L Invitation Au Voyage Sujet D Invention

états mentaux sont engendrés par le système nerveux et font partie intégrante de la nature humaine. Il faut également souligner que l’imagerie mentale qui caractérise ses états dérive massivement de la mémoire et est donc propre à la culture du sujet.                                                                                                

typographie grande et aérée. On y lit, dans une énonciation en JE, le drame du créateur en mal d’imagination. Après les pages de titres, deux vignettes présentent le créateur ; on le voit dans son atelier, la mine défaite, puis en train de préparer un voyage. Le récit, à la première personne, commence. Sa voiture conduit le narrateur jusqu’à l’auberge de nulle part, « réservée aux personnes qui ont perdu la mémoire ». Une chambre l’y attend. Les pensionnaires qu’il y croise sont autant de rappels d’histoires

- Le planétarium de Nathalie Sarraute (1959) - Habel de Mohammed Dib (1977) - L’escargot entêté de Rachid Boudjédra (1977) - Les crapauds-brousse de Tierno Monénembo (1979) - L’anté-peuple de Sony Labou Tansi (1983) Pourquoi avoir opté pour un tel sujet? Sur quoi se fonde notre sélection des textes? Des motivations particulières ont-elles guidé notre choix? 9 Tout d’abord notre décision relève de l’intérêt certain que nous portons à la nature des travaux menés en littérature comparée. A notre

d'argent dont on vérifiait le poids à chaque fois que ceuxci servaient de moyen d'échange. Mais il n'y avait toujours pas de monnaie au sens où nous l'entendons aujourd'hui. C'est à la civilisation hellénique que nous devons cette magnifique invention. La voici racontée par Dauphin-Meunier dans son Histoire de la Banque (Que sais-je PUF,1968, p.12) : "En 687 avant notre ère, un prince indigène, Gygès affranchit son pays de Gygès, la domination d'une dynastie hittite (ce peuple de banquiers

rhétorique. J’ai passé presque toute ma carrière à prouver qu’il était facile de parler en public, à condition d’observer quelques règles simples mais importantes. Quand j’ai commencé mes cours à New York, en 1912, je n’en savais guère plus sur ce sujet que mes participants. Mes premiers cours furent évidemment très proches de ceux que j’avais suivis durant mes années d’université. Mais je découvris bientôt que je faisais fausse 10 route. J’essayais d’instruire des hommes d’affaires comme des

auxquels étaient fixés des photographies, des nœuds de rubans et des éventails. Elle lui avait dit : « Vous n’êtes pas confortable comme cela, attendez, moi je vais bien vous arranger », et avec le petit rire vaniteux qu’elle aurait eu pour quelque invention particulière à elle, avait installé derrière la tête de Swann, sous ses pieds, des coussins de soie japonaise qu’elle pétrissait comme si elle avait été prodigue de ces richesses et insoucieuse de leur valeur. Mais quand le valet de chambre était

théorique, de limiter au minimum ses interventions interprétatives. Autrement dit, il a essayé de créer des conditions pour mettre constamment en valeur le corpus étudié, sous la forme d’une simple invitation à (un voyage de) la relecture, en accord avec cette nouvelle optique. C’est sur cette invitation au voyage que s’articule la dernière partie. III. La troisième partie (critique) de l’étude (intitulée …POUR UNE NOUVELLE LECTURE DE BAUDELAIRE) se propose l’analyse démonstrative et approfondie d’un seul

rhétorique. J’ai passé presque toute ma carrière à prouver qu’il était facile de parler en public, à condition d’observer quelques règles simples mais importantes. Quand j’ai commencé mes cours à New York, en 1912, je n’en savais guère plus sur ce sujet que mes participants. Mes premiers cours furent évidemment très proches de ceux que j’avais suivis durant mes années d’université. Mais je découvris bientôt que je faisais fausse 10 route. J’essayais d’instruire des hommes d’affaires comme

l’impressionnisme les avant-gardistes opposent une lutte aux académiciens pour se libérer du sujet. Ils se posent des problèmes techniques à résoudre, tandis que Chagall est accusé de vouloir réintroduire la littérature dans la peinture. Qu’est-ce que cette distinction peinture/ littérature ? La peinture se veut l’expression de sa propre vision (formes et couleurs), elle est une transformation du sujet extérieur en un motif personnel. La littérature, elle, est une représentation d’une image héritée

toute la sagesse d’une Teri Hatcher au sommet de sa verve. Entre ironie et auto-dénigrement, elle nous livre avec humour tous ses petits secrets de ménagère accomplie, de mère divorcée exemplaire, nous donne des conseils avisés sur tout un tas de sujets et tord le cou aux rumeurs... Un ton drolatique et enlevé. Lire le livre de Teri Hatcher, c’est comme passer un bon moment avec une copine, rigolote et enjouée, parfaitement consciente de ses propres névroses et qui a su trouver le moyen de vivre