L Odyssée D Homère Ulysse Et Les Cyclopes

peu avant ou pendant la première croisade est une épopée féodale et chrétienne. Elle réaffirme et réunit les valeurs fondamentales de l’Église et de la féodalité. Fiche mémo sur l'épopée[7] : Iliade, Odyssée d'Homère L'IIiade st une épopée de la Grèce antique attribuée à l'aède Homère ; rédigé entre 850 et 750 av. J.-C. (dates déjà mentionnées par Hérodote), soit quatre siècles après la période à laquelle les historiens font correspondre la guerre mythique qu’il relate. Résumé :La guerre

Dans une certaine mesure, ces auteurs ont inspiré Aristote dans sa démarche artistique. En effet, le premier auteur dont Aristote admire, est Homère. Pour Aristote, c’est un poète par excellence, une figure de poètes de son temps qui représente les personnages nobles. Raison pour laquelle dans l’antiquité grecque, selon Claude Mossé :  « Homère fait fonction de la bible  »16. Tout simplement, parce que son art véhiculait la morale, la vertu, la vérité, la sagesse, etc. Ajoutons

PRINCIPAUX AUTEURS GRECS   [pic] [pic][pic] L'époque archaïque Homère VIIe s av JC - ? Homère VIIIe s. av. J.-C. ? Poète épique grec, considéré comme l'auteur de l'Iliade et de l'Odyssée, et dont l'existence fut entourée de légendes dès le VIe s. av. J.-C. Hérodote pensait qu'il était originaire d'Asie Mineure. La tradition le représentait vieux et aveugle, errant de ville en ville et déclamant ses vers. Les poèmes homériques, récités aux fêtes solennelles et enseignés aux enfants, ont exercé

en Crète, dont on ne sait pas très bien à quoi ils servaient. Dans le Péloponnèse, on a gardé la trace de cités fortifiées, avec des murs constitués d’énormes blocs de pierre, dont on avait pensé qu’ils avaient été érigés par des géants, par des cyclopes. Cette royauté urbaine crétoise, mycénienne, fonctionne déjà dans le cadre de cités, avec des liens de subordination ; des cités dominantes qui vassalisent d’autres cités. Par divers témoignages, on sait que le roi tire sa légitimité des dieux :

la plus attendue est peut être cependant ailleurs : le voyage en mer, toujours soumis aux caprices de Poséidon. « Depuis trois jours, la tempête, le brouillard, les grondements, les vents de pluie, la nausée, le vertige. » 46 Baldassare comme Ulysse connaît les secousses et les dangers d’une mer lunatique qui oscille entre la brutalité des tempêtes et l’immobilisme des mers d’huile. Le narrateur lui-même semble se plier aux humeurs de ce mythique ancêtre : « Notre navire est constamment secoué

à son entrée dans Les Chants dans un inconnu littéraire situé en marge du corpus littéraire connu et civilisé, un inconnu sauvage, à la manière d'Ulysse rencontrant la sauvagerie aux frontières du monde grec connu et civilisé1 sous les traits du cyclope Polyphème ou des Lestrygons.2 C'est cette expérience sauvage qui détermine d'après Marcelin Pleynet3 la "situation paradoxale" de Lautréamont dans la littérature française : "Sans lui notre culture reste incomplète et comme inachevée, notre littérature

mythe, mais de poser le mythe comme l’origine de la raison. Comment comprendre donc une telle dialectique ? Sinon que nos auteurs nous donnent un sens à travers leur interprétation de l’ Odyssée[footnoteRef:33] d’Homère, notamment la rencontre d’Ulysse et de Polyphème le cyclope. Tiéba Karamoko peut résumer cette rencontre en ces termes : [30: Max HORKHEIMER et Theodor W. ADORNO, La Dialectique de la raison, Fragments philosophiques, (Paris, Tel Gallimard, 1974, p 23.), Trad

plus courant est de faire une sélection en référence à des auteurs : par exemple Homère pour les Grecs, Virgile et Ovide pour les Romains. Mais ce sont aussi des genres, autant sinon plus que des auteurs, qui ont modélisé les productions postérieures : par exemple, la tragédie grecque, la comédie, en associant Aristophane à Plaute et Térence. On peut penser encore à un personnage devenu modèle de référence : Ulysse, par exemple, comme figure de la quête. On peut enfin penser qu’un texte qu’on lirait

longue vie. Il est à signaler que pour les Anciens l'Éthiopie est une île utopique. 2. Ulysse, prisonnier dans l'île de la nymphe Calypso - « celle qui cache » -, n'est ni dans le monde des mortels ni dans celui des Immortels ; il est en marge. 3. Voir par exemple l'île des Cyclopes ou des Yeux Ronds dans l'Odyssée (IX, v. 106 sq.) où Homère, bien avant les Cyniques, réalise, avec les « anarchistes » que sont les Cyclopes, l'idéal du sauvage non corrompu par la civilisation, l'idéal d'a-nomie : « Chez

distants de la langue, le noble et le trivial, sautant de l’un à l’autre. Je me souviens qu’un samedi de janvier où, levés tôt, nous devions nous rendre chez un oncle qui séjournait loin, il me demanda en se rasant : — Alors, mon fils, tel le divin Ulysse, tu frémis devant l’aurore aux doigts de rose, non ? — Pardon, Papa ? — Tu ne te gèles pas le cul à cinq heures du matin ? Résultat : j’adorais la compagnie de notre père car il s’exprimait toujours de façon imagée. À ma mère, je n’avais pas l’impression