L égalité Est Elle Nécessairement Juste

l’égalité de valeur de ce qu’elles ont effectivement fait de ce potentiel. IV. La politique de dignité égale est-elle nécessairement homogénéisante ? Taylor pose ensuite une autre question : toute politique de dignité égale est-elle vouée à être aussi homogénéisante, et à ne pas prendre en compte les différents contxt culturels ? Car ds politique de dignité égale, il n’y a que égalité des droits accordés aux citoyens, ms aucun souci de différenciation des rôles. Les tenants radicaux de la politique

même les comportements humains qui nous paraissent les plus « naturels » c’est-à-dire les plus spontanés et les plus universels sont relatifs à des cultures déterminées et particulières. La diversité des sociétés et des cultures démentit pas nécessairement l’idée d’Aristote qui signifie seulement que l’homme réalise sa nature en société. De cela, même Rousseau admet : l’homme à l’état de nature est un « animal stupide et borné » et c’est grâce à sa perfectibilité qu’il peut passer à l’état social

d'investissements. Autrement dit, l'épargne et l'investissement sont égaux, car ils sont indifférenciés. Il faut donc favoriser l'épargne afin de favoriser l'investissement, lequel permet le maintien de la croissance. Pour les néoclassiques, il y a égalité entrer épargne et investissement. Donc si les taux d'intérêts sont bas, il y aura peu d'investissements alors que de forts taux d'intérêts conduiront vers de forts investissements. II La perspective keynésienne : de l’investissement vers l’épargne

liberté sans raison et il me faut donc, pour être libre de penser, suivre les lois de la raison. Admettre n'importe quoi, au hasard, ce n'est plus penser du tout. Penser, c'est toujours suivre ou instituer un ordre. Penser librement, c'est aussi penser juste. Du reste, celui qui se trompe involontairement n'est pas libre. Il est trompé. Il croit dire une vérité et se méprend. Il arrive au contraire de ce qu'il veut. Je n'ai pas le droit de penser des erreurs. Ce serait absurde. Il n'en reste pas moins

société est première par rapport à l’individu. Il s’ensuit que l’individualisme radical est nécessairement utopique. Le libéralisme économique (exemples Adam Smith et Ricardo) ► ► La thèse fondamentale du libéralisme économique est que l’organisation de la production et des échanges est une affaire individuelle et que le libre échange et la libre concurrence doivent déboucher sur un ordre social équilibré et juste. La critique socialiste du libéralisme économique repose sur le constat que le libéralisme

bien. C’est donc le Droit objectif qui permet aux individus de jouir de droits subjectifs. C’est le Droit objectif qui crée les droits subjectifs.  Les liens se perçoivent parce que les modifications du Droit objectifs (évolution de la loi) vont nécessairement avoir une incidence sur les droits subjectifs et sur la situation juridique. Droit objectif et droits subjectifs sont les 2 éléments fondamentaux.  I. Le Droit objectif II. Les droits subjectifs  Chapitre 1 : le Droit objectif  Contenu du

connaissance du cara est nécessaire pr la persuasion dans l’éloquence. La construction du caractère est nécessaire pr faire de l’h un ê réussi. CCL : Ces 3 éléments rhé, pô et éthique sont donc liés et pose 2 Q fdmtles : Est ce que la pô est nécessairement lié à l’art de parler en public ou à la télé ? Et est-ce que l’art de parler à la télé suppose la connaissance du cara des passions ? I/ La « cité-Etat » : la cohésion civique et les régimes politiques de la Grèce antique. A la période archaïque :

Jan Harmony Mardi 20 Mai 2008 Terminale Littéraire DM de Philosophie Le légal est-il toujours juste ? Le nom justice est hérité du latin justitia (même sens), dérivé de justus, « conforme au droit », lui-même de jus / juris, « (le) droit ». La justice concept et principe désignant le respect du droit et de l’équité ; en morale, la justice désigne le respect et l’équité à l’égard d'autrui. D'un point de vue moral, la justice est parfois définie comme le fait de donner à

pensée : « L’apprentissage de la réciprocité et de la bienveillance –fondement des règles élémentaires de la vie en société – exige tout un système de relations en face à face, à la fois stable et durable – puisqu’un tel apprentissage requiert nécessairement du temps – avec des êtres dont la présence nous a d’abord été donnée – nous n’avons pas choisis par exemple nos parents, nos frères et sœurs, nos voisins -. Ce n’est que dans la mesure où nous aurons appris à nous accommoder de cette réalité incontournable

cardinale de justice qu’elle était la vertu pour autrui, car si nous nous devons d’abord à nous-même courage, tempérance et prudence, nous devons d’abord aux autres la justice ; et les autres sont ainsi mieux placés que moi pour déterminer si je suis juste. Pour la définition générale de la justice, on peut citer Bergson, dans Les deux sources de la morale et de la religion, Quadrige Puf, p. 68 : « la justice a toujours évoqué des idées d’égalité, de proportion, de compensation. Pensare, d’où dérivent