L éphémérité De La Vie

la beauté de son éphémère vie. Pour évoquer cette beauté, Lamartine va emprunter beaucoup au champ lexical de la nature (« printemps », « roses », « zéphyr », « ciel pur », « fleurs », « s’enivrer de parfum »,...), qui parallèlement pourrait aussi être associé au champ lexical de la pureté. Une beauté pure, donc, mais aussi plus que ça, une beauté pure car éphémère. Dès le premier vers, Lamartine utilise les verbes « naître » et « mourir », qui peuvent déjà suggérés la vie courte du papillon. « des

d’anthropologie, une étude de la nature humaine menée autour de l’axe de sa misère. I. Une condition faible est mortelle 1. sa condition mortelle réalité incontournable de notre éphémérité. La faiblesse de l’H réside dans ce qui fait de lui un être limité : • F.64 : « quand je considère la petite durée de ma vie absorbée devant l’éternité » • F.29 « notre durée vaine et chétive » Image de la décomposition : • F.20 « La puissance des mouches, elles […] mangent notre corps » Image

Les fonctions de la poésie A) La poésie codifiée La théorie de l’art pour l’art -Art poétique Boileau. (17eme)  codification poétique, idéal classique. -Baroque ? En partie codifier, opposition des genres, sujets… (Amour et haine, mort et la vie) (17eme). -« Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien » (T-G)- 19eme - Parnassiens : José Maria de Hérédia. Leconte De Lisle. Ex : Le Jaguar. Il associe beauté formelle et esprit de rigueur. Théophile Gauthier L’art le poète est

V19/20 dans l’enjambement t l’emploi de l’anaphore « mi ». _ Il regrette l’été et sa lumière définie par 2 antithèses V27 « blanc et torride » et V28 « jaune et doux ». _ Il regrette l’été « bientôt » V1 « adieu… » V2 mais reproche a l’automne sont éphémérité V23 et V24 « douceur éphémère » et « soleil couchant ». Car cette saison l’amène trop vite vers la mort au V25 ou la tombe est évoquée au moyen d’une personnification et d’une allitération en « t » qui nous rappelle par sa sonorité le bruit de

de la du sentiment banale il va a un sentiment profond d’être vivant qui est enrapport au monde comme le montre la phrase comparative au V15 « palpite comme une petite bête ». Ensuite, cette sensibilité ce traduit avec l’insouciance qu’il porte à la vie .Dès la première phrase écrite au présent, « on n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans » l’auteur installe le lecteur dans une autobiographie dans laquelle chacun peut se retrouver et donc une certaine complicité entre lecteur et auteur.Le pronom

absurdités sérieusement burlesques, ou burlesquement sérieuses; “L'arbre des voyelles”, de Giuseppe Penone, moule en cuivre d'un arbre tombé lors tempête de 1999, jouant sur un contraste œuvre/environnement et un paradoxe certain entre éternité et éphemérité; trois œuvres intéressantes qu'il faut mettre en relation, en faire découdre une réflexion et élaborer un thème artistique. Mais alors quel thème engloberait ces 3 œuvres avec connivence ? Pierrick Sorrin m'a guidé. L'artiste lui-même. Chaque œuvre

et souvenir mémoire retour. I/ Promenade : a) Souvenir, mémoire : Relaté dès le titre. L'auteur retrouve tous les éléments de son jardin "J'ai tout revu", "comme avant", "m'est connu". Nostalgie de l'auteur qui nous relate une partie de sa vie. Autobiographie avec pronoms personnels. b) Promenade : lieu mouvement, rythme Structure à l'inverse d'une description : entre dans un espace clos. Vue s'élargissante peu à peu : mouvement. Rythme du poème comparable à celui que réalise l'auteur

dernier de simple divertissement, Char le présente comme l’unique solution pour lutter contre l’absurdité de la vie. Au fil de la réfléxion je vais chercher à comprendre pourquoi nous recherchons une ressource face à la mort, et en quoi l’art en est une? Je terminerai en me demandant pourquoi il n’y a pas d’autre ressource que l’art. Je tenterai ainsi de soutenir la thèse de René Char. La vie est absurde : si on est déstiné à mourir à quoi bon vivre ? C’est une lucidité qu’il faut acquérir ; accepter

principalement l'existence humaine. Sans la notion de temps, l'existence humaine ne serait pas ce qu'elle est. Aucune existence peut ne pas avoir d'aboutissement. Nous sommes tous impuissants face a l'éphémère. . Faut t'il alors prendre positivement cette éphémérité ou penser que ce qui est court doit être dévalué face à ce qui dure? Le caractère temporel de l'existence humaine en réduit il sa valeur, ou est-ce ce grâce a quoi notre existence obtient justement, une certaine valeur? L'ephemere n'a aucune

BLAISE PASCAL I) Idendité de la personne et ephémerité des qualité Opposition QUALITE / PERSONNE (différent de QUANTITE) PHYSIQUE / PSYCHIQUE Pour Pascal : « moi » ne change jamais. ON EVOLU QUE SI, ON NE CHANGE PAS (qualité, pers.) Si nous changeons de personne (moi) ALORS impossibilité de comparer 2 qualité (ou état) PASCAL affirme PERMANENCE du « moi » sans justification / PASCAL veut-il sauver l’idée de la séparation de l’âme et du corp LOCKE