L'Invité surprise

(1979), elle photographie 45 personnes à qui elle a demandé de dormir dans son lit pendant huit heures et de répondre à ses questions. Cette œuvre retient l'attention du critique Bernard Lamarche-Vadel, mari de l'un des dormeurs prise en cliché ; il l'invite à la Biennale de Paris en 1980. Dès lors, le travail de Sophie Calle cherche à créer des passerelles entre l'art et la vie. Sous la forme d’installations, de photographies, de récits, de vidéos et de films. Suivront d’autres histoires originales

non négligeable. Elle refuse. Chapitre VI Juillet 1865. Denise redoute l'été et ses vagues de licenciement. En effet, l'été connu pour être une saison morte dans la vente, contraint la direction à effectuer de nombreux renvois. Un jour, elle est surprise en compagnie de son frère par Boudoncle qui imagine qu'elle reçoit son amant. Bourdoncle, qui n'appréciait guère la jeune femme, s'empresse de la licencier. Afin de gagner sa vie, Denise accepte de coudre des cravates la nuit. Mouret, bien que furieux

comme « mon imagination » « mes sens » « je crus voir » et « il me semblait ». De plus, nous notons une sorte d'exaltation avec des termes tels que « le premier mortel » « surpris, saisi, transporté » « enthousiasme involontaire ». Elle s'ajoute à la surprise qui découle de ce dont nous avons traité dans notre premier paragraphe. La description que fait Saint Preux est foisonnantes et lyrique, nous irions jusqu'à l'interpréter comme magique. La fraicheur, la verdure, l'ombre, l'eau et les oiseaux sont

évanouie mais, après l'avoir portée au lit, Valmont ne profite pas de l'occasion. Lettre 9. 30. Les conseils de Rosemonde Chambre de Tourvel 4'35''- 7'35'' Tourvel avoue à Rosemonde son amour pour Valmont et son intention de s'enfuir. Rosemonde, guère surprise, l'encourage à partir. Les hommes ne savent pas aimer. Lettres 102-103-130. 31. La fuite de la présidente Château de Rosemonde 7'35'' - 8'20'' Tourvel s'enfuit. Valmont intime à Azolan de la suivre et de l'espionner. Lettre 107. 32. Le rapport de

son frère, de coudre des nœuds de cravate la nuit, donnés gentiment par Robineau, le second à la soie. On découvre aussi que Hutin veut la place de second de Robineau et fait tout pour le faire partir. Un jour de juillet, Pauline et Denise sont surprises à bavarder par Jouve (les vendeuses n'ont en effet pas le droit de communiquer entres elles), celui-ci n'en parle pourtant pas à Bourdoncle. Jouve fait alors des avances à Denise, comme à d'autres vendeuses. Celle-ci refuse catégoriquement, et l'inspecteur

Comment : Lors de mon arrivée dans l’aile, je me change et me lave les mains. Puis, je pars rejoindre l’équipe soignante, laquelle se trouve dans la salle de bain collective. Cette équipe se composait ce jour là d'un A.M.P. et d'une A.S. Surprise par le nombre de résidents dans la salle de bain et par tout les genres confondus, certains étaient déshabillés et attendaient leur tour pour la douche et d’autres se séchaient et s’habillaient seuls. On trouvait dans cette pièce des protections

Il aime tellement la compagnie de François de Séryeuse qu’il se met à le fréquenter et à l’inviter avec assiduité. Mahaut, la comtesse d’Orgel Mahaut d’Orgel est l’épouse d’Anne d’Orgel. Belle et naturelle, cette noble apprécie avant tout les plaisirs simples de la campagne. Elle voue une tendresse sincère et fidèle à son mari, mais va, malgré

aux mathématiques et à la physique. Le lecteur est invité à prendre des distances face à ce monde merveilleux et à en chercher la véritable signification. L’insistance sur la naïveté de Candide et Cacambo rend le lecteur complice de Voltaire et l’invite à adopter un point de vue plus critique. En effet, les deux amis vont d’étonnement en étonnement sans rien analyser : tout d’abord Cacambo se trompe sur le protocole à suivre pour saluer le roi et lorsqu’il apprend avec Candide l’usage, ils lui sautent

Il affronte sa mère et provoque ses concitoyens. Refusant de reprendre ses études ou d’exercer un métier, il continue d’écrire des poèmes. Il envoie des courriers à Théodore de Banville et à Paul Verlaine. 18. Une réponse de ce dernier arrive : il l’invite à Paris. Ses sœurs sont enthousiastes, sa mère contrariée. 19. La belle-mère et l’épouse de Verlaine s’étonnent de découvrir un adolescent gauche et frustre. Verlaine entre ; une réelle rencontre se produit. Épilogue : Vingt ans ont passé, Mme Rimbaud

train sans billet. C'est son professeur qui vient le rechercher. Il fait encore une fugue en Belgique, puis encore à Paris en 1871. Il voudrait participer au soulèvement de la Commune. En septembre 1871, il envoie à Verlaine deux lettres. Verlaine l'invite chez lui à Paris. Leur liaison orageuse commence alors. Les deux poètes mènent une vie déréglée où l'absinthe et le haschich jouent un rôle important. Rimbaud cherche, dit-il, « l'encrapulement », « le dérèglement de tous les sens ». Leur liaison