L Integration Regionale Dans La Zone Cemac

Article « Les processus d'intégration régionale, vecteurs de recomposition du système international ? » Franck Petiteville Études internationales, vol. 28, n° 3, 1997, p. 511-533. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/703774ar DOI: 10.7202/703774ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation

L’accouchement laborieux d’Etats issus du lourd héritage colonial et en quête d’identités nationales ne doit pas empêcher de s’intéresser aux recompositions et aux évolutions des sociétés africaines dotées d’un remarquable dynamisme. II- La diversité régionale oblige à nuancer le constat d’une Afrique en perdition.   Il faut tout d’abord souligner que la collecte de chiffres est très variable d’un pays à l’autre, ce qui amène à rester prudent, même en ce qui concerne les évaluations qui peuvent être

le législateur de l’OHADA, dans son œuvre de construction d’un espace d’intégration juridique stimulateur de croissance et de développement économiques, a-t-il pris en compte les exigences liées à l’émergence de marchés financiers communautaires en zone OHADA ? Si, en matière d’obligations de transparence imposées aux entreprises et autres émetteurs faisant appel public à l’épargne, l’Acte uniforme relatif au droit des sociétés commerciales paraît assez satisfaisant, en revanche, en matière de mécanismes

Sud-Est et Pacifique, Caraïbe, Afrique Centrale. Les résultats obtenus donnent lieu à la publication du profil culturel des pays couverts. Cette publication est consacrée à trois pays de la Communauté Économique et Monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC) : le Cameroun, le Congo-Brazzaville et le Gabon. Conçue par des spécialistes de l’économie de la culture sur la base d’enquêtes de terrain, elle propose un panorama aussi complet que possible des industries culturelles de ces trois pays, en mettant

Soumaila DOUMBIA Doctorant Laboratoire CREPPEM à l’UPMF de Grenoble soumdoumbia@yahoo.fr RÉSUMÉ Cet article met l’accent sur la surliquidité des banques de l’UEMOA dans un contexte de sous-financement du secteur productif et des PME. Dans cette Zone, les banques ont tendance à surestimer le risque associé au financement d’une grande partie des entreprises, ce qui se traduit par l’insuffisance des prêts vis-à-vis des dépôts et, donc, par l’augmentation de leur liquidité au-delà du seuil nécessaire

Cette recherche de gain honnête de cette acquisition de bien être se fait par le biais des échanges grâce à la monnaie qui constitue un des piliers les plus importants du système économique mondial. Au début des années 1980, les pays de la zone UEMOA subissent une crise de la dette qui émane de la crise mondiale. Celle-ci se traduit par des déséquilibres économiques profonds, un niveau de dette publique extérieure très élevée. Un service de la dette qui pèse fortement sur leurs finances publiques

d’action ont été développés pour la migration, la facilitation des échanges et la libre circulation des marchandises et particulièrement des produits agricoles. La troisième partie passe en revue, au niveau de chacune des huit Communautés économiques régionales (CER), les différents instruments juridiques, les progrès accomplis et les problèmes relatifs ,en premier lieu, à la libre circulation des personnes et , en second lieu, à la libre circulation des biens, services et capitaux. La quatrième partie

INTEGRATION DES ECONOMIES AFRICAINES : Une nécessité face aux défit de la mondialisation Chapitre1 : La mondialisation : Une donne pour les nations Définition : La mondialisation consiste à l’interdépendance incessante des économies et contribue à l’expansion des échanges et des interactions humaines. C’est le processus par lequel la production, le commerce, les investissements, les rapports humains et les finances s’internationalisent. Même si la mondialisation n’est pas une fin en soi

activités variées dans des secteurs d’activité distincts. Les objectifs et la mesure de la concentration Les objectifs recherchés varient selon le type de concentration. L’ampleur d’une opération de concentration s’évalue au travers de critères comme la zone géographique (le regroupement de firmes originaires de différents pays est une concentration internationale) ou le secteur d’activité (l’industrie pétrolière est très concentrée car peu d’entreprises se partagent le marché). Concentration horizontale

diversification économique, qu’elle soit horizontale (i.e. l’émergence d’un nouveau secteur d’activité), ou verticale (i.e. l’élargissement de la gamme des produits fabriqués dans un même secteur), est un formidable outil de transformation de l’économie sous-régionale qui contribuerait à l’élargissement de l’assiette fiscale. Toutefois, elle est un processus de moyen et long terme qui a un coût important dans la mesure où elle nécessite des investissements dans des secteurs non traditionnels par rapport auxquels