L Urss Au 20ème Siècle

après la guerre froide (de 1989 à nos jours) De 1989 (chute des démocraties populaires) à 1991 (chute de l’URSS). Un nouveau monde émerge Projet de nouvel ordre mondial mais échec. Années 89-91 : fin du monde bipolaire dominé par le couple EU-URSS depuis fin GM2. Cela aurait du être la fin d’un monde bipolaire : tentative de cons° d’un monde multipolaire/multilatéral mais concurrence d’une vision plus unilatérale avec EU hégémoniques. Années 90-91 marquées par la première guerre du Golfe

imparfaite les marchés fonctionnent mal) et un argument contre elle (parce que les interventions d’un gouvernement mal informé peuvent aggraver les choses). 2. Un rapide historique de la politique économique Pour les économistes classiques du XIXème siècle, le fonctionnement de l’économie de marché laisse peu de place à la politique économique. Le gouvernement est un acteur parmi d’autres, qui collecte des impôts et effectue des dépenses pour des besoins collectifs, mais, en dehors des guerres, le poids

HISTOIRE CONTEMPORAINE Ce cours porte sur l'histoire des faits économiques et a pour but d'expliquer le développement économique depuis le 18ème siècle. Les matériaux historiques, très divers, seront mobilisés à partir d'une grille théorique inspirée de l'Ecole des Annales et de l'Histoire Quantitative, centrée sur la double dynamique de l'accumulation et des crises. Ce cours tente d'échapper à une vision européocentriste de l'histoire et cherche donc systématiquement à avoir une vision mondiale

droit international public aux éditions LGDJ DUPUY- droit international aux éditions Dalloz DECAUX et FROUVILLE – droit international Site : HYPERLINK "http://www.un.org" www.un.org Introduction Avec l’émergence des Etats souverains au 16ème siècle, se développe une esquisse de droit international. Il s’agit de construire un Etat, et cette construction s’inscrit dans le développement marchand : le mercantilisme. L’idée est que l’Etat doit être puissant, pour être puissant doit être riche, il

de référence. -Cette rupture a perturbé les relations entre les états puisque chacun des acteurs ne se rattachait plus à la même légitimité. -Rupture en Russie (1917) : qui consacre la victoire des Bolcheviques, l’ancien empire des Tsars devenus URSS va contester la légitimité des Etats bourgeois. -La lutte que l’URSS va mener contre les Etats bourgeois, va déstabiliser les relations internationales pendant une grande partie du 20e, entre des Etats qui connaissent des systèmes politiques économiques

collective → le Conseil de sécurité est le seul qui peut prendre des résolutions obligatoires → l’AG ne peut agir si le CS s’est déjà saisi d’une question + elle n’a pas de caractère coercitif suite à des opérations de la politique de la chaise vide (ex: URSS lors de la guerre en Corée) développement du véto + résolution Dean Acheson de l’AG (aujourd’hui abandonnée) = l’AG peut se ressaisir d’une question si le CS est paralysé et peut faire des recommandations (non coercitives) pour permettre aux actions

est également très ancienne. Dès le 16ème siècle, sous François 1er, les arts deviennent un domaine important. La France voit le développement humaniste et artistique et crée des institutions comme le Collège de France, la Surintendance des bâtiments royaux du dépôt légal. De plus, les imprimés français sont conservés dans une bibliothèque royale. C’est l’ancêtre de la BNF, de l’INA, du CNC. La langue française devient officielle. Au 17ème siècle, la France développe le mécénat royal en

l’Arménie vis-à-vis de l’Azerbaïdjan dans le conflit territorial qui les oppose au sujet de la situation du Haut-Karabagh. Il explique la vision, la perception et l’interprétation de la partie arménienne sur les évènements survenus au cours du 20ème siècle dans cette partie de la Transcaucasie. Il met l’accent sur 3 périodes de l’histoire de 1920 à 1994 pour justifier la phase actuelle de négociation de paix qui s’étire depuis la fin de la guerre en 1994. Au cours des quinze années suivant le cessez

définies sont en quelques sortes les premières règles de Droit, car elles sont générales et impersonnelles. Le pouvoir, ou en tout cas son attribution, s’organise dans l’Etat. 2 Les théories sur l’origine de l’Etat Pour les philosophes du 17ème siècle, sans connaissance anthropologique ou historique, subsiste un mystère : pourquoi les hommes ont-ils créés cette institution qu’est l’Etat ? La réponse fut longtemps : « c’est la volonté divine ». Dès lors que l’on ne croit plus à l’origine divine

où c'est Aristote qui va identifier cette notion de Constitution comme étant la loi première qui fonde et qui constitue un Etat. La notion de souveraineté de l'Etat se développe à partir du 13ème et surtout au 16ème siècle sous la plume de Jean Bodin. Dès le 13ème siècle on constate cette revendication de l'autonomie du Prince, on aura une sorte d'assimilation entre le Prince et l'Etat. Ce Prince veut affirmer sa tout puissance, c'est cette toute puissance qu'on va appeler souveraineté. Toute