L Intelligence Humaine Et L Intelligence Animale

Générale Bastien SAUTSujet :L’Homme et l’Animal« Tout comme l'homme, les animaux ressentent le plaisir et la douleur, le bonheur et le malheur », Charles Darwin. Dans cette citation, Charles Darwin explique que l’Homme et l’Animal ont quelques points communs, et que même s’ils leurs manque le langage, ils sont autant « humains » que les Hommes. Cette citation invite à réfléchir à la manière dont l’être humain se comporte avec les animaux. L'homme est l’être vivant appartenant

colonial. « Les colonies de la France », dit-il, « contiennent près de cinq cent mille esclaves, et c’est par le nombre des malheureux qu’on y mesure la fortune ». Ce qui est l’occasion de souligner avec amertume les contradictions des jugements humains : « quel funeste coup d’œil ! Quel profond sujet de réflexion ! Ah que nous sommes inconséquents et dans notre morale, et dans nos principes ! Nous prêchons l’humanité et tous les ans nous allons porter des fers à vingt mille habitants de l’Afrique

Du Q.I................................................................................................18 II. Approche Multidimensionnelle, Les Intelligences Multiples...............................................20 III. Les Mesures De L'intelligence............................................................................................22 INTELLIGENCE EMOTIONNELLE...........................................................................................26 I. Approche Par Habileté : Mayer Et Salovey

sauvage voire animal. Pourtant, par leur définition, culture et nature abordent deux notions contradictoires. Ce qui est naturel, est donné à la naissance et est dans les gènes, la nature de l’homme est donc ce qui dès sa naissance fait qu’il n’est autre chose que ce qu’il est. La culture au contraire est quelque chose qui s’obtient par le travail de l’homme, c’est ce qu’il ajoute à ce qu’il est en naissant, c'est-à-dire sa nature. Comment peut-on alors qualifier de nature humaine, ce que l’homme

Le travail, est apparu a l'aube de la civilisation : a partir du moment ou l’être humain s'est sédentarisé, et qu'il a commencé a entretenir son environnement plutôt que de purement l'exploiter. Dès que l'on parle d'entretien cela signifie une intervention humaine, ce qui signifie du travail. Mais a l'aube de l’ère industrielle, et du système capitaliste de nombreux philosophes et sociologues se sont penchés sur la direction que prenait l'évolution du travail, et a juste titre, car il nous apparaît

raisonnable. Comment le moraliste compose-t-il ici une image saisissante de la nature humaine ? Il convient d’étudier d’abord l’idée selon laquelle l’homme n’est pas un animal raisonnable, idée tournée en dérision par La Bruyère. Puis nous verrons comment l’attitude belliqueuse des hommes est dénoncée. Enfin, ce texte est un appel à une prise de conscience. I. La réfutation de La Bruyère: l’homme n’est pas un animal raisonnable. Cette thèse, délivrée au début du paragraphe, est d’emblée

l’horizon occidental un acte peut changer la vie » (Jules Monnerot « Les lois du tragique ») : telle est bien la signification de la responsabilité ainsi qu’elle apparaît déjà dans la tragédie grecque. Cette conception renvoie à l’idée d’une conscience humaine qui sait qu’elle peut tirer mentalement des enseignements de ses connaissances pour agir et se doit d’assumer les conséquences de ses actes. La notion de responsabilité implique donc les idées de savoir et de pouvoir, mais aussi la conscience d’un

et la dignité humaine. Il recourt à une grande variété de genres littéraires (lettres, dictionnaire, conte philosophique) pour diffuser auprès du public ses convictions de philosophe. Dans « Le Dialogue du Chapon et de la Poularde » écrit en 1763, il choisit la forme du dialogue burlesque. Dans ce dialogue, deux volailles sur le point d’être mangées s'interrogent sur la cruauté qui conduit les hommes à les traiter ainsi. Cette critique de la violence faite aux animaux est le point de

de ces 8 lieues, soit 32 kilomètres, et de ces millions années d’espérance de vie, ce savant est un très bon mathématicien. Lorsqu’il avait 450 années, à la fin de son enfance, Micromégas était très curieux. Il pratiquait des dissections sur des animaux qui n’ont pas cent pieds de diamètre. Ces travaux l’amenèrent à écrire un livre très controversé. Le muphti, chef religieux de son pays, pense que certaines affirmations et informations contenues dans cet ouvrage sont malsonnantes. Un procès qui dura

: Le silence de la mer (1942) Les animaux dénaturés (1952) Zoo ou l’assassin philanthrope (1954) *Présentation de l’oeuvre et de l’extrait : Zoo ou l’assassin philantrope est une réecriture du conte philosophique “Les animaux dénaturés” sous forme d’une pièce de théâtre. Dans cette oeuvre le héros Douglas Templemore est accusé d’avoir tué l’enfant qu’il a eu avec une “tropi”. Le problème qui se pose est de savoir si il a tué un être humain ou un animal. Ainsi dans l’extrait, les personnages