L'Internationale

communiste du Bas-Rhin Se rallie au national socialisme. Nommé par les autorités allemandes en 1942 membre du Conseil municipal consultatif de Strasbourg. Mort en 1942. - JACOB (Henri) Membre du Comité central du PC. Délégué au Comité Exécutif de l'Internationale Communiste. Membre en 1944 du RNP, puis en 1943 du PPF. Rédacteur au Cri du peuple. Condamné aux travaux forcés à perpétuité JAMET (Claude) Universitaire. Secrétaire de la Fédération socialiste de la Vienne. Membre du Comité de Vigilance

de la révolution française. Il participe a de grande bataille politique et intellectuelles pour la liberté de la justice de l’affaire Dreyfus a l’abolition de la peine de mort. Afin de ne plus faire le lien avec la SFIO (Section française de l’international ouvrière) le parti socialiste change de symbole a la fin de l’année 1969. Il représenteras les luttes et espérance des socialistes (La couleur rouge rappel l’histoire de la gauche et la rose désigne les socialistes à l’heure d’aujourd’hui). Sa

se définit pas uniquement pas sa classe sociale . II/ Histoire du partie socialiste : de la SFIO au PS La date de naissance du socialisme politique est 1905 , puisque les courants socialiste fusionnent dans la SFIO ( Section française de l'internationale ouvrière ) . On y trouve des ouvriers mais pas seulement , des artisans, des fonctionnaires, des artistes … Ce parti prône l'internationalisme , le pacifisme . La SFIO participe a l'union sacrée avant la 1ere guerre mondiale , cela allant a l'encontre

défendre les intérêts professionnels et économiques des ouvriers afin par exemple d'obtenir des salaires, des conditions de travail plus convenables. En 1905 : création d'un parti politique socialiste français: la SFIO = section française de l'internationale ouvrière pour la défense de la classes ouvrière. En 1906 : La charte d'Amiens met en avant les principes syndicaux : améliorer les conditions de travail c'est à dire baisser les heures de travail et augmenter les salaires des ouvriers

stable à l'Assemblée nationale En octobre 1945, après l'élection de l'Assemblée nationale, trois partis obtiennent les trois-quarts des voix : le Parti communiste français, le Mouvement Républicain Populaire (MRP) et la Section française de l'Internationale Ouvrière (SFIO). Ces trois parties s'allient (Tripartisme). Cette large majorité semble être gage de stabilité parlementaire. Mais en mai 1947, le Parti communiste prend ses distances avec le Parlement et le Gouvernement. Le Président du

Le Front Populaire La scission du Congrès de Tours, le 25 décembre 1920 marque une division importante entre la section française de l’Internationale ouvrière et le parti communiste français. Près de dix ans plus tard, une coalition totalement inédite de plusieurs partis de gauche, (à savoir la SFIO, le PCF, et le parti radical) se forme à la suite de ce qui est vécu par les gauchistes comme une tentative de renversement des institutions républicaines, la révolte du 6 février 1934

d'aucune structure solide, avec financement et militants, pour les soutenir). Quelques années plus tard, le 23 avril 1905, Jean Jaurès et Jules Guesde fondent à Paris le deuxième grand parti de la gauche française : la SFIO (Section française de l'Internationale ouvrière).

particulièrement celle qui s’étend de 1936 à 1938. Où pour la première fois en France est élu un gouvernement de gauche. On parle alors de « front populaire » : c'est-à-dire une alliance entre différents partis de gauche : la SFIO (Section française de l’internationale ouvrière), le parti communiste et les radicaux. Notre période commence en 1936 année de départ avec la victoire du front pop aux élections législatives, et se termine en 1938 par le gouvernement Daladier qui annule des réformes du F. populaire

particulièrement de Jean Jaurès qui appel à une résolution pacifiste du conflit, et dont l'assassinat le 31 Juillet par un fanatique le croyant à la solde des prussiens ne tarira pas la mobilisation générale. Le 4 août, la Section Française de l'Internationale Ouvrière (SFIO) vote les crédits militaires. Le consensus s'élargit et le 26 Aout 1914, des opposants socialistes (tel que Marcel Sembat) sont intégrés au gouvernement. L'église s'engage également à sa manière en rappelant que « le patriotisme

de ces partis, Jaurès réussi à les unifier grâce à son talent de tribun et à son charisme. Il les unifie autour de mots d’ordre fédérateurs : antimilitarisme, justice sociale, république égalitaire et laïque sous le nom de Section Française de l’Internationale Ouvrière (SFIO). Ce qui fait de lui le chef de file du socialisme à cette époque. Il use de son influence pour être l’un des fondateurs de la loi de séparation de l’église et de l’état. Issu lui-même d'une tradition catholique, il défend l'idée