L Insurgé

(suspension de la liberté de la presse...). Les 27, 28 et 29 juillet la révolution éclate. La scène se déroule ici le 28 juillet 1830, deuxième journée de révolte : le drapeau tricolore est hissé sur Notre-Dame de Paris et l’hôtel de ville est pris par les insurgés. Eugène Delacroix n'a jamais été un révolutionnaire, il fut cependant témoin des journées de Juillet 1830. Il participa même à la défense du Louvre. Composition : - Description de l’œuvre : Sur ce tableau, Delacroix a pris soin de représenter tous

Charles X. Le roi venait de dissoudre la Garde royale quelques jours plutôt mais a cependant laissé aux soldats leurs armes. 4*Avec ce cadavre de soldat à moitié nu, les bras étendus, Delacroix montre crûment l’extrême violence des combats entre les insurgés et l’armée. 5*C’est un paysan venu travailler en ville comme ouvrier. Il porte les couleurs de la ville de Paris ; bleu, blanc, rouge. Gravement blessé, il se redresse à la vue de la Liberté. 6*A sa tenue vestimentaire on devine que cet homme est

municipale », « les insurgés », « les soldats », « la troupe »). L'auteur utilise le champs lexical de l'héroïsme en fin de texte : « férocité héroïque », « sacrifice de soi-même », « heure suprême ». Cela nous prouve que ce texte impressionne le lecteur. Hugo donne une dimension « surréaliste » à son œuvre pour dénoncer l'armée. Ensuite, nous pouvons voir que l'écrivain utilise une argumentation assez explicite. Nous voyons clairement qu'il prend parti pour les insurgés. L'armée est dénigrée

entre l'armée et les insurges. Le soldat de la garde royale : Ce cadavre est un soldat de la garde royale de charles 10. La cathédrale : A l'arriere plan on peut reconnaître les tours de la cathedrale Notre Dame. C'est ce qui permet de situer la scene a Paris. LES PLANS 1er Plan : Est occupe par les corpes des victimes et des blesses 2eme Plan : Un personnage feminin entraine une foule de gens armés. Cette femme est la figure centrale du tableau. 3eme Plan : Les insurges brandissant leurs armes

Centre, révèle sa décision, seule alternative au succès de l’insurrection : l’assassinat de Chang-Kaï-Shek. Bien que le comité désapprouve, nul ne tente de l’en empêcher. Partie VI 11 avril. Clappique, impliqué dans le trafic d’arme des insurgés quelques mois plus tôt, est prévenu de sa prochaine arrestation et est enjoint de quitter le territoire. L’homme tente d’avertir Kyo mais son complice est introuvable. Il demande à Gisors d’avertir son fils de le rejoindre au Black Cat. De retour

4. Les événements L’insurrection Evénements { l’Est Evénements { l’Ouest Premiers enseignements 5. Les combats Les enjeux de la bataille de Misrata 6. Les conséquences du conflit La fuite des communautés étrangères La situation humanitaire 7. Les insurgés et le CNT Une composition hétérogène Le poids du mouvement monarchiste Senoussi Des dirigeants contestables Les objectifs politiques du CNT La stratégie militaire du CNT Les prisonniers du CNT La « propagande » du CNT Les soutiens du CNT p. 7 p

blessés. C'est une avant-scène malsaine qui illustre l'un des slogans révolutionnaires Au deuxième plan se situe un personnage féminin qui entraîne une foule de gens armés. Cette femme est la figure centrale du tableau Au troisième plan, les insurgés[3] brandissent leurs armes en plein assaut. A l'arrière-plan on perçois les tours de Notre-Dame se qui situe la scène à Paris. a)La Liberté Une femme au bonnet phrygien, brandissant le drapeau tricolore et un fusil semble mener l'attaque

se précipite chez sa grand-mère, en promettant à Miette qu’il reviendrait. Les insurgés font prisonniers M. Garçonnet, le commandant Sicardot et M. Peirotte, le receveur, ainsi que plusieurs autres fonctionnaires. Puis ils quittent la ville, Antoine se propose de la garder avec vingt hommes; Miette porte toujours le drapeau, accompagné de Silvère.  CHAPITRE 5 : C’est la nuit noire et froide, l’enthousiasme des insurgés retombent, Miette est fatiguée, Silvère l’accompagne au haut d’une colline pour

guerre entraîna à partir de 1777 d'autres puissances européennes, parmi lesquelles la France, qui joua un rôle important. La France s'engagea d'abord dans la guerre d'indépendance américaine par la fourniture de matériel et d'aides en faveur des insurgés. Elle s'engagea ensuite officiellement en 1778. L'aide française navale et terrestre et le soutien de ses alliés contribuèrent à la victoire américaine, notamment à la bataille de Yorktown, et se conclut par le traité de Paris de 1783. Ce traité

regards différents, celui du narrateur, omniscient, qui surplombe la scène, celui des insurgés et celui des gardes républicains. Le narrateur rapporte les réactions de chacun des deux camps ou commente la scène de l'extérieur. Ainsi, on observe plusieurs fois la même scène de différents point de vues. "Les gardes nationaux et les soldats riaient en l'ajustant", "il se couchait, se redressait..." et "les insurgés, haletant d'anxiété, le suivaient des yeux". Ce procédé permet à Victor Hugo de ralentir