L Intelligence Humaine Et L Intelligence Animale

matière que donc l’intelligence est purement abstraite alors que personne ne montrait le contraire en décrivant comment c’est justement que cette confrontation avec la matière qui résiste à notre intelligence que l’homme acquiert une intelligence de lui même c’est dans ce sens qu’on peut parler d’une intelligence de la main. C’est pour quoi dans la dernière partie du texte Bergson énonce clairement sa thèse selon laquelle il se peut bien que nous soyons homo sapiens homme doué d’intelligence parce que

La liberté et le bonheur. 1_Vers 2 définitions de la liberté A_ A partir de l’usage courant Un homme libre Un animal en liberté/un animal en captivité. Plante pousse librement. Pierre en chute libre. L’air libre. W.C libre. Y a-t-il dans tous ces usages quelque chose de commun ? Dans tous ces cas, la liberté se définit comme l’absence de contrainte Définition : Est libre, ce qui n’est pas empêché dans son mouvement naturel. _Cette liberté se vérifie toujours par une négation

continu à lire ses fables, qui plus souvent que autrement, qui utilisaient des animaux pour représenter les sentiments des humains. Dans la fable Le Singe et Le Léopard, on peut sous-entendre que l’apparence n’est pas tout ce qui compte dans la vie, il y a l’intelligence aussi. À la foire, le léopard, par sa fourrure impressionnante, arrive à attirer l’attention. Le singe, lui, mise sur la ruse et sur son intelligence pour jouer des tours et amener les gens à venir le voir. Dans cette fable,

vision de l’être humain. Une dame nous racontait si on pouvait être moins qu’humain. Elle s’expliquait avec le mythe de Prométhée et Épiméthée lors de la conférence. Voici le résumer de cette conférence. Tout d’abord, elle commençait avec le mythe de Prométhée et Épiméthée. C’était deux titans que les dieux on donne comme mission de créer les humains et les animaux avec des ressources limitées. Alors que les titans commençaient avec joie et ils ont fini par oublier les humains. Ils leur restaient

pas à l’être humain. Il me semble pertinent de définir certains termes du sujet. Le terme progrès est établit lorsqu’à partir d’une situation de référence, un processus conduit soit un plus d’un point de vue quantitatif soit un mieux d’un point de vue qualitatif. Ensuite le terme humanité est important dans ce sujet, ici, humanité signifie que c’est une morale commune à chaque homme car propre à son espèce. C’est ce caractère commun qui permet de rassembler tous les êtres humains en un unique

deviendra grâce au Pr Nemur et au Dr Strauss qui réussiront à développer une expérience en ce sens. Il sera le premier être humain à subir cette expérience. C comme Chicago car le Pr Nemur, le Dr Strauss, Charlie et Algernon vont à une conférence de presse sur l'expérience qu'ils réalisent. Finalement, Charlie en aura assez, car le Pr Nemur n'arrête pas de le prendre pour un animal. Charlie partira avec Algernon dans le premier avion pour New-York s'en prévenir personne. C comme Colère car Charlie

car elle exprime une finalité (ce qui est très différent d'un programme, voir ci-dessus). Cette finalité est interne au vivant. Elle est un automatisme (que l'on peut encore résumer par un verbe: survivre). Cette théorie est issue de l'embryologie animale (R. Chandebois), et repose sur une mémoire cytoplasmique de l'espèce transmise par l'œuf ou la cellule sexuelle femelle dans la reproduction sexuée, doublée d'un automatisme de développement et d'évolution qui donnerait le sens de celle-ci (évolution

l'entoure s'il n'admet pas le rôle de Dieu. L'homme qui cherche à tout connaître, tout savoir, l'auteur tend à lui démontrer les limites de sa raison. Pour lui, la pensée humaine est incapable de rendre compte de la complexité du monde. Toutes ces choses qui nous dépassent ne peuvent être expliquées que par la présence d'une intelligence organisatrice qui permet de former des choses grandioses qui échappent à notre raison (la voute stellaire). L'auteur émet des hypothèses ; soit les connaissances de

jour, seules une chaleur étouffante et des dunes paresseuses règnent. Une brise reste un espoir qui ne viendra jamais alors que la piqûre du scorpion guette, tapie sous une pierre. La nuit, tout s'agite tandis qu'un froid mordant nous envahit. Les animaux, endormis la journée, se réveillent, s'agitent, partent en chasse. Le fennec croque les insectes dont les pattes dessinent des guirlandes sur le sable refroidi. Les chacals se battent pour une charogne. Selon Flaubert, "Nous sommes tous dans un désert

paraître paradoxal. Si apprendre est le fait d’acquérir un ensemble de connaissances, penser relève plutôt de la conception, de la formation d’idées par la réflexion. On peut se demander si emmagasiner des connaissances et faire appel à sa pensée, son intelligence, ne sont pas antagonistes. On pourrait croire que penser se fait instinctivement, de manière inconsciente. Pourquoi alors, apprendre à penser si ce processus est déjà en marche naturellement chez l’homme ? Peut-on apprendre à penser ? A-t-on la