La Banlieue En France

(jugement dépréciatif sur la famille Dufour). Ironie (description de Mme Dufour). Enonciation - focalisation : personnage le plus présent : Mme Dufour (élément dominant). Maîtresse-femme. Prénom : Pétronille (31 mai) : Sainte Patronne des rois de France (Þ mère nourricière). Focalisation externe ("on apercevait,...") ; point de vue des Dufour ; vision cruelle et subjective du narrateur. Description ambulatoire des environs de Paris (au début de l’œuvre, lieux traversés par la voiture qui emmène

l’étalement des villes va dans la direction de la périphérie (Croquis 2), vers les alentours de la ville. La majorité de la population continue de travailler dans le centre-ville, mais ils veulent vivre dans des grandes maisons confortables dans les banlieues. Il y a deux différentes types de villes ; les villes avec un plan concentrique et les villes avec un plan en damier. Généralement, on trouve le plan concentrique (Croquis 4) en Europe, car il est Médiéval. Une ville qui a un plan concentrique s’étendra

Selon un rapport officiel de l’Inspection générale des affaires sociales et du Conseil général de l’agriculture, la misère ne crée pas systématiquement la délinquance. Les départements les plus pauvres de France, comme le Cantal ou la Creuse, sont même les moins criminogènes... Peut-on dés lors affirmer que la misère mène toujours à la criminalité ? Pour nous forger une opinion , nous allons d’abord voir en quoi nous pouvons être d’accord avec cette thèse et dans un second temps , nous allons montrer

périphérie, dans les grands ensembles d’habitation de banlieues, aussi peu propices au travail que favorables au crime. Ainsi, cohabitent des cultures très diverses, avec des pratiques sociales ou religieuses qui diffèrent au sein même de ce microcosme et plus encore du reste de la société. Sur quelles bases solides peut ainsi se construire et s’épanouir une vie au sein d’une cité de banlieue ? Comment favoriser l’intégration des jeunes de banlieue dans la société ? Comment contourner le caractère irrévocable

Violences urbaines, réactions collectives et représentations de classe chez les jeunes des quartiers relégués de la France des années 1990 Laurent Mucchielli (article paru dans Actuel Marx, 1999, n°26, pp. 85-108) Résumé : Cet article propose une réflexion sociologique sur les « violences urbaines ». Il s'efforce de clarifier des débats parfois confus et des notions souvent mal définies. S'appuyant sur de nombreux travaux de terrain menés dans les quartiers relégués depuis

La France est un pays de citadins, avec 85% de la population qui habite en ville. Aujourd'hui, il existe plus de 36 000 communes qui ne cessent de s'agrandir de jour en jour. Nous pourrons nous demander comment les villes françaises se démarquent-elles les unes des autres, au-delà de leurs ressemblances et de leur objectifs commun pour l'avenir. Nous verrons donc dans un premier temps, les similitudes des villes entres elles, puis nous parlerons de leurs différences, et enfin, nous finirons avec

immobilité et leur verticalité rappellent une file de soldats. Le pont représente la stabilité et le rapprochement / l'eau symbolise le passage, le mouvement. Les barbelés créent deux plans distincts dans l'image : la guerre et la paix / La France occupée et la France libre / L'amour et la guerre. L'allée métaphorise leur vie future ou leur vie passée. L'homme est dos à l'allée mais face aux barbelés, l'inverse pour la femme : indices d'une possible séparation, l'homme partirait au front.... à la composition

architectes… La question de faire du Grand Paris une question géopolitique ne se pose même pas tellement les représentations et les batailles de pouvoir sont au cœur des débats. Ce dossier montre bien une chose : l’incapacité des élus d’Ile-de-France à produire une réflexion et un projet commun mais par contre les propositions Balladur vont certainement aller à l’encontre de leur pré carré et à ce moment là, il ne fait aucun doute qu’ils feront front commun. Le syndicat mixte est à l’heure

écrite afin de proposer de votre point de vue  ce sujet pour  en renouveler l’image  et ne pas tomber dans les clichés. Personne ne niera que la banlieue n’est pas l’endroit le plus sûr pour se promener dans une ville. Il apparaît comme évident, que la sécurité n’y est pas forcément garantie…Mais n’en faisons nous pas trop sur ces quartiers ? Les banlieues sont – elles exclusivement des endroits sans avenir ? Leurs populations sont elles forcément vouées à l’échec, comme le semble l’évoquer l’essentiel

précédents essais. Olivier Roy est également membre du comité de rédaction de la revue Esprit et consultant au Centre d'Analyse et de Prévision du Ministère des Affaires Etrangères. Introduction Les débats politiques actuels qui agitent la France autour de la question de la burqa et de la laïcité, font sans cesse référence à un fondamentalisme religieux qui serait incompatible avec notre modèle républicain. Tout au long de cet essai, l’auteur s’interroge sur la spécificité française de la