L éphémérité De La Vie

Introduction • Complexité du genre théâtral qui repose sur : pérennité du texte écrit éphémérité de la représentation (interprétation, mise en scène, décors,…) • Double énonciation du dialogue théâtral ; les propos s’adressent à la fois aux personnages et au public. • Le théâtre se veut un art proche de la vie, de la réalité ; on remarque une exigence de naturel dans la représentation des personnages et des informations, malgré l’utilisation

conscience de son éphémérité. Aussi il pèse le poids de la vie. Il sait que chaque jour qui passe le rapproche de la mort. Il connaît la valeur de ce que ses sens lui transmettent. Il sens la pluie sur sa peau, perçoit la chaleur des baisers, la mélancolie des jours qui passent. Alors, il court vite vite après la vie, dépêchons, dépêchons, c'est notre leitmotiv qui parle : "Carpe Diem" nous ont soufflé Horace, Ronsard et Du Bellay. Nous nous engageons tous dans cette ronde, frénésie de la vie. L'homme est

demeure et reste eternel. C) Une image symbolique de la permanence de l’être Refrain : « Les jours s’en vont je demeure » = asyndète → deux propositions jusxtaposées sans mot de liaison Sens # : (mais) sous entendu : opposition, décalage entre éphémérité et éternité du « moi » (et) = addition → continuité et résistance de l’individu. v.16 : « Comme l’Esperence est violente » : l’homme est habité par l’espoir → force vitale, renforcement par la maj à Esperence : allégorie L’auteur n’est pas abattu :

s'inscrit heureusement et comme magiquement, par le regard, dans l'espace accueillant, docile et gracieux, de la Nature. On sera particulièrement sensible à la configuration de cet espace naturel, à sa symbolique où se dévoile le désir du poète, à son "éphémérité" enfin, puisqu'il se révèle au final comme le lieu précaire d'une possession manquée. « Aube » est donc un poème cristallisant bon nombre de motifs rimbaldiens : le goût des errances matinales ou nocturnes (« Sensation », « Ma Bohème ») et pour

dans laquelle va se créer une atmosphère propice au désir et au bonheur. Lorsqu’ils sont dans le jardin, nous retrouvons le champ lexical de la nature, ce qui nous plonge dans une sorte de paradis terrestre dans lequel ils adoptent un mode de vie similaire à celui d’Adam et Eve:«Nous nous gênions pas plus que des sauvages, nous promenant presque nus dans le jardin (…). » (l.31-32).De plus nous remarquons l’énumération de plantes présentes dans le jardin tels que l’aristoloche, le chèvrefeuille

manque 1er para : * ivresse apporte jouissance mais prend fin = pas stable, pic -> calme plus vue comme tranquillité mais comme néant, pas neutre mais désolant * A rebours, Huysmans * Des Esseintes se retire à Fontenay après vie parisienne pour profiter sensations dont il serait l’auteur et le seul bénéficiaire * Espère s’inventer des jouissances dont l’organisation méticuleuse pourrait lui procurer une jouissance neuve/inédite * Lutter contre le risque d’affadissement

qui était déjà à l’œuvre dans la société, on a pu observer une montée de valeurs telles que l’humilité, la pérennité, la prise de conscience de l’impact des comportements d’aujourd’hui sur la société de demain ; et un déclin des valeurs d’ « éphémérité » et de gaspillage. Dans la consommation et le luxe, cela s’est traduit par moins de futilité, plus de responsabilité et de sens, avec une reprise du contrôle de sa consommation, moins de laisser-aller quant aux impulsions d’achat, et le besoin

instinctifs tels que l'amour en les exprimant d'une manière totalement différente de la poésie classique. Ce fut le cas de Paul Eluard, symbole de la poésie surréaliste du milieu du Xxéme siècle, au côté d'Aragon ou encore Man Ray. Vers la fin de sa vie, en 1951, il publie son recueil Le Phénix, dans lequel il fait un éloge de son nouvel amour Dominique de 19 ans sa cadette. La muse est une nécessité pour l'artiste dans la création poétique comme ont pu l'être dans son passé Gala ou encore Nusch. C'est

fois de termes très lourds de sens, énoncés sur un ton sentencieux, cependant, la présence des virgules à la suite des deux groupes de mots met en relief une certaine éphémérité de l’action de vivre et de mourir, qui nuance cet aspect solennel et introduit l'idée de confusion, voire de désordre mental. Le contraste saisissant entre la vie et la mort est mis en valeur par la ponctuation qui accélère le rythme, cependant, il s’essouffle dans la seconde partie du vers, puisque l’on passe de la parataxe

se situe entre deux courants littéraires de l’époque : le parnasse et le romantisme. Avec son concept de modernité, il réussit à éviter la rigueur parnassienne ou les excès sentimentaux des romantiques. Il définit la modernité dans Le Peintre de la vie moderne comme un moyen de “ dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, [...] tirer l’eternel du transitoire”. Sorte de précurseur du symbolisme avec sa théorie des correspondances, il joue avec les signes. La forme