L'Internationale

il est représenté en noir et on le reconnait à sa casquette. Il y a un point fermé derrière lui qui le pousse dans le précipice, elle est rouge symbole du communisme. Sur le point, il y a écrit « SFIO ». La SFIO était la Section Française de l’Internationale Ouvrière qui était un parti politique socialiste dirigé par Blum. Il y a également écrit CGT ce qui signifie la Confédération Générale de Travail. La SFIO et la CGT sont assimilées sans différence, ils sont normalement défenseurs de l’ouvrier

L'année 1902 voit la naissance de deux partis : le Parti socialiste français, qui rassemble les jaurésiens, et le Parti socialiste de France, sous influence de Guesde et Vaillant. Les deux partis fusionnent en 1905 en une Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO). Par ailleurs, 1901 voit la naissance du Parti républicain radical-socialiste, premier parti politique moderne[250] conçu comme une machine électorale de rassemblement républicain. Il a une structure permanente et s'appuie sur

d’expression, gratuité de l’école… A cette époque ces idées sont perçues comme radicale. Le parti radical va être repoussé d’avantage vers la droite suite à la création de la SFIO puis plus tard du PCF. Création de la SFIO (Section française de l’international ouvrière) qui est le 2ème grand parti à voir le jour en 1905. Vont se rassembler dans la SFIO tous les déçus du parti radical et ils vont prôner l’instauration d’une république socialiste. A l’origine de la SFIO on a l’idée de rassemblement de

la nouvelle convention. Le 13, Renault est évacué : "Un cortège immense se forme. En tête marchent Morizet, sénateur maire SFIO ; Costes, député communiste. Puis s’avance un camion de musiciens qui alternativement jouent la Marseillaise et l’Internationale ; les musiciens sont coiffés de bonnet de patriotes de 92. Un char de triomphe porte les bustes de Léon Blum, Alfred Costes et Marcel Cachin." Partout, la grève se terminait par des parades afin de mieux cacher la triste réalité : tout avait

Les Nationalistes. En France, de nombreux partis sont représentés lors des élections législatives françaises de 1945. Ainsi, on peut apercevoir pour la gauche marxiste : le Parti Communiste Français (PCF) ainsi que la Section Française de l'Internationale Ouvrière (SFIO). L'Union Démocratique et Socialiste de la Résistance (UDSR) est également représenté, ce parti se dit de gauche mais est souvent placé comme centriste. L'extrême gauche étant représentée par le Parti radical-socialiste. Les Républicains

socialistes sont séparés par les rancœurs consécutives à l’échec des deux tentatives de cartels. Mai 1934 : les choses évoluent. Tirant la leçon de l’arrivée au pouvoir de Hitler, favorisée par la division des partis de gauche en Allemagne, l’Internationale s’oriente vers la stratégie du « front populaire » : l’ennemi prioritaire n’est plus le socialisme, mais le fascisme ; pour lutter contre lui, les communistes doivent se rapprocher, non seulement des socialistes, mais aussi des partis bourgeois

la gauche ? Celle-ci reste très attachée à la démocratie et s’oppose activement aux tentatives des ligues. Par conséquent, après le 6 février 1934 les partis de gauche décident de s’unir sous des mêmes parti dont la SFIO (section française de l'internationale ouvrière), le PCF (parti communiste français) et le Front Populaire pour les radicaux. Enfin ces deux organisations politiques s’opposent sur un même sujet : la guerre. Les ligues sont pour une guerre face à l’Allemagne, en effet, la plupart

principaux : le Parti communiste français (PCF), qui a tiré un grand prestige de son rôle de force de résistance et de la victoire de l'URSS, le Mouvement républicain populaire (MRP) d'inspiration démocrate-chrétienne et la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO). Ces derniers forment par la suite une force gouvernementale unie, que l'on nommera le Tripartisme. Du fait de la compromission de nombre de ses membres dans la collaboration[réf. nécessaire], la droite classique est en recul

janvier, l'effondrement de l'électorat gaulliste et une recrudescence du communisme avec 49 députés supplémentaires. Le 31 janvier, Guy Mollet devient président du Conseil, alors qu'il est le secrétaire général de la SFIO (Section Française de l'Internationale Ouvrière). Il forme un cabinet de gauche avec notamment Mendès-France ministre d'État, Mitterrand ministre de la Justice, Pineau aux Affaires Étrangères et Defferre pour la France d'Outre-Mer. Début juin, Pineau signe un accord avec les États-Unis

(1948-1984). Il lui consacrera le poème « Chants pour Naëtt » repris dans le recueil de poèmes « Nocturnes » sous le titre « Chants pour Signares »[4]. Fort de son succès, il quitte l'année suivante la section africaine de la section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) qui avait soutenu financièrement en grande partie le mouvement social, et fonde avec Mamadou Dia le Bloc démocratique sénégalais (1948), qui remporta les élections législatives de 1951. Lamine Guèye perd son siège. Réélu député