L Ivresse De La Danse

partitions de compositions, le Blues va se formaliser. Ce style de musique ne sera pas apprécié par l’ensemble des publics ; en effet un universitaire de Chicago disait : « Le blues n’est pas une musique mais une expression bruyante d’une bande de nègres ivres ». Cependant, cette musique ethnique destinée, à l’origine, exclusivement à la population noire, est devenu en moins d’un siècle une des clés de voûte de la musique populaire dans le monde entier. Son House, quand à lui, a son propre avis sur la

incantent l’été » des Nuits rhénanes 4. Il convient bien sûr de mentionner également les légendes allemandes et parmi elles, celle de la Loreley dans le poème éponyme  dont le pouvoir ensorcelant s’étend non seulement sur les personnages de cette ivresse poétique mais sur le poète ; jouant sur l’ambiguïté du discours qu’il manie avec subtilité, le voici vaincu par les sortilèges de la belle éplorée : « Ô belle Loreley aux yeux pleins de pierreries De quel magicien tiens-tu ta sorcellerie Je suis

fait des révolutions Avec l'Ordre embusqué dans la pénombre. Paris n'a que sa Fille de charmant Laquelle n'est au prix de l'Exotique Que torts gentils et vice peu pratique Et ce quasi désintéressement. Paris n'a de bonté que sa légère Ivresse de désir et de plaisir, Sans rien de trop que le vague désir De voir son plaisir égayer son frère. Paris n'a rien de triste et de cruel Que le poëte annuel ou chronique, Crevant d'ennui sous l'oeil d'une clinique Non loin du vieil ouvrier

à venir tous les matins. Il observe un étrange petit vieillard qui dans entre les allées de verdure. A partir de ce jour, Jean ne le perdait plus de vue. Puis un jour, Jean commença à lui parler, le vieillard lui raconta qu'il avait été maître de danse à l'opéra, du temps de Louis XV. Il avait épousé la Castris, elle s'appelait Elise et elle aussi savait danser l'opéra. Un beau jour, Jean partit pour Paris, deux ans plus tard, il revint au Luxembourg et découvrit qu'il n'y avait plus de pépinière

comprend qu’il a été piégé. Makaré, déguisée en vieille femme, réussi à entrer dans la prison où est enfermé Tétiki: elle a demandé protection aux gardes prétendant avoir été victime d’une tentative de vol; elle leur fait boire du vin; lorsqu’ils sont ivres, elle va vers la cellule de Tétiki. Et Tétiki heureux de la bonne nouvelle, il suit Makaré en tombant comme son père dans le piège de Makaré. Kanefer dit au grand prêtre que Tétiki s’est évadé. Mais l’attitude du prêtre montre qu’il ne fait pas une

Lecture linéaire n°11 « Harmonie du soir », Spleen et Idéal, n°43, Les Fleurs du Mal , Baudelaire (1857) Baudelaire : entre romantisme et symbolisme ; on peut dire « post-romantique ».« Harmonie du soir » : 48e poème des FDM, dans « spleen et idéal »Entre « aube spirituelle » et « le flacon » : un passage du recueil où Baudelaire explore les moments qui font émerger un souvenir, une émotion (aube, crépuscule). Il s’intéresse à ce « glissement

Soleil couchant glacé - Marquise glacée Trou normand avec des agrumes - Chaud froid de Russie - Granité d'agrumes à la vodka - Manteau De Neige Citronné à la Russe Poisson - Délice des flots - Déesse des océans - Douceur de la mer - Danse océane - Le délice du Pêcheur - Nacre des fonds marins sur son lit blanc (avec une sauce blanche) - Baignade en eau douce - Les délices des mers - Ecumes blanches (pour les poissons à la chair blanche) - Le duo de l'océan - Trésor de

l’on voit ou l’on respire,Tout dise : Ils ont aimé ! Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques. Un autre Coeur. Serait-ce un autre cœur que la Nature donneA ceux qu’elle préfère et destine à vieillir,Un cœur calme et glacé que toute ivresse étonne,Qui ne saurait aimer et ne veut pas souffrir? Ah ! qu’il ressemble peu, dans son repos tranquille,A ce cœur d’autrefois qui s’agitait si fort !Cœur enivré d’amour, impatient, mobile,Au-devant des douleurs courant avec transport. Il ne reste

les désastres, Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien. Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ; De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant, Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques, Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement. L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle, Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau ! L'amoureux pantelant incliné sur sa belle A l'air d'un moribond caressant son tombeau. Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe

Et les arbres et leurs ombres sur les roseaux, Et le tranquille et somptueux silence, Dont nous goûtons alors Si fort L'immuable présence, Que notre voeu serait d'en vivre ou d'en mourir Et d'en revivre, Comme deux coeurs, inlassablement ivres De lumières, qui ne peuvent périr ! Poème n°6: “ L’immobile beauté” est un poème en vers libre écrit par Emile Verhaeren né en 1855 et mort en 1916, qui lui est influence par le symbolisme . Verhaeren est belge de naissance