La Bceao

d’être à ce niveau. Puisse ce diplôme nous réserver a tous des lendemains meilleurs. Je profite aussi de cette occasion pour remercier Mme Julie BALLY consultante en micro finance et M. DIABY Aboubakar chef de service des activités bancaires à la BCEAO (Dakar), qui sans rien demander en retour ont toujours été disposés à m’aider et à me guider pour la rédaction de ce mémoire. Pour finir j’adresse mes remerciements à mes très chers amis qui sont devenus des frères et soeurs pour moi, BOUA DEMBELE

ajusté est estimé à 72% contre 86 % pour l’exercice 2004. Cela montre une régression des IMF quant à la couverture des charges d’exploitation par les produits. Ce ratio montre que les IMF ne sont pas autosuffisantes par rapport à la norme de la BCEAO qui est de (130%). Ce taux aurait été moindre si en plus de cela, les ajustements avaient été faits en tenant compte des coûts cachés, des coûts des ressources (crédits à taux concessionnels), du taux d’inflation, des subventions en nature et des

SYNTHESE DU RAPPORT DEFINIF : «  LES DETERMINANTS DES TAUX DEBITEURS DES BANQUES DANS LES PAYS DE L’UEMOA : CAS DU BURKINA FASO ». Cette étude commanditée par la BCEAO vise éclairer des agents économiques sur la question du taux d’intérêt. En effet, parcourir ce rapport, revient à avoir des réponses aux questions suivantes : Comment se déterminent les taux d’intérêts débiteurs des Banques au Burkina Faso ? Et quels sont les facteurs fondamentaux qui expliquent la formation des taux débiteurs 

puisqu’elle a eu plusieurs retombées sur l’économie du pays. Durant cette période l’on a assisté à une hausse générale des prix, surtout celui des produits alimentaires. En effet, le taux d’inflation général est passé de 1,30% en 2007 à 7,95% en 2008 (BCEAO, 2011). Le prix du maïs, principale denrée de consommation du pays, a augmenté de près de 197% entre Juillet 2007 et Juillet 2008 (ONASA, 2008). Cette flambée des prix vient aggraver la situation déjà précaire des ménages qui affectent 60% à 80% (INSAE

conservés pendant au moins dix (10) ans. Le système de contrôle interne permet de s’assurer que les informations destinées aux organes de direction, d'administration et de contrôle, mais également celles transmises au Ministre chargé des Finances, à la BCEAO et à la Commission Bancaire, ainsi que les données figurant dans les documents publiés sont fiables, pertinentes, récentes, explicites et conformes aux normes réglementaires. 2.3. Surveillance prudentie Les SFD élaborent et tiennent à jour un document

autorisée à appliquer la version allégée du référentiel comptable 169 - Décision n° 061-03-2011 relative aux critères d’admissibilité 171 des crédits bancaires octroyés aux systèmes financiers décentralisés en support des refinancements de la BCEAO -4- LOI PORTANT REGLEMENTATION DES SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES -5- TABLE DES MATIERES TITRE I : DEFINITIONS ....................................................... 9 TITRE II : DOMAINE D'APPLICATION DE LA REGLEMENTATION DES

l’Agence Monétaire de l’Afrique de l’Ouest (AMAO) a été mandatée pour rédiger les termes de référence et le plan d’action d’une étude relative au cadre d’information comptable et financière pour les banques, en étroite collaboration avec l’IMAO et la BCEAO pour l’assistance technique nécessaire. 3.1 Contexte Les cadres d’information comptable et financière des banques sont normalement définis par les normes comptables, les lois sur les établissements bancaires et les entreprises, le format de rapport

monétaire, la gestion de la politique monétaire, l'organisation et la surveillance de l'activité bancaire, l'assistance aux états membres de l' UEMOA, la supervision du secteur financier et l'accompagnement des états en matière de financement . La BCEAO émet exclusivement la monnaie sur l'ensemble des états membres de l 'union monétaire Ouest africaine, elle émet le signes monétaires , des billets et des pièces de monnaie. Elle consiste à ajuster aussi la liquidité globale de l 'économie en fonction

financières et comptables. Il est chargé de la production des états financiers, de la déclaration fiscale des impôts, ainsi que de la gestion de la trésorerie de la banque. Il est aussi tenu de vérifier les documents comptables et d’établir des états BCEAO ainsi que des statiques fiables sur toutes les opérations de la banque. Le service administratif et du personnel  Chargé de la gestion des ressources humaines par une répartition efficiente des moyens humains dont dispose la banque, il

section I du protocole additionnel n° I ; - "Cour des Comptes" : la Cour des Comptes de l'Union créée par l'article 38 du présent Traité et régie par la section Il du protocole additionnel n° I ; - "Institutions spécialisées autonomes" : la BCEAO et la BOAD ; - "BCEAO" : la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest visée à l'article 41 du présent Traité ; - "BOAD : la Banque Ouest Africaine de Développement visée à l'article 41 du présent Traité ; - "Traité de l'Union" : le présent Traité ; -