L Insurgé

DOSSIER D’ETUDE N° 6 : L’AFGHANISTAN 1 SOMMAIRE DES FICHES FICHE N° 1 : présentation générale de l’Afghanistan FICHE N° 2 : les enjeux stratégiques FICHE N° 3 : les spécificités du théâtre afghan FICHE N° 4 : les mouvements insurgés FICHE N° 5 : la lutte contre la narco-économie FICHE N° 6 : les forces internationales et alliées présentes FICHE N° 7 : le dispositif militaire français FICHE N° 8 : les missions de formation et de soutien FICHE N° 9 : la zone AF-PAK

a été victime de ses événements dans un très grand nombre ces derniers temps. Les attentats survenu au court des derniers mois ont été diffuser par les talibans après l'annonce de l'une des plus grande attaque militaire du Pakistan contres les insurgés du Waziristân. Puis à la suite de la mise en action de cette attaque l'état envoyât alors 28 000 soldats, depuis lors plus de 200 000 habitants se sont disperser dans d'autre villes et pays voisin dû à la guerre. l Le Pakistan est un pays qui

conservée au musée du Louvre à Lens, (c'est un musée qui reçoit des tableaux stockés auparavant dans les sous-sols du Louvre de Paris, faute de place dans les galeries.). Sur une des planches, Delacroix a signé son nom en rouge, couleur du sang des insurgés. Cette œuvre est souvent choisie comme symbole de la République Française et de la démocratie pour sa portée politique. B) Analyse et description Le peinte montre une certaine violence dans ce tableau, au premier plan. C'est une avant-scène

passée. C’est une peinture faite sur toile inspiré par cette guerre d’indépendance espagnole, exposé aujourd’hui au Musée du PradoFrancisco a réussi à nous transmettre la violence de cette guerre.Pour commencer, ce tableau représente la fusillade des insurgés Madrilènes par l’armée napoléonienne sur la montagne du prince Pio on peut clairement voir que cet épisode se passe de nuit en voyant le fond sombre, noir et ténébreux de Madrid. On distingue aussi deux groupes de personnes, une à droite et un autre

et la proclamation de la II° République, deux mois après l’élection de la Constituante, le peuple parisien a voulu à faire nouveau pression sur le régime en place. A lieu, alors, les Journées de Juin du 23 au 26 juin 1848, durant lesquelles les insurgés parisiens forment une voix de contestation sociale face aux républicains modérés. Nous allons nous intéresser à la signification de ce soulèvement, et son interprétation vue par Tocqueville. I. Une lutte des classes : A) La

est le lieu de liberté,  et l'hôtel de ville face au pouvoir des tuileries qui est le pouvoir central. Le soulèvement spontané d'une population  pour un changement de régime. L'irruption de masse . Plus une partie de l'armée qui bascule du côté des insurgés,  a midi marmon constate qu'il ne contrôle plus la capitale,  il demande au roi en urgence de réagir,  charles X ne réagit pas , il est en chasse! Marmon a compris qu'il fallait organiser 4 colonnes des troupes pour récupérer l'hôtel de ville.talon

braves élèves ! (l. 30) garde nationale - enthousiasme populaire : « cris frénétiques » (l. 31) ; « un enthousiasme, un délire que rien ne saurait dépeindre » (l. 32) ; « enthousiasme redouble » (l. 41) - les troupes de Marmont prennent position et insurgés essayent de se procurer des armes B. Des combats acharnés - combats pour l’Hôtel de Ville : « feu meurtrier » (l.43) ; « pris et repris quatre fois » (l. 43) - « un bruit épouvantable de coups de fusils et de canons a duré depuis une heure jusqu’à

nous verrons comment l’auteur donne de l’ampleur et de la force au mouvement révolutionnaire puis la façon dont il héroïse les personnages et enfin les différents aspects de la nature évoqués dans le récit. Dans l’ensemble de l’extrait, les insurgés ne sont pas décrits de manière individuelle, mais comme membres d’un groupe : « La bande », « ces quelques milliers d’hommes », « les derniers bataillons ». Aucun personnage ne se distingue par une action particulière ; c’est le peuple dans sa globalité

d'une estimation militaire française de 89 000 morts, dont 75 000 tués par les insurgés datant de 194925 et reprise par le principal spécialiste de la question en 1974, Jacques Tronchon. Selon l'historien Jean Fremigacci26 le bilan s'établit ainsi : jusqu'à deux mille civils tués par les insurgés ; mille à deux mille civils tués par des soldats français ; cinq à six mille insurgés tués au combat ; vingt à trente mille insurgés morts de malnutrition ou de maladie. Il reste que cette querelle de chiffres

À partir de et le peuple, il y a un rythme rapide des description sur les dégâts causés, une énumération des éléments dans une seule phrase les rideaux, les lustres, les tables, les chaises mis en évidence le niveau de violence perpétré par les insurgés. Il y’a un parallélisme d’amplification de la préposition jusqu’à des almbus, jusqu’à des corbeilles de tapisserie pour accentuer en donnant un caractère qui depasse la normale. Il y a une description visuel à travers des vêtements et accessoires