de la bande, le chant

ces personnages : Gavroche, l’enfant des rues. Le passage que nous étudions raconte la mort de Gavroche, tué par la garde nationale pendant l’émeute parisienne de juin 1832. L’action principale de Gavroche est de ramasser des balles pendant que les insurgés se battent contre les soldats. Nous nous demanderons donc comment Hugo illustre-t-il la guerre à travers la scène de mort de Gavroche ? Nous verrons, dans une première partie que Gavroche incarne un personnage haut en couleurs, puis dans une

sa marche « dans la paix morte et glacée de l’horizon ». Le terme « paix » associé aux deux adjectifs qualificatifs « morte » et « glacée » évoque un paysage silencieux et sans vie. L’auteur va donc décrire cette marche en amplifiant le bruit des insurgés qui va donner vie à la nature. Ainsi « les chants » qui (enflent), lignes 4 et 5 vont se préciser pour devenir « un éclat assourdissant » : la Marseillaise. B) Du chant au rugissement Au fur et à mesure de l’avancée de la bande

sa marche « dans la paix morte et glacée de l'horizon ». Le terme « paix » associé aux deux adjectifs qualificatifs « morte » et « glacée » évoque un paysage silencieux et sans vie. L'auteur va donc décrire cette marche en amplifiant le bruit des insurgés qui va donner vie à la nature. Ainsi « les chants » qui (enflent), lignes 4 et 5 vont se préciser pour devenir « un éclat assourdissant » : la Marseillaise. B) Du chant au rugissement Au fur et à mesure de l'avancée de la bande, le chant prend

de 1 500 insurgés s'y sont réfugiés. Ils sont délogés par le colonel Henri-Georges Boulay de la Meurthe à la tête d'un régiment de la garde républicaine[1]. * 25 juin : Mort sur les barricades de Monseigneur Affre, archevêque de Paris. Le général Bréa est tué par les insurgés près de la barrière d'Italie. * 26 juin : Fin de la révolte avec la chute de la dernière barricade, située faubourg Saint-Antoine. Ces journées révolutionnaires ont fait environ 4 000 morts du côté des insurgés, et 4 000

nous l'exprime très clairement depuis le début du texte «L'attaque fut l'ouragan». Cette comparaison entre l'ouragan et l'attaque nous montre la brutalité présente dès le début. Victor Hugo raconte les faits et décrit les insurgés comme des «sauvages» sans pitié: «Les insurgés firent feu impétueusement». Ils paraissent munis d'une force surprenante: « L'assaut fut si forcené qu'elle fut un moment inondée d'assaillants; mais elle secoua les soldats ainsi que le lion les chiens». Pour le lecteur les