L Orpheline D Eugene Delacroix

coté très sensuelle et provocateur aussi car ce poème fît scandale à l'époque car il était considéré comme érotique. Il se sert des bijoux pour parler le l'admiration et de l'attention qu'il porte à la femme en question. Peinture de Eugène Delacroix, Jeune orpheline au cimetière, 1824 «Carmen est maigre, - un trait de bistreCerne son œil de gitana.» Gautier, Carmen Carmen Carmen est maigre, - un trait de bistreCerne son œil de gitana.Ses cheveux sont d'un noir sinistre,Sa peau, le diable

MADAME BOVARY DE GUSTAVE FLAUBERT, HAN D'ISLAND DE VICTOR HUGO, MANON LESCAUT DE ABBE PREVOST, LA LETTRE ECARLATE DE NATHANIEL HAWTHORNE, L'ENSORCELLEE PAR JULES BARBEY D'AUREVILLY. Published by BECKERS RESUME DE DOMINIQUE Dominique de Bray, orphelin élevé par une vieille tante et un jeune instituteur, est d'une nature très sensible. La cousine d'un de ses amis, Madeleine, de deux ans son aînée, le trouble profondément, mais elle épouse Alfred de Nièvres et prétend ne conserver avec son soupirant

ses réunions chez Hugo, à Paris, rue Notre-Dame-des-Champs, dans la «chambre au lys d'or» (elle tient son nom de la fleur remportée par Hugo à l'âge de 19 ans aux Jeux Floraux de Toulouse). On y rencontre Balzac, Vigny, Musset, Dumas, le peintre Delacroix... La réunion du 30 septembre 1829 est consacrée à la lecture d'Hernani. Elle annonce la prochaine bataille. On s'enthousiasme pour cette pièce qui brise les canons du théâtre classique et notamment les trois unités de temps, de lieu et d'action

Espagne. A la suite des affectations militaires de son père, cette période marquera son enfance. Autodidacte, c’est par essais et tâtonnements qu’il apprend la rime et la mesure. Il est encouragé par sa mère, lectrice de ses œuvres, ainsi qu'à son frère Eugène. La vocation de Victor Hugo est précoce et ces ambitions dépassent l’imagination : à l’âge de quatorze ans, Victor note sur un journal : « Je veux être Chateaubriand ou rien ».                                                                            

caractéristiques du mouvement jusqu'à l’excentricité ; il devient un personnage, reconnaissable à ses habits et sa coiffure, aime à provoquer le bourgeois. Après avoir été congédié en 1829 de l’atelier du peintre romantique Louis-Édouard Rioult (1790-1855), Eugène Delacroix, qui exercera une grande influence sur l’œuvre de Gautier, lui est présenté l’année suivante par Gérard de Nerval, l’indéfectible ami rencontré au collège Charlemagne. Les deux hommes se retrouvent autour d’un même goût pour l’orientalisme. Lors

frivole et érotique. A la même période, le Romantisme s'engagea sur la voie de la modernité, divergeant avec le Néoclassicisme. Lorsque l'on prononce le mot Romantisme, deux noms surgissent : Géricault, avec son Radeau de la Méduse et surtout Eugène Delacroix... De plus, au XVIIIème siècle, il n'y a pas de tradition du mécénat au sens strict du terme en Espagne car, si la Couronne et l'Eglise encouragent régulièrement la création artistique, il n'existe pas de clientèle stable dans l'aristocratie

Henri III et sa Cour (1829), Antony (1831) ou La Tour de Nesle (1832). Le dernier enfin, né à Villers-Cotterêts le 24 juillet 1802, est un jeune mulâtre, fils d’un ancien esclave de Saint-Domingue devenu général de la République. Le jeune enfant est orphelin de père à trois ans : le fils, au milieu des préparatifs des obsèques, s’empare d’un fusil, et grimpe à la fenêtre du grenier «  pour tuer le bon Dieu qui a tué Papa ». « Monté » à Paris en 1823, il occupe divers emplois, dont celui de copiste (comme

et le terroir. La source du réalisme La Hollande, le gout pour cette peinture hollandaise va être prépondérant avec le réalisme. Déjà présent dans le réalisme mais prend une nouvelles ampleur. Bauvin, Courbet font le voyage à Amsterdam. Eugène Fromentin, Fantasio, 1869, m de Poitiers Il a publié en 1875, « Les maîtres d’autrefois » consacrés aux peintres du Nord, dont Rubens, Rembrandt et les peintres hollandais. Son ouvrage va influencer de nombreux artistes en France. Rembrandt, Le

(veine néoclassique) se mêlent l’agitation du mouvement des membres inférieurs des chevaux (influence romantique) qui font de la poussière. On remarque alors une interpénétration des genres11. En effet, il n’existe pas de barrières distinctes. Delacroix (romantique), Ingres (considéré néoclassique), les réalistes (avec des représentations quasi-photographiques) : tous s’inspirent de l’Orient. Il semble s’agir d’un sujet plutôt que d’un courant. Bien sûr d’un orient fantasmé, soit prétexte aux modèles

Swinburne par le mariage consanguin de ses parents ; mais on accumule à plaisir sur Baudelaire des détails analogues. « Bénédiction » ? Le signe même de l’attachement à la mère devenue agressive à la suite de son remariage avec un croquemitaine pour orphelins, le commandant Aupick. « La Vie antérieure » ? Une page arrachée au carnet du Paquebot-des-mers-du-Sud. « La Muse vénale » ? L’humiliation de la tutelle exercée par maître Ancelle, sans laquelle, on s’en doute, Les Fleurs du mal n’auraient jamais