L'Œuvre

Travail de français sur le livre ''L'Oeuvre'' de Zola Analyse du roman 1) le schéma narratif Les chapitres 1 à 5 parlent des espoirs, des idéaux de Claude. Cela se termine avec l'échec de Plein air lorsque le tableau fut refusé. Le chapitre qui suit constitue une certaine parenthèse. Claude, blessé par les critiques, part à Bennecourt, en bordure de Seine avec Christine. Ensuite, après une période de calme, de paix, Claude finit par s'y ennuyer et rentre à Paris au bout de 3 ans. Dans

rend compte bien vite qu'elle est toujours comme décrit précédemment, sans cœur. Elle incarne l'inconscience d'une génération dépassée. Jusqu'à la fin, elle sera la dernière à admettre l'hypocrisie de Tartuffe CONCLUSION Le statut de la femme dans l'œuvre est d'aider à résoudre l'intrigue malgré qu'à la fin, le dénouement se fait grâce à l'exempt sous la demande du prince. Molière met en scène des personnages féminins positifs et montre ainsi, leurs intelligences.Dorine résout les problèmes d'amours

sentiment d’oppression souhaité· La mise en scène rappelle les camps de concentration2. Implication du spectateurCertaines œuvres nécessitent un déplacement du spectateur, ou une action de celui-ci pour déclencher le fonctionnement ou un mouvement de l'œuvre ou encore font appel aux 5 sens du spectateur.3. Implication de la présence physique de l’artisteLe travail de certains expressionnistes abstraits est théorisé par Harold Rosenberg en 1952 comme “action painting”. La toile devient une arène où agir

policier/drame Contexte : *Place du livre dans l’œuvre de l’auteur : Thérèse Raquin est le sixième roman d’Emile Zola. C’est son premier roman réaliste. *Lien du livre avec son époque : C’est un des premiers ouvrages appartenant au courant réaliste et naturaliste, Zola est séduit par les idées de Taine (philosophe et historien français) et de Claude Bernard (médecin et physiologiste français) qui ont marqué cette époque. *Réception de l’œuvre lors de la publication : Lors de sa publication,

prône. Cependant cette œuvre apparaît comme un roman moraliste. On peut alors se demander ce qu’apporte cette œuvre, quelle est son importance et quel est le but de l’auteur. Nous pouvons tout d’abord constater que la plupart des personnages de l’œuvre nous apporte une véritable démonstration de vertu. En effet, la grande famille représentée par Virginie, Paul, Marguerite, Mme de La Tour, leurs domestiques, et enfin leur voisin représentent les qualités de la vertu. Ils ont tous du cœur, du courage

L’Algérie dans l’œuvre d’Assia Djebar Dans la majorité de ses textes, surtout ceux de la période de maturité, publiés après son départ définitif de l’Algérie à laquelle elle n’a pourtant cessé de revenir périodiquement, Djebar, la « fille de la montagne », se définit comme une « fugitive », comme une « étrangère » à ce pays : « Moi, la lointaine, presque l’étrangère, l’errante en tout cas. » (B. A, p. 55)1. Son œuvre est traversée de ce sentiment de « dépossession » ou de « déshérence » qui en fait

plusieurs objectifs quand il a écrit la pièce : tout d’abord, dans le cadre du siècle des Lumière, il a voulu renverser les rôles et classes sociales de l’époque en créant un maître dépendant voir soumis à son valet, qui est le rôle principal de l’œuvre. De plus, il critique le mariage forcé et montre ses limites à travers une comédie au succès énorme.

sont en général des petites proses, ainsi que des réflexions autour de ses flâneries dans Paris ou de ses trajets en train. Nous allons tout d’abord montrer que Guy Goffette est le poète de l’enfance et de la féminité ; puis nous traiterons de l’œuvre de Jacques Réda, qui navigue entre souvenirs d’enfance et flâneries. I. Guy Goffette, le poète de l’enfance et de la féminité 1. Les jeux de l’enfance Tout d’abord, Guy Goffette évoque brièvement ses soldats de plomb. On les retrouve dans

L'Oeuvre 1 Une après-midi, par un des derniers beaux jours de la saison, Claude avait emmené Christine, laissant le petit Jacques à la garde de la concierge, une vieille brave femme, comme ils faisaient d'ordinaire, quand ils sortaient ensemble. C'était une envie soudaine de promenade, un besoin de revoir avec elle des coins chéris autrefois, derriére lequel se cachait le vague espoir qu'elle lui porterait chance. Et ils descendirent ainsi jusqu'au pont Louis-Philippe, restérent un quart d'heure

------------------------------------------------- Présentation de l'œuvre Les Caprices de Marianne Alfred de Musset, né en 1810 et décédé en 1857, est un poète et dramaturge français. Il fréquenta dès 1828 le "Cénacle", prestigieux salon où V. Hugo réunissait les célèbres figures du romantisme. Il publia ses premiers vers (Contes D'Espagne et d'Italie, 1830) à l'âge de 19 ans, ce qui fut un véritable succès, puis, il essuya un échec avec ses premières pièces de théâtre (La Quittance du diable