L Intelligence Humaine Et L Intelligence Animale

«apprivoisés, subjugués, domptés, réduits à lui obéir» (L 7) = emploi de part passés , sens passif des V , les animaux sont en position d'objets +. « devenues son domaine » (L 13 ) + Lignes 1 à 14 : l’homme a exploré et soumis la Nature. L'impact de l'hom sur la nature Omniprésence de l'activité humaine : accumula° de Verbes d'action dont l'hom , son intelligence...., est le complément d'agent : « desséchés », «contenus », « effacés », « éclaircies », « cultivées » ( L 9-10)

conventionnel : Joseph Jacotot qui au début du XIX siècle remit radicalement en cause les fondements de la pédagogie traditionnelle. Cette étude donnera lieu à une biographie philosophique : Le Maître ignorant, dans laquelle il pose le postulat de l'égalité des intelligences. « Ma réflexion s’est alors orientée sur le lien entre l’idée d’émancipation ouvrière et l’émancipation intellectuelle dont Jacotot était l’apôtre ». Dans son ouvrage Le Maître ignorant, Jacques Rancière s’intéresse particulièrement à la méthode

12 “ Apologie de Raymond Sebond”, Montaigne * Montaigne : Écrivain Philosophe Humaniste qui tente de cerner la nature humaine au travers de ses Essais. * S’interroge ici sur la situation de l’homme au sein de l’univers * Apologie : Genre élégiaque, R. Sebond est un Théologien espagnole dont la thèse est : “L’Homme est en haut de l’échelle du vivant, des animaux” * Ce sous titre est très antiphrastique car il est très hostile à cette thèse, c’est en effet son père qui va lui demander

l’histoire on peut distinguer trois types de robot : correspondant en quelque sorte à l’évolution de cette « espèce » créée par l’homme : l’automate, le robot capteur, et le robot à intelligence artificielle. Commençons avec les automates. (D) En 1495, le célèbre inventeur Léonard de Vinci dessine le premier automate de forme humaine. En 1738, Jacques de Vaucanson, horloger français, invente son chef-d’œuvre : un musicien qui joue de la flûte. Autre merveille de Vaucanson, un canard qui picore des graines

proprement humaines, par lesquelles les êtres humains font face à leu condition. En ce qu’ils ont un corps, qui leur impose des besoins, ils y répondent (c'est-à-dire qu’il deviennent capables d’entretenir la vie en eux) ou s’en libère. nature en l’homme (condition humaine =/ nature propre à l’homme (facultés de pensée, parole) Quand ils y répondent, donnent naissance à la culture. Les techniques (techné) : art (ens. de procédures, techniques, savoirs, règles par lesquelles l’être humain soit atteint

Le tout premier moment dégage tout simplement la nature de l’homme (ce qu’il est) A- Pour ce faire Jean Itard va d’abord nous dire que la limitation animale réside dans le fait que les humains en sont justement dépourvus. 1) D’emblée, l’auteur considère que ce qui fait l’homme, c’est sa nature. Cet homme est un des plus faibles animaux, il est « sans force physique », mais c’est aussi un des moins intelligent « sans idées innées ». Mais c’est aussi un homme qui est incapable de survivre (et

 La Bruyère Les Caractères XII 1688 Thèse défendu par La Bruyère : L’orgueil de l'homme est sans fondement 1) La perversion de l'homme A. Un comportement similaire à celui des animaux Tout au long du texte, La Bruyère compare les hommes à des animaux. Il commence tout d'abord par les comparer à deux chiens qui se battent comme le souligne la gradation « chiens qui s'aboient, qui s'affrontent, qui se mordent et se déchirent »(v.17). Ensuite l'auteur les compare à des chats comme le souligne « 

Txt Dawkins, corrigé. Introduction La raison humaine peut-elle tout connaître ? La science est souvent présentée aujourd’hui comme la discipline présentant les garanties de fiabilité les plus grandes dans la recherche de la vérité. Mais la science n’a-t-elle pas des limites ? Les questions métaphysiques et existentielles, portant sur un éventuel « au-delà » de la nature visible permettant de donner sens à l'univers et à la vie humaine, ne demeurent-elles pas l’apanage de la religion? Dans

»-Jean BaudrillardLes IA ne sont que des imitations de l’intelligence humaine, cette notion est la cause de nombreuses problématiques et une approche plus psychologique et philosophique pourrait potentiellement nous permettre de mieux la comprendre. La fusion des sciences humaines avec les sciences formelles pourrait nous en apprendre plus sur la nature de notre propre espèce. Essayons ensemble de comprendre de fond en comble

des humains ne diffère que de 0,27 % de celui des chimpanzés. Cependant, on oppose souvent l’Homme à l’animal. Il nous faut donc déterminer deux aspects : animalité et humanité.   Ainsi pour commencer, nous pouvons prendre l’exemple du langage : les animaux comme l’abeille ou la baleine peuvent échanger certaines informations, au moyen de signes ; l’on en conclut que l’animal possède le langage, comme l’homme. Il est donc intéressant de savoir s’il y a un langage animal. On