L Obéissance Libératrice

Phi losophie Termina le Voie générale © Delagrave, 2020 1 Sujet commenté L’obéissance à la raison est-elle contraignante ou libératrice ? L’ANALYSE DU SUJET Le sujet porte sur la relation entre la raison et la liberté. Il s’agit de mettre en question une intuition, voire un préjugé, qui ferait de l’obéissance à la raison une forme de contrainte, pour ne pas dire de servitude. Cette intuition ou ce préjugé sont-ils erronés ? À quel degré ? Qu’entendre par « obéir à la raison

Est-ce une illusion de penser que la technique est libératrice ? Problématique : La question posée renvoie à une approche philosophique déterminée de la technique. Il faut remarquer que dans le sujet, il est question de La technique et non de techniques. Quel est le sens de ce singulier ? La technique n'est-elle qu'un regroupement de toutes les techniques ou est-elle d'un autre ordre ? Il n'est donc pas possible de traiter ce sujet sans poser la question de l'essence de la technique. De quelle

manière servile ou aveugle, conformiste ou par peur de la sanction, sommes nous vraiment libres ? Est-ce qu'au contraire nous ne devenons pas manipulables ? Donc la véritable liberté comprend certes une obéissance et un respect des règles et des lois mais toutes les lois sont elles également libératrices ? Pour qu'elles le soient, elles doivent être justes. Cela nous fait à penser à la véritable valeur de la loi et la véritable liberté et à comprendre la notion de l'autonomie. 3° : La liberté dans un

liens sociaux ; désocialisation et perte identitaire ; les activités permises ne sont pas palliatives. Angoisse d’anéantissement, de mort ; dépersonnalisation, régression, isolement ; oscillation entre déni et résignation. Modèle de la maladie libératrice  L’inactivité permet l’allègement des contraintes sociales, maladies bénignes, éphémères ou exceptionnelles ; exclusion sociale assumée, enrichissante. Activités palliatives souvent intellectuelles, enrichissement identitaire ; ouverture, évasion

dote d'une organisation militaire : l'OTAN. En réaction, l'URSS adopte la doctrine Jdanov qui présente le monde comme divisé en deux blocs irréconciliables engagés dans une lutte à mort. Les partis communistes européens se voient imposés une obéissance absolue à Staline. Le Kominform, bureau d'information créé en septembre 1947, doit servir d'organisme de liaison entre le Parti communiste soviétique et les partis frères (Pologne, Yougoslavie, Bulgarie, Roumanie, Hongrie, Tchécoslovaquie, Italie

moi atteignons cette liberté? Certes, la loi m’empêche de faire tout ce que je veux, mais, surtout, elle me protège des empiétements de la liberté d’autrui sur la mienne. La loi favorise plus ma liberté qu’elle ne la limite. C’est une contrainte libératrice. Sans loi, il n’y aurait pas de liberté, car nous serions tous à la merci les uns les autres et nous vivrions dans un état de crainte permanent incompatible avec l’exercice de la liberté. La loi est donc l’instrument d’une liberté que l’on nommera

fonder la liberté parait contradictoire avec l’obéissance aux commandements, c'est-à-dire aux lois ? • I Par def la loi n’est pas ce qui libère l’indiv. • II A l’échelle de la collectivité, la loi peut s’avérer être ce qui libère. • III Libératrice sous conditions → La compréhension. I- Non, la loi n’est pas ce qui libère = échelle individuelle. a) Liberté au sens d’absence de contrainte Liberté (du latin liber « celui qui n’est pas esclave ») semble d’abord se définir par opposition

moderne et de fonder l’État d’Haïti arrachant ainsi nos ancêtres au monde esclavagiste. Boukman, homme simple et cultivé, rompu aux luttes guerrières, prononça le discours de circonstance. La force et le dynamisme de son message, l’authenticité libératrice de son projet de société, tout cela emballa la classe des esclaves révoltés qui ressentirent alors un désir d’engagement absolu dans le combat pour la liberté. Ce fut un engagement vrai qui ramena à la rupture radicale que Boukman institua par rapport

domination, Weber distingue différents types purs (pour ce qui concerne la domination par autorité, celle qui consiste en une relation de commandement/obéïssance, par opposition à la domination par relation d'intérêts que l'on rencontre dans la sphère économique). Domination = forme de pouvoir légitime (situation où « des ordres spécifiques trouvent obéissance de la part d'un groupe d'individus déterminés ») . Pouvoir = capacité à faire valoir une position en dépit des résistances au sein d'une relation

Quoi que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu (1Cor 10 : 31) 1.- Liberté et conduite par l’Esprit L’évangile de Jésus Christ est une force libératrice. Paul en témoigne dans la lettre adressée aux communautés de Galatie. Face à des personnes qui voulaient soumettre les communautés chrétiennes à la loi, l’apôtre exprime une opposition radicale. Le mot « loi » désigne ce qu’on appelle la Torah. Selon la tradition juive, la Torah contient 613 commandements. Paul, en fin connaisseur