La Baïonnette

harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque.

préparation au tir. Pour l'instruction avec armes, on créa deux répliques allégées du fusil Gras Mle 1874, l'une avec canon en bois, ne pouvant tirer, l'autre réelle, utilisable pour le tir avec cartouche Gras de type réduit, et dotée d'un sabre-baïonnette un peu plus léger que le modèle réglementaire. Pour des raisons diverses, l'institution des Bataillons Scolaires fut loin de donner les résultats escomptés. Il était sans doute quelque peu illusoire de vouloir donner une formation prémilitaire

facilement à l’intérieur. On peut aussi encore observer quelques trous d’obus qui sont énormes, mais déjà réduit de moitié par rapport à il y a 90 ans. Durant cette guerre des tranchées, les armements utilisés étaient des obus, des fusils à baïonnettes et des grenades. 3° Quelles sont vos impressions personnelles de ce champ de bataille ? Mes impressions personnelles sur ce champ de bataille sont tout d’abord le fait que, malgré la beauté des paysages, l’ambiance est froide, et que l’on

modernisée, car elle a la peau jaunie, des habits romains déchirés et un profil grec avec une légère pilosité sous les aisselles. Elle porte le bonnet phrygien, symbole de la liberté, et le drapeau tricolore dans la main droite ainsi qu’un fusil à baïonnette dans l’autre main. Nous pouvons aussi voir 2 enfants, l’un à droite qui porte la faluche (béret des étudiants du quartier Latin) et deux pistolets, et l’autre en bas à gauche qui est prêt à tout. Un autre homme avec les vêtements des manufacturiers

horrible de celle-ci. D’abord, la guerre cause la mort de nombreuses personnes. Voltaire écrit : « les canons renversèrent … six mille hommes de chaque côté ; … la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins … » et « la baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes » (p.49). Il y a ici une accumulation de toutes les manières dont les victimes sont décédées, ce qui met l’accent sur leur grand nombre. La répétition du mot « mille », un grand

Enfer” Hyperboles Le narrateur s’extasie devant la beauté du spectacle : ici il faut voir l’ironie “d’abord, ensuite, enfin” Connecteurs logiques La bataille suit un déroulement précis : elle est organisée, ordonnée comme un défilé. “Les canons”,”la baïonnette” Sujets des lignes 1 à 6 Les armes remplacent les hommes qui ne comptent plus. “comme un philosophe” Comparaison Candide est comparé à un philosophe : ici Voltaire se moque des philosophes qui ne servent à rien sur un champ de bataille : ce qu’il

Un bal se déroule chez des amis de Don Fabrizio où il présente Angelica (il est donc obligé de venir avec son père qu’il méprise). Ce bal est pour lui l’occasion de faire un bilan sur le temps passé. Au petit matin du bal, on entend des coups de baïonnettes : les anciens garibaldiens ne s’étant pas ralliés à la cause du roi de Palerme sont exécutés. « Nous fûmes les Guépards, les Lions ; ceux qui nous remplaceront seront les chacals et des hyènes... Et tous, Guépards, chacals et moutons, nous continuerons

et de la culture. Il a été fait en 1924 et joue sur l’art du visuel. -Il représente le paysage que voyaient tous les soldats pendant la première guerre mondial, on peut y voir tous les symboles de la guerre : les casques, les masques à gaz, les baïonnettes… -Tout y est mort et anéanti comme les maisons au second plan qui sont complètement détruites, il n’en reste que des ruines. Seul un paysage désertique apparait derrière sans aucune trace de vie. -Au premier plan on voit les tranchées dans toute

«　leste　», «　brillant　»et l’adverbe «　bien　» (l.1); le tout est renforcé par la répétition de «　si　» (4 fois). La description et le choix des armes vont du plus général au plus précis avec des soldats qui sont au corps a corps: canon/ mousqueterie/ baïonnettes; le tout tuant des milliers d’hommes dont les quantités restent vagues «　quelques milliers d’hommes　» «　le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes　». Le second paragraphe nous traduit une guerre absurde privée de sens et de rationalité

collectif (ici plat à quatre) - 1 outil collectif (ici cisaille Peugeot) [pic] Voici l'équipement Modèle 16 qui se compose de : - ceinturon 1903/15 -bretelles de suspension 1892/14 -3 cartouchière modèle 1916 -1 porte épée modèle 1888 avec baïonnette lebel -2 étuis musette modèle 1861 -1 bidon 1 litre (pour le rata) modèle 1877 -1 bidon 2 litres (pour l'eau) modèle1872 -Boiter en fer pour masque à gaz M2 de secours -M2 prêt à servir porté au cou du soldat le petit paroissien