L Intelligence Humaine Et L Intelligence Animale

[vers 14 ans] l’enfant pratique un raisonnement, il peut maintenant manipuler du possible (de l’abstrait) ● René Descartes (1596 – 1650) ( Quelle est l’origine de notre intelligence ? « Dieu a déposé dans notre esprit, dès la naissance, des idées logico mathématiques claires et distinctes, noyau de l’intelligence humaine » ( NATIVISME (= innéisme) : conception philosophique et psychologique qui affirme que la nature d’un être vivant est entièrement déterminée avant sa naissance ; elle ne

connaître l’animal à l’aide d’une caractéristique reconnue comme humaine : la conscience ?) et un problème moral : refuser la conscience à l’animal peut-être un moyen de ne le considérer que comme une machine utilisable à volonté. I)Ce refus est motivé par l’observation d’un instinct animal. 1)Le comportement animal est gouverné en majeure partie par l’instinct. Les observations des biologistes (éthologues, en particulier) sur les animaux dans leur milieu naturel et les expériences en laboratoire

Facultés Universitaires Notre – Dame de la Paix Institut d’informatique Rue Grangagnage 21, 5000 NAMUR Tél. 081-72 50 02  fax 081-72 49 67 Intelligence Artificielle « Pensée et Calcul » Travail réalisé dans le cadre du cours d’Informatique et Rationalité – Approche Epistémologique - du professeur P. Goujon, par Delphine Harmel Alain Mordant 2ème Maîtrise en Informatique Année académique 2006-2007 1 Table des matières TABLE DES MATIÈRES .....................................

Depuis son apparition l'Homme a évolué, la création d'outils consiste en une étape fondamentale qui lui a vallu son nom Homo faber. Il a d'abord utilisé son corps, créer des imitations de la nature et de sa morphologie ( ainsi que de celles des animaux) en construisant des outils quand l'Homme, limité physiquement, en est incapable ou pas assez rapidement, puis les a perfectionnés. Nous allons nous pencher sur l'énorme évolution entre les premiers outils et les machines actuelles ainsi que de ses

agir. 1)      La culture désigne à la fois un ensemble de normes et de processus typiquement humains et une forme de luxe de l'esprit, de raffinement, correspondant à l'acquisition d'un certain nombre de savoirs. 2)      La culture comme processus très général de perfectionnement d'une civilisation correspond à la réalisation même de la nature de l'homme qui est, à la différence des autres animaux, d'être un être perfectible. En ce sens, le pourquoi de la culture se comprend en terme de nécessité

savoir : servant à désigner un animal qui se nourrit d’un autre ; néanmoins, le sens premier est bien pilleur. Pour établir les bases de ma réflexion, je suis amenée à faire un grand retour en arrière afin d’étudier quel a été le comportement et l’évolution de l’homme durant tous ces millénaires qui nous ont précédés. Puis, j’aborderai ce qu’il en est maintenant ou du moins comment je perçois ce qui se passe actuellement. Dans la nuit des temps, l’être humain apparutt sur la planète, grand

changements et l’évolution de l’individu tout au long de la vie (perspective « life-span ») dans ses aspects cognitifs et sociaux. On se demande : Quels sont les mécanismes qui font progresser l’individu au cours de sa vie ? Comment évolue son intelligence et sa cognition (= processus mentaux qui ont un rapport avec la connaissance) ? On suppose que le cerveau reconstruit ce qu’on voit (représentation imagée/abstraite/d’états mentaux : désirs, envies, émotions). On va donc étudier ces représentations

3ème section, traitant de la production des valeurs d'usage. Pour comprendre cela, il faut d'abord savoir en quoi consiste le travail. Comment le définir ? Dire que c'est une médiation par rapport à la nature ne rend pas compte de la spécificité humaine du travail. Marx compare alors des activités similaires d'hommes et d'animaux. Il en conclut que le travail est une mise en œuvre de la volonté et de l'intelligence de l'homme. Le travail est analysé par rapport à la nature. Il est l'intermédiaire

"La nature a voulu que l'homme tire entièrement de lui-même tout ce qui dépasse l'agencement mécanique de son existence animale et qu'il ne participe à aucun autre bonheur ou à aucune autre perfection que ceux qu'il s'est créés lui-même, libre de l'instinct, par sa propre raison. La nature, en effet, ne fait rien en vain et n'est pas prodigue dans l'usage des moyens qui lui permettent de parvenir à ses fins. Donner à l'homme la raison et la liberté du vouloir qui se fonde sur cette raison

l’ironie lorsqu’il dit :« messieurs les courtisans » alors qu’il les compare à des animaux, ce qui les critique. De plus, « triste/gais » est une antithèse, ainsi que « prêts à tout, à tout indifférents ». Ces deux figures de style symbolisent la critique de l’auteur : les courtisans n’ont pas de personnalité. L’antithèse entre être et "parêtre" souligne leur hypocrisie. Ce sont des pantins du roi sans intelligence, comme le montrent les termes « ressort » et « mille corps ». Ces pantins illustrent